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" C'est une grande, énorme partie d'échec qui se joue - tout autour du monde - si c'est bien le monde, ici, vous savez.
Oh, comme c'est drôle ! Comme je voudrais bien n'être qu'un Pion, car l'important, c'est de participer, bon, mais bien sûr, j'aimerais encore mieux être reine. " Ses désirs exaucés par la Reine rouge, voilà Alice lancée dans une partie des plus surprenants. La petite fille avance, déplacée pour une raison ou pour une autre, dans un monde peuplé de personnages aussi étranges que cet œuf perché sur son mur.
Perdue au milieu de tous ces " non-sens ", Alice continue de voir " le côté positif de la chose ", avec à l'esprit cette éternelle interrogation : est-ce elle qui rêve ou fait-elle partie du rêve de ce Roi rouge, pelotonné dans l'herbe humide ?
Afficher en entierEt si Alice entrait dans la Maison du Miroir, cette fois-ci? A peine en a-t-elle l'idée que la glace se brouille et que la jeune fille plonge dedans. Une nouvelle galerie de personnages inattendus défile alors, comme de lointains cousins du pays des merveilles: Reine Rouge et Reine Blanche, Gros Coco, Blanc Bonnet et Bonnet Blanc...
Afficher en entierEst-il nécessaire de résumer l’histoire d’Alice ? Probablement pas – et c’est sans doute impossible… Contentons-nous de poser le point de départ : par une chaude journée d’été, une petite fille, Alice, s’ennuie, quand, soudain, elle voit passer un lapin blanc sortant une montre de son gilet et clamant qu’il est en retard ; intriguée « malgré tout » – on le serait à moins –, l’insouciante Alice suit le phénomène dans un terrier, et tombe dans un trou apparemment sans fin… et à partir de là, les événements vont s’enchaîner, sans queue ni tête, tous plus absurdes les uns que les autres : le logicien Dodgson, en devenant Lewis Carroll, se fait chantre du nonsense, et, de moraliste austère, devient un impitoyable satiriste des mœurs de la société victorienne, qui infuse dans son conte pour enfants un délicieux parfum de subversion… Et les scènes « classiques » de se succéder, que l’on connaît tous, mais plus ou moins « amoindries », par Disney ou d’autres (cela dit, j’aimerais beaucoup revoir le dessin animé de Disney, que j’adorais quand j’étais gamin) : les changements de taille, la mare de larmes, les conseils de la chenille, le chat de Chester, le thé des fous, le croquet de la reine de cœur…
Puis La Traversée du miroir et ce qu’Alice trouva de l’autre côté. Alice, en passant de l’autre côté du miroir, se trouve confrontée à un nouveau « voyage initiatique », qui prend cette fois la forme d’une étrange partie d’échecs (à laquelle, je plaide coupable, je n’ai jamais rien capté… mais j’ai toujours été une quiche aux échecs) : Alice est le pion de la reine blanche, et doit atteindre la huitième case pour devenir reine à son tour ; en chemin, bien entendu, elle multipliera à nouveau les rencontres marquantes, souvent issues de nursery rhymes : Tralalère et Tralali (c’est ainsi que la traducteur rend Tweedledum et Tweedledee), Rondu-Pondu (pour le fameux Humpty-Dumpty), le lion et la licorne, le cavalier blanc (Lewis Carroll himself, à l’instar du Dodo dans Les Aventures d’Alice au pays des merveilles ?)… Mais c’est le monde du miroir, et rien ne s’y montre vraiment « normal » : il faut courir très vite pour rester sur place, s’éloigner d’un endroit pour s’en approcher, distribuer les parts de gâteau avant de les avoir coupées… Bref, les choses s’annoncent une fois de plus difficiles pour Alice, dans ce monde ou, comme dans le précédent, on aime beaucoup lui donner des ordres, et on tient à tout prix à lui réciter de longs poèmes qui parlent tous de poissons.
Afficher en entierLe miroir brille dans le salon. Fascinée par sa transparence, Alice interroge Kitty, sa chatte blanche, qui ne fait que lui répondre : rron, rron. « Ce serait merveilleux si on pouvait entrer dans la Maison du Miroir. Faisons semblant ! » Et voilà que la glace se transforme et se brouille. Alice plonge dans le miroir. De l'autre côté, elle découvre un pays peuplé de personnages plus étranges les uns que les autres : des fleurs qui parlent, deux bonshommes inséparables, Bonnet Blanc et Blanc Bonnet, ou encore le Gros Coco, un œuf plutôt prétentieux... Un autre pays des merveilles !
Afficher en entierIn looking-glass land everything is reversed, just as reflections are reversed in a mirror. Brooks and hedges divide the land into a checker-board, and Alice finds herself a white pawn in the whimsical and fantastic game of chess that constitutes the bulk of the story. On her trip to the eighth square, where she at last becomes a queen, Alice meets talking flowers, looking-glass insects , a man in a white paper suit, such nursery rhyme characters as Humpty Dumpty and the Lion and the Unicorn, and many others, including Tweedledum and Tweededee and the White Knight.
Afficher en entierCette édition présente les deux principaux récits de Lewis Carroll : Alice au pays des merveilles (1865) et De l'autre côte du miroir (1871), qui en est la suite.
Le premier est l'histoire d'un rêve : animaux fantastiques, changements de taille, animation d'objets, toutes les ressources du merveilleux s'y déploient. Dans le second, plus moderne encore, la petite fille accomplie un voyage "derrière le miroir", dans un pays fabriqué comme un échiquier, et où elle devient une figure dans le rêve d'un rêveur, avant d'être la reine du jeu d'échecs.
Alice est un vérité un voyage initiatique, qui permet de découvrir le monde et soi-même.
Afficher en entierEn 1862, Charles Lutwidge Dodgson , un mathématicien d'Oxford timide avec un bégaiement , a créé une histoire d'une petite fille dégringolant dans un trou de lapin . Ainsi a commencé les aventures immortels de Alice , l'héroïne peut-être le plus populaire dans la littérature anglaise . D'innombrables chercheurs ont tenté de définir le charme des livres - Alice avec ces personnages merveilleusement excentriques la Reine de Cœur , Tweedledum et Tweedledee , le Chat du Cheshire , Simili-Tortue , le Chapelier Fou et al. - en proclamant qu'ils comprennent vraiment une satire sur la langue, une allégorie politique , une parodie de la littérature pour enfants victorienne, même un reflet de l'histoire ecclésiastique contemporaine . Peut-être , comme Dodgson aurait pu dire , Alice est plus qu'un rêve, un conte de fées sur les épreuves et les tribulations de grandir ou vers le bas, ou tout se retourna - comme on le voit à travers les yeux d'experts d'un enfant.
Afficher en entierTandis qu'Alice imagine un moyen de passer à travers le miroir elle se retrouve juchée sur la cheminée, au même moment le miroir commence à se dissoudre et à devenir brouillard, elle bondit donc de l'autre coté de celui-ci et découvrit un univers fascinant où toutes les choses ordinaires devienne passionnante et intrigante. Ce monde parallèle, est à la fois une campagne anglaise et un échiquier, où tout ce passe à l'envers. Les personnages sont les pièces du jeu d'échec ainsi que des héros tirés de la culture enfantine. On y retrouve aussi des personnages d'Alice au pays des merveilles, ainsi que des épisodes semblables, on a donc l'impression d'être dans un univers connut mais aussi étant étrange et intrigant.
Afficher en entierDans la maison du Miroir, tout est inversé. Alice, Fascinée, s'empresse de passer de l'autre côté. S'ouvre alors à elle un monde merveilleux où les fleurs parlent, où un oeuf érudit marche sur un mur, et où, aux côtés de la Reine Blanche et de la Reine Rouge, elle devra prendre part à une partie d'échecs grandeur nature.
Afficher en entier" Ce serait merveilleux si on pouvait entrer dans la Maison du Miroir. Faisons semblant ! " Et voilà que la glace se transforme et se brouille... C'est ainsi qu'Alice plonge à travers le miroir. De l'autre côté, elle découvre un monde peuplé de personnages plus étranges les uns que les autres : des fleurs qui parlent, deux bonshommes inséparables, Bonnet Blanc et Blanc Bonnet, ou encore le Gros Coco, un œuf plutôt prétentieux... Un autre Pays des merveilles !
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