Claire Bretécher
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Note moyenne : 6.03/10Nombre d'évaluations : 58
0 Citations 28 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Du Brétécher de 1977, donc un peu psychédélique, forcément... On trouve des références à Philémon, à l'Incal... et bien sûr, le mythique bolot !!! Sur le fond, on retombe sur la problématique habituelle des positions de l'homme et de la femme, mais la façon dont c'est traité est originale et marrante. J'ai bien aimé !
Afficher en entierOn se marre. Bon divertissement !
Afficher en entierCette BD est sortie en 98, j'avais donc 12 ans et je devrais à peu près me retrouver dans ce personnage d'adolescente. Ce n'est absolument pas le cas. Du coup forcément j'ai pas accroché aux sketchs que j'ai trouvé être d'assez mauvaises caricatures de la jeunesse (et de la vieillesse) de l'époque. Après ça ne m'a pas empêché de rire à certaines blagues (principalement celles concernant la grand-mère qui est désopilante).
Et malheureusement, le dessin n'a pas arrangé les choses, je ne suis pas fan du style un peu brouillon de Bretécher et de ses personnage aux traits très grossiers.
Afficher en entierCritique humoristique des soixante-huitards, qui n'est du coup plus vraiment au goût du jour, même si parfois on y retrouve des analogies avec certains travers de nos Bobos/Gauchos.
Pour ce qui est du dessin, les traits sont grossiers, rapides, sans couleur, on sent que c'est juste histoire d'illustrer grossièrement les sketchs mais que la qualité des dessins n'était pas l’intérêt principal de l'oeuvre.
Afficher en entierClaire Bretecher est culte... mais quelque chose doit m'échapper. J'ai eu quelques sourires, mais sans plus.
Afficher en entierImpossible de rentrer dans les histoires, je n’ai pas réussi à terminer ma lecture, je n’ai vraiment pas apprécié le style d’écriture et son humour.
Afficher en entierJ’ai fait cette découverte durant mon adolescence et j’ai apprécié les différentes péripéties autour du thème de la maternité. J’aime bien aussi la forme graphique du dessin, on devine le mouvement avec lequel il fut réalisé. J’ai appris par la suite que l’outil est le pinceau, pas si simple finalement.
Afficher en entierLes graphismes ne sont pas trop à mon goût et l'humour s'adresse à des adultes.
Afficher en entierMon tome préféré car le plus profond à mon goût.
Afficher en entierCe n'est pas des graphismes que j'apprécie beaucoup.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Claire Bretécher
et autres évènements
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Editeurs
Dargaud : 8 livres
France Loisirs : 5 livres
Glénat : 4 livres
Librio : 3 livres
Editions Bretécher : 2 livres
Claire Bretecher : 2 livres
Hyphen : 2 livres
Pocket : 2 livres
Biographie
Après avoir enseigné brièvement le dessin durant neuf mois, au tout début des années 60, Claire Bretécher livre quelques illustrations dans différents journaux du Groupe Bayard (le Pèlerin, Club-Inter, Rallye-Jeunesse, Record, etc.). En 1963, René Goscinny l’associe au projet et elle dessine le Facteur Rhésus dans l’Os à Moelle. L’année suivante, elle réalise dans Record de multiples illustrations et histoires brèves avant de donner naissance, en 1968, à la série Baratine et Molgaga. Parallèlement, elle collabore, en 1965 et 1966, au journal Tintin. Après quelques planches, elle y illustre Hector, une suite de gags.
De1967 à 1971, Spirou l’accueille pour quelques courts récits (Des navets dans le cosmos, Polidor le mille-pattes, etc). Peu de temps après, elle y crée ses séries les Gnan-Gnan, les
Naufragés (cette dernière, en compagnie de Raoul Cauvin), ainsi que l’éphémère Robin des Foies (textes d’Yvan Delporte).
Claire Bretécher refera une courte apparition dans l’hebdomadaire, en 1977, à l’occasion du supplément le Trombone illustré. Elle y contera les mésaventures de Fernand l’Orphelin - à rapprocher du méconnu Alfred de Wees (Alfred l’Orphelin), qu’elle anima un court temps avec Delporte dans le magazine néerlandais Pep (de 1971 à 1972). En 1969, on retrouve également Bretécher chez Dargaud. Travaillant pour Pilote, elle entreprend Cellulite, réalise quelques gags repris sous le générique Salades de Saison ainsi que diverses bandes, parfois scénarisées par Jean-Marie Pélaprat, Jacques Lob ou Marcel Gotlib.
En 1972, en compagnie de ses amis Gotlib et Nikita Mandryka, elle collabore à l’Echo des Savanes. Ses histoires se font alors plus acides, préfigurant, quelques mois à l’avance, ses inoubliables Frustrés.
Se décidant à travailler pour la " grande presse ", elle illustre, en 1973, le Bolot Occidental dans le Sauvage puis dessine une planche hebdomadaire dans le Nouvel Observateur, bientôt intitulé " la Page des Frustrés ". C’est également à cette époque qu’elle décide de se lancer dans l’aventure de l’auto-édition. Le premier ouvrage des Frustrés paraît en 1975. En dehors de ses bandes dessinées, Claire Bretécher pratique également avec talent la peinture : en témoigne toute une série de visages en couleurs, tirés de ses carnets intimes et repris dans l’album Portraits (éditions Denoël en 1983) et Moments de Lassitude (édité par l’auteur en
1999). Son graphisme, en apparence simpliste, en réalité nerveux et efficace, soutient admirablement ses propos, lucides et sans concession, sur ses contemporains - surtout quand ils sont riches, intellectuels et désabusés. Au fil de ses histoires, Claire Bretécher s’impose comme l’une des plus grandes " humoristes-sociologues " du 9e art, une sorte de Woody Allen française et féminine. En novembre 2001, sur Canal + diffusion de la série Agrippine : 26 épisodes de 26 minutes, produit par Ellipse Animation.
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