Jennifer WORTH
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Note moyenne : 8.25/10Nombre d'évaluations : 51
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Les derniers commentaires sur ses livres
Il s'agit du premier tome (les suivants ne sont pas encore édités en français, hélas) des mémoires de la sage-femme qui ont servis à la production de la série CALL THE MIDWIFE. J'adore cette série, qui présente la vie de sages-femmes dans l'Angleterre sinistrée des années 50, alors je voulais lire le livre pour avoir encore plus de détails. Je n'ai pas été déçue ! C'est très pertinent !
Afficher en entierj bien aimé ce roman l'auteur nous raconte les experiences des femmes qui ont accouchées y'a eu bcp d'anecdote je me souviens du passage ou cette femme blanche qui trahissait son mari avec un noir elle est tomber enceinte au jour j elle refusait que son bebe sorte elle avait peur qu'il soit noir en fin de compte elle avait de la chance qu'il soit blanc. c un livre bien simple
Afficher en entierJ'ai découvert la série avant de lire le roman. Je ne peux pas dire lequel des deux est mon préféré puisque je les ai savouré de manière toute à fait différent. Le roman est un témoignage d'une époque que je n'ai pas connue. Celle où les femmes et les enfants se battaient parfois pour survivre dans des conditions précaires. Où l'accouchement était vécu tout à fait différemment d'aujourd'hui. Et où on peut voir tous les progrès de la médecine et des mentalités. Je suis heureuse d'avoir pu lire cette histoire et je ne peux que la conseiller à toutes et à tous.
Afficher en entierun grand coup de coeur!!!à lire absolument!
Afficher en entierQuand vous étiez enfant, avez-vous déjà souhaité devenir sage-femme ? Personnellement j'y avais pensé. Pas longtemps mais quand même :D
Maintenant, avez-vous déjà souhaité être sage-femme à Londres dans les quartiers les plus pauvres dans les années 50 ? Faire face à la prostitution, un niveau d'hygiène presque inexistant souvent, les poux, les puces, les rats, des horraires et conditions de travail qui scandaliseraient n'importe quel syndicat de nos jours, tout ça avec les moyens et connaissances médicales de l'époque. Et bien sans surprise, pas moi! ^^
C'est ce que Jennifer Worth décrit pourtant dans ce livre. Ce combat de chaque jour pour protéger la vie fragile de ces mères et enfants entre ses mains. Mais aussi son parcours intérieur à elle, avec ses préjugés, ses pensées, croyances,... Une évolution très intéressante !
Cette histoire, ou collection d'histoires devrais-je dire, est vibrante d'émotions et de beauté malgré l'ombre et le poids de la misère et de la déchéance. Ces sage-femmes et les soeurs du couvent qui travaillent avec elles sont tellement riches en compassion. Elles sont dévouées et courageuses comme peu d'autres.
À travers les pages et récits on se prend à s'intéresser et s'attacher à chaque personne rencontrée et les quitter est toujours un peu triste. Je ne peux m'empêcher de me demander ''et après??''
Pour ceux qui auraient aimé et comme moi en veulent plus, j'ai regardé (avant le livre en l'occurrence) la série éponyme disponible sur Netflix. La première saison est basée sur ce livre mais plusieurs saisons suivent et c'est vraiment bien fait. Une excellente série.
Jennifer Worth a aussi écrit d'autres livres sur son expérience mais pas de sa vie en tant que sage-femme si j'ai bien compris. Ils sont également très bons à ce qu'on m'en a dit. Je les lirai probablement un jour. Peut être pas anglais par contre cette fois. Je ne sais pas encore.
Cette lecture était assez compliquée en version originale. Entre le dialecte du quartier pauvre et le vocabulaire médical et historique, j'ai du relire certaines phrases plusieurs fois pour les comprendre et même chercher quelques mots dans le dictionnaire :)
Afficher en entierUne lecture prenante et intéressante. Les conditions de vie des gens de ce quartier pauvre de Londres au début des années cinquante n'étaient pas des plus faciles, mais au moins ils s'entraidaient. Bravo à ces religieuses dévouées et aux infirmières accoucheuses de cette époque qui travaillaient dans des conditions difficiles!
Un très beau livre!!
Afficher en entierUne magnifique succession de récits autobiographiques, écrits avec finesse et humanité. Jennifer Worth fut sage-femme dans les quartiers défavorisées de Londres dans les années 50 et raconte ses expériences les plus marquantes. Bien au-delà des thèmes de la maternité et de l'obstétrique, c'est le portrait très vivant d'une société qu'elle dresse, avec tendresse et bonté.
Elle n'a bien sûr pas eu accès aux technologies modernes de gynécologie, mais son bon sens, sa pratique minutieuse et sa confiance dans l'instinct des patientes ont des miracles.
A conseiller à tous, hommes comme femmes, parents ou nullipares, jeunes ou plus âgés, autant pour ces récits vibrants d'authenticité que pour ce regard clairvoyant sur le métier de soignante dans un milieu extrêmement dur ainsi que pour cette belle démystification de l'accouchement.
Afficher en entierCe roman est très intéressant, on y découvre et apprend énormément de faits déroulés à l'époque. Des faits incroyables, parfois sombres, parfois surprenants relatés de façon très approfondis. J'ai trouvé certains passages un peu longs.
Afficher en entierJ’avais déjà commencé par la série TV et j’avais énormément apprécié alors quand j’ai su qu’il s’agissait d’un livre, j’étais obligée de le lire !
C’est l’histoire d’une femme incroyable qui va finir sa formation d’infirmière sage-femme dans un couvent dans l’east-end durant les années 50. Elle nous raconte son histoire sous forme de petites anecdotes et vraiment c’est très plaisant et très rythmé pour une autobiographie (alors que de base c’est vraiment pas mon style de lecture). Tout au long de ce livre, on ressent des émotions fortes et prenantes que cela soit du dégoût vis-à-vis de l’insalubrité des situations dû à la pauvreté extrême, de l’injustice ou encore de la joie face au bonheur quotidien. Par contre, il y a énormément de détails par rapport aux accouchements donc si ce genre de chose vous dégoûte vaut mieux éviter.
Il est très difficile de ne pas tomber sous le charme de cette jeune femme pleine de bonne volonté et surtout d’humanité. Elle nous raconte son histoire sous couvert de confidence et de ce fait, j’ai vraiment eu l’impression d’être proche d’elle (alors qu’elle avait littéralement mon âge dans les années 50). Pour les autres personnages, j’ai tout simplement adoré les Soeurs, on sent que Jennifer Worth avait une profonde admiration pour elles et réellement, la force de caractère de ses femmes donne envie de les admirer également.
Pour conclure, ce livre est tout simplement une petite pépite, je suis littéralement tombée amoureuse de ce livre et de ces mots.
Afficher en entierJe me suis mise à lire ce roman car j'ai adoré la série et je trouve que "pour une fois" que les réalisateurs ont bien respecté le déroulement du roman. J'aime vraiment l'ambiance années 50 située au cœur des vies de femmes originaires de milieux très différents, qui s'entraident, qui viennent en aide, qui apportent des connaissances et de la réassurance aux plus démunies ✨️
Afficher en entierOn parle de Jennifer WORTH ici :
2016-11-18T17:32:57+01:00
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Biographie
Source Wikipedia.
ennifer Lee Worth, née à Clacton-on-Sea dans le comté de l'Essex en Angleterre, est élevée à Amersham dans le Buckinghamshire. Après avoir quitté l'école à 15 ans1, elle apprend la sténographie et la dactylographie2. Elle travaille comme secrétaire de direction à la Dr Challoner's Grammar School, une école britannique de renom. Worth étudie ensuite pour devenir infirmière au Royal Berkshire Hospital, puis étudie à Londres dans le but de devenir sage-femme1.
Au début des années 1950, elle est embauchée comme infirmière au Royal London Hospital dans le quartier de Whitechapel. En collaboration avec une communauté de sœurs anglicanes, elle travaille auprès des démunis du quartier1. Elle est ensuite sœur de quartier (ward sister) au Elizabeth Garrett Anderson Hospital dans le quartier de Bloomsbury, puis au Marie Curie Hospital à Hampstead3.
Elle épouse l'artiste Philip Worth en 1963 ; ils auront deux filles2. Dix ans plus tard, elle quitte la profession d'infirmière et commence une carrière de musicienne.
En 1974, elle obtient une licence d'enseignement au London College of Music, où elle enseigne le piano et le chant. Elle est nommée membre en 1984. Elle fait partie de chorales et joue comme soliste en Grande-Bretagne et en Europe.
Par la suite, elle commence à rédiger ses mémoires. Le premier volume, Call the Midwife, est publié en 2002. Réimprimé en 2007, il devient un succès de librairie. La suite, Shadows of the Workhouse (voir workhouse), est publiée en 2005 (réimpression en 2008). Le troisième volume de la trilogie, Farewell to the East End, paraît en 2009. Les deux derniers volumes sont aussi des succès de librairie1. Au Royaume-Uni seulement, la trilogie s'est vendue à presque un million d'exemplaires3. Dans In the Midst of Life, publié en 2010, Jennifer Worth revient sur ses expériences lorsqu'elle soignait les patients en phase terminale4.
Jennifer Worth a sévèrement critiqué le film Vera Drake (2004) de Mike Leigh, parce qu'il dépeint de façon irréaliste les avortements illégaux. Elle a argué que les méthodes présentées dans le film, qui n'étaient ni rapides ni indolores, mènent de façon inexorable, à quelques exceptions près, à la mort de la femme5.
Jennifer Worth meurt le 31 mai 2011 des suites d'un cancer de l'œsophage diagnostiqué plus tôt la même année6.
Sa trilogie sur son travail de sage-femme a été adaptée pour la télévision sous le titre Call the Midwife. La société BBC One a commencé à diffuser la série télévisée en janvier 2012.
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