Commentaires

Comme pour chaque (auto)biographie, je ne me permets pas de noter le contenu à proprement parler. Ici, à la différence de Britney Spears ou Jennette Mccurdy qui ont été abusées mentalement et physiquement par leurs entourages, on suit Natasha et son calvaire, une victime d'enlèvement sequestrée pendant 8 ans. Etant née en 2002, je ne peux pas m'imaginer la folie médiatique de l'époque.

On parle bien de 8ans de captitivité (3096 jours) à des âges importants de sa vie : de ses 10 à 18ans, l'éppoque où toute personne se forme (mentalement, physiquement et intellectuellement à l'école).

C'est impressionant le détachement dont elle fait preuve, on ne peut que l'admirer. Elle réfute le diagnostic du syndrome de Stockholm et ses raisons : son ravisseur était la seule personne de sa vie - en plus de ça, elle opère bien une différence en citant parfois le nom de son ravisseur dans les "bons moments", mais plus souvent "ravisseur" ou "criminel" pour se détacher de la mauvaise image de cet homme.

Concernant l'enquête, c'est rageant. Pleins de choses ont mal tournées ou étaient bizarres :

Natascha qui se dit que physiquement elle ne craignait rien (pas "assez joli"), ne pas avoir dit au revoir à sa maman

La police qui ne fouille pas assez les fourgons, écoutent les témoignages, fait confiance aux chiens etc...

Quelle négligence.

Ce livre est intrigant, dérangeant parce qu'il peut changer notre façon de voir les choses... J'ai apprécié cette lecture qui fait réfléchir à beaucoup de choses!

Cela fait longtemps que je voulais lire cette autobiographie et je la recommande à tous maintenant. Ce récit poignant raconte bien tous ces jours de captivité.

Et je suis très admirative de Natasha enfant (et adulte également), qui était beaucoup plus intelligente et renseignée sur certains sujets que cestains enfants à cet âge là, je pense que ça lui a sauvé la vie.

Je voulais lire ce livre depuis longtemps pour découvrir cette si triste histoire.

Je le conseille à tous, pour comprendre les faits du point de vue de Natascha. Le tout se lit très rapidement, même si elle n'aborde que certains aspects de sa captivités (elle refuse de parler des violences s*xuelles, par exemple). Il s'agit donc d'un livre true crime qui peut convenir aux personnes sensibles ne souhaitant pas lire sur ce sujet.

En revanche, la violence physique est décrite en détail, âmes sensibles s'abstenir.

Livre très bouleversante

Beaucoup connaissent l'histoire mais racontée par la victime elle-même c'est quand même quelque chose.

Son récit est extrêmement poignant et très complet.

Le fait que Natascha n'est pas voulue aborder certains sujets comme ses agressions nous laissent imaginer à quel point elle a souffert.

Je dirai que ce qui m'a le plus dérangé c'est évidemment le kidnappeur mais le fait qu'elle soit dans un si petit espace sans voire le jour...

Moi qui suis un peu claustrophobe, je n'imagine pas à quel point ses années ont pu être douloureuse et traumatisante.

Ce livre un témoignage d'une histoire d'enlèvement survenue en Autriche. Très célèbre pour sa longue durée, et sans doute très médiatisée à l'époque. Je ne connaissais pas du tout cette histoire avant de tomber par hasard sur un article et c'est ce qui m'a donné envie de lire livre.

J'ai lu plusieurs livre de ce type sur des enlèvements et séquestrations et ce qui m'a vraiment étonné c'est que le ravisseur n'avait aucune attente sexuel envers ce qui est peut être sa seule chance dans son malheur.

Lu en allemand

Je n'avais pas encore 18 ans quand Natascha a perdu sa liberté, j'en avais certainement entendu parlé, mais ce n'est qu'à sa sortie que j'ai retenu son nom et pris l'ampleur de son drame... J'avais été choqué par son histoire mais aussi, par la suite, par le retour que nous faisait les médias de cette jeune femme: les premières images que j'ai vu d'elle après sa sortie, c'est quand elle a été emmené dans un véhicule de police avec une veste sur la tête... Ca m'avait profondément marqué, car à peu de chose près on croyait voir sortir un "coupable" du tribunal et qu'il ne voulait pas qu'on puisse l'identifié...

Ce malaise n'a pas été dissipé par la suite, bien au contraire: dans le premier interview qu'elle a donné, elle avait l'air froide, chaque mot, chaque geste avait l'air calculé, cela donnait même l'impression d'avoir une personne très antipathique... Je ne comprenais pas, elle ne me donnais pas l'impression d'être heureuse d'être enfin libre.... Un comble après ce qu'elle avait vécu, pour moi il fallait qu'elle profite enfin la vie, dompte ses démons et retrouve le sourire, même si elle ne pourrait jamais oublié son passé...

Ce n'est que maintenant 15 après (maintenant que mes enfants sont plus grand) que j'ai eu le courage de lire son histoire; de lire ses mots à elle et pas le retour que nous en font les médias... Et là j'ai enfin compris: son calvaire ne c'est pas arrêté le jour ou elle s'est enfui, elle est peut-être libre physiquement mais elle est toujours prisonnière de la manière dont les gens la juge, interprète ses paroles, la classe dans des catégorie de "maladie" comme le syndrome de Stockholm.... Un vrai calvaire pour une jeune fille qui a été privé de presque tout et qui pensait que le jour ou elle se sauverait elle serait libre....

Une histoire vrai poignante, douloureuse et triste racontée par la personne qui l'a vécu, on en sort pas indemne.. Elle nous raconte son histoire, même si elle ne rentre pas dans tous les détails, on peut avoir un aperçu de son calvaire. Mais on découvre aussi son ressentit, sa découverte du monde libre, ainsi que les regards et les jugements qui l'ont profondément meurtris...

J'en ai lu des livres sur des histoires vraies, sur des enlèvements d'enfants et j'en passe, mais celui-là, il m'a étonnée. Bon déjà, son enlèvement ce passe comme la plupart du temps part un kidnapping et durant des années 🅝atascha était à la merci de son ravisseur avec des coups, des insultes, une peur qui grandit un peu plus chaque jours qui passent jusqu'ici on retrouve la même chose sur les autres enfants qui ont étaient enlever et enfermer. Cependant ce qu'il m'a le plus choquée dans l'histoire c'est que son ravisseur n'as jamais eu de violence sexuelle envers elle une chose qui est arriver à tout les enfants disparus malheureusement après elle as sans doute voulue que cela ne ce sache pas dans son livre, mais je reste quand même perplexe. 🅠uoiqu'il en soit ce livre, je le classe dans ma liste: *Bronze*. 🅙e vais désormais me plonger dans mon troisième roman du mois de 🅝ovembre.

J'ai beaucoup apprécié la façon dont Natascha Kampusch assume la perception qu'elle a de son ravisseur.