Sigolène Vinson

J'ai acheté ce livre plus pour l'UNICEF que pour le livre en lui même.

Les histoires ne sont pas d'une grande qualité mais j'ai passé un agréable moment avec certains auteurs.

Que dire, je ne sais pas si j'ai aimé ou non...

Certaines histoire m'ont plût, d'autre pas du tout. Le format est pratique, des histoires très courtes à lire quand on a un petit moment. Je ne regrette pas de l'avoir lu car j'ai passé un moment agréable, mais ce n'est pas pour moi une grande réussite.

Le principe du livre me plaît beaucoup, la bonne action pour l'UNICEF aussi, mais je n'ai pas accroché aux petites histoires.

L'idée du livre est originale et surprenante ! Et comme toujours lorsqu'il y a plusieurs auteurs, on accroche à certaines histoires et d'autres non ! Mais en grande généralité, j'ai apprécié le livre, certains m'ont marqué et d'autre je les ai déjà oublié, mais les nouvelles qui m'ont plu mérite d'être lu !!

Porté par une langue brute et poétique, Le Caillou met en scène des personnages qui ont été trahis par leurs idéaux et qui évoluent dans ce que l’on pourrait appeler une zone grise de l’existence. Mais ces éternels « rêveurs d’autre chose » opposent à l’absurdité de leurs vies respectives un humour qui ne se départit jamais d’une conscience aiguë de leur propre finitude, et une profonde humilité.

Si la beauté des couchers de soleil sur Cala d’Orzu place l’homme face à un « absolu toujours déçu », il n’est jamais question pour lui de chercher à combler ce manque – car c’est lorsqu’il perd son regard dans la ligne infinie de l’horizon qu’il cesse, justement, d’être un animal social, pour « être », tout simplement.

Sans faire la promotion de l’écologie, ce roman dénonce les travers du capitalisme mondial. Entre rêve et réalité, ce voyage s’avère autant palpitant que triste. Même si l’analyse ne révèle que peu de choses, l’intrigue rondement menée se suffit à elle-même.

Il offre une vision décadente d’un monde à la solde de la Chine. Un combat gagné d’avance où les personnages secondaires nous touchent plus que le protagoniste.

En conséquence, les positivistes seront sans doute déçus. De mon côté, je trouve que la lenteur du rythme pèche un peu, même si l’on n’a pas le temps de s’ennuyer.

Chronique complète :

https://biblideleona.wordpress.com/2017/10/10/aventure-courir-apres-les-ombres-par-sigolene-vinson/

Nul doute, un gros travail de recherche, beaucoup d'explications scientifiques (trop ?), quoiqu'il en soit un bon livre. Du deux en un, l'histoire et l'histoire dans l'histoire. Un bon travail de recoupement !

Rétrospectivement, je me dis que notre héros quand il arrive au moyen-âge, ne peut finir qu'au bucher...

Comme souvent dans ce genre de livre, il y a des nouvelles qui m'ont plut et d'autres beaucoup moins. L'idée de faire des nouvelles sur l'enfance est top et j'espère qu'il y en aura d'autres.

Des nouvelles disparates mais globalement bien écrites. J'aurais même aimé que certaines se prolongent.

Une belle initiative pour une belle cause en tous cas !

Je l'ai lu pour les cours. Je trouve qu'il se lit assez rapidement ce qui est plaisant. Le fait que l'on suivent plusieurs personnages permet de mieux comprendre l'impact qu'ont les ravages de la mondialisation sur le monde et dans ce cas précis, sur l'Afrique. J'ai trouvé les personnages bien travaillés et avec de vraie personnalité, pas totalement lisse, tous avec leurs défauts, qualités, leurs doutes et leurs blessures/failles. Une belle découverte !

J'avais acheté ce livre à cause des méduses sur la couverture, et depuis quelques temps je sais qu'il ne faut pas se fier à ça et que ça ne reflète pas du tout l'histoire du roman. (Mais j'ai toujours un petit espoir fou)

Cette fois-ci, je n'ai pas été déçue, mais ce n'était pas la lecture du siècle non plus. Ce n'est pas le genre de lecture qui va me marquer, mais qui se laisse parcourir sans trop de problème. Ce n'est pas trop mon genre de lecture, et c'est pour ça que je suis passé à côté.