Jim Starlin

Ce que j'ai préféré dans ce comics est le nombre de personnage présent ! Bien-sur il nous permet de mieux comprendre les événements du derniers Avengers.

En plus le personnage de la mort est vraiment réussit. Top.

Comics triste et dur. La perte d'un coéquipier est toujours dur, surtout quand ce dernier meurt à cause de soi. L'histoire reecrite de la mort de Robin dans ce comics fait grandement réfléchir à la qualité des scénaristes et dessinateurs de chez DcComics. Un vrai coup de maître pour certain comme moi, un remake raté pour d'autres. A vous d'en décider :)

Déception.

Si la rétrospective est intéressante, elle n'apportera strictement rien au lecteur assidu, si ce n'est une variation du point de vue sur les événements ayant ponctué la riche carrière du Titan fou. L'idée d'un Thanos tout-puissant se ménageant des plans de secours dans son passé est fascinante mais ne conduit pas aux bouleversements espérés.

La seconde partie centrée sur Thane est encore plus décevante, avec une histoire jouant constamment sur les illusions et la frontière ténue séparant la folie de la réalité, destinée à pousser Thane sur la voie qu'il se refuse à suivre, mais qui est inscrite dans son ADN. Ressorts grotesques, dessins peu inspirants et une manque cruel de rythme finissent par lasser, d'autant que Thane semble être un avatar bien médiocre de Thanos, ayant tendance à chouiner comme Warlock, perpétuellement manipulé par des forces qu'il pourrait aisément balayer. Fumeux.

Dans un volume plus épais que les autres (environ 40 pages de plus), Starlin reprend avec une joie manifeste les personnages et les thèmes qui l'avaient amené à écrire ses sagas liées à Infinity Gauntlet. Du coup, les sceptiques peuvent légitimement estimer qu'il ne s'agit que d'une nouvelle version fondée sur les mêmes structures narratives, les mêmes retournements et les mêmes enjeux. Soyons honnêtes : il n'y a pas grand chose de neuf. Mais ce déferlement d'adversaires tentant de mettre la main sur le pouvoir absolu ou d'empêcher un autre de le maîtriser (ce qui revient au même) possède quelque chose de jouissif qui entraîne aisément le lecteur familier des conflagrations cosmiques.

Comme toujours, dans un premier temps, Thanos observe, ruminant ses précédents échecs et préparant plusieurs coups d'avance ; c'est ce qui lui permet d'être légèrement avantagé lorsque la menace Akhenaton se manifeste : l'ex-pharaon revient sur Terre réclamer ce qui lui revient de droit (à savoir l'empire qu'il dirigeait 4 millénaires auparavant), armé d'un pouvoir gigantesque qui fait pâlir les entités régissant notre réalité. Et c'est toujours aussi stupéfiant de voir des cadors comme Eternité ou Galactus totalement impuissants devant ce nouveau super-être alors qu'un Docteur Fatalis parvient aisément à s'emparer de certains de ses secrets. Et, également comme toujours, c'est sur Terre que cela va se jouer et revoilà les super-héros terriens tentant de barrer la route à un despote cosmique capable de terrasser tous les Célestes d'un seul coup. Sans la maestria visuelle et la légère folie métaphysique de Starlin, ce serait d'un ridicule assez grandiose. Contrairement à la première saga de l'Infini, alors que les combats avaient autant d'ampleur (et étaient perdus d'avance), on ne s'y attarde guère : malgré toute leur volonté, que peuvent franchement nos super-héros trop humains face à un danger de ce calibre. Ils ne peuvent qu'être balayés et Thanos lui-même ne peut que retarder (un tout petit peu) l'échéance. Sauf qu'il a en lui quelque chose de supérieur à toutes les créatures, une volonté farouche qui en a fait, et plus souvent qu'à son tour, le point nodal des bouleversements cosmiques, pierre angulaire tout autant que pierre d'achoppement. Et c'est cette volonté seule qui fera pencher la résolution du conflit vers l'inespéré, l'impossible.

Et vous n'en êtes qu'à la première moitié de l'album, qui prendra ensuite un peu plus de temps pour narrer le destin de cet être unique qui, plusieurs fois, a tenu dans sa main de quoi éradiquer toute existence. Grandeur et décadence en accéléré, plus dure sera la chute... L'épilogue permet ensuite à Starlin de s'appesantir sur des considérations plus eschatologiques, voire ontologiques, sans doute un peu fumeuses, avec des monologues abscons visant à orienter le récit vers une vision personnelle du destin de Thanos, qui sera ensuite développée dans une seconde saga dans laquelle Adam Warlock, sorte de double lumineux de Thanos, aura à prendre sa part.

Cette fois, Thanos n'est pas à l'origine d'un complot cosmique : quelqu'un vient lui demander de l'aide pour sauver l'univers d'un péril inexorable. Et ce quelqu'un n'est autre que son frère, Eros, le gentil play-boy qui a un temps fait partie des Avengers. Sauf qu'il s'agit d'une version beaucoup plus âgée car il arrive du futur porteur de ces mauvaises nouvelles. Son plan nécessite l'aide d'un troisième individu, ex-membre des Gardiens des Gemmes de l'Infini, et l'appui des technologies temporelles de Kang le conquérant, allié de circonstance.

Le récit se complaît ainsi dans les différentes strates d'un événement qui s'est passé ou se passera, à moins que... Alliances et mésalliances seront de mise, et on peut compter sur le Titan fou pour tirer les marrons du feu : trahir est une seconde nature chez lui. Sauf que, si son frère s'avère nettement plus retors qu'auparavant, un autre protagoniste s'immiscera dans le plan, quelqu'un de bien plus puissant et roublard que Thanos...

Dessins remarquables de Davis qui parvient à rendre intelligible l’inintelligible. Puzzle temporel et récit déconstruit pour une conclusion étonnante.

Comics intéressant où la folie et le meurtre sont omniprésent. Une découverte du personnage qui est la bienvenue.

Histoire central dans le développement du chevalier de Gotham. Un comics dure qui contraste avec des cases colorées.

J'avoue que je n'étais pas prête ni pour le côté vraiment très coloré des dessins, ni pour l'histoire raconter à la façon de Peter Parker dans le pire dessin animé de tous les temps puisque Batman nous raconte tout lui-même, mais on s'habitue très vite et on se retrouve même à se prendre au jeu de la narration. J'ai trouvé particulièrement amusant de voir le contraste entre les événements très sombres et les palettes de couleur aussi diverse que variées utilisé.

Côté intrigue, c'est plutôt bien écrit même si certains événements sont un peu gros et que le côté comics un peu vieux se fait sentir de par les dessins, mais aussi l'aspect très épuré de certaines cases. Malgré cela, cela n'empêche pas certaines pages d'être tout simplement splendide.

Quant à Legends of the Dark Knight n°100, j'ai personnellement tout simplement adoré. Niveau dessin, j'ai autant aimé cet aspect très coloriage au crayon particulièrement visible sur les cases avec du noir que la qualité des dessins eux même. L'histoire est touchante, très bien narrer, juste excellente.

exellent une renaissance tellement attendu

exellent action action et action trop bon