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mes yeux se fermaient malgré moi, mais je réussis à demander :

-Ne tire pas sur mes voisins, d'accord ?

Je cru le voir sourire.

-J'essaierai.

-C'est toi, le tueur en série de vampires ?

-Fais dodo, Anita.

Bon, ça ne coûte rien de demander.

J'étais sur le point de sombrer dans un sommeil bien mérité quand j'entendis sa voix, douce et lointaine.

-Où Nikolaos dort-elle la journée ?

Sans rouvrir les yeux, je répondis :

-Je suis crevée, Edward. Pas stupide.

Sur ces fortes paroles, je perdis connaissance.

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Il me palpa de la tête aux pieds sans rien omettre. Ce fut à peine s'il ne me demanda pas d'ouvrir la bouche ou de bouche ou de baisser ma culotte.

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Le couloir était vide. Mes mains moites glissaient sur la crosse du fusil à pompe. Edward s'engagea dans le couloir, et je le suivis vers l'antre du dragon.

Je ne me sentais pas du tout l'âme d'un vaillant chevalier. Peut-être parce que je ne portais pas d'armure rutilante.

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À en juger par sa silhouette et son tailleur pantalon noir, le cadavre était celui d'une femme. Pas évident à déterminer, vu qu'il était allongé sur le ventre avec la poitrine enfoncée et la tête en moins. Le sang avait coulé de son cou comme du vin hors d'une bouteille au goulot brisé. La peau était déchirée. On aurait dit que quelqu'un lui avait arraché la tête à mains nues.

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Chapitre 2

En rentrant chez moi ce matin-là, je vis le soleil se lever. Je hais l’aurore. Ça signifie que j’ai dépassé l’horaire et bossé toute la nuit...

Les rues de Saint Louis sont bordées de plus d’arbres que celles des autres villes que je connais. J’aurais presque pu dire que le spectacle de ces végétaux éclairés par les premières lueurs de l’aube était charmant. Mais il ne faut pas pousser !

Dans la lumière matinale, mon appartement paraît toujours abominablement clair et agréable. Les murs sont de cette couleur glace à la vanille que j’ai toujours vue dans les piaules où je suis passée. La moquette est d’une jolie nuance de gris ; je préfère ça au marron plus fréquemment utilisé.

L’appartement est un grand deux-pièces. On prétend qu’il jouit d’une belle vue sur le parc, juste à côté, mais ne comptez pas sur moi pour le confirmer. Et si j’avais le choix, je supprimerais les fenêtres ! Faute de quoi, je me débrouille avec des rideaux qui transforment la journée la plus ensoleillée en pénombre fraîche et accueillante.

Pour couvrir les petits bruits de mes voisins, j’allumai la radio. Les doux accords de la musique de Chopin accompagnèrent ma plongée dans le sommeil.

Jusqu’à ce que retentisse la sonnerie du téléphone.

Je restais allongée, me maudissant d’avoir oublié de brancher le répondeur. Et si je ne décrochais pas, tout simplement ? Cinq sonneries plus tard, je craquai.

— Allô.

— Oh, excusez-moi... Je vous réveille ? La voix d’une femme que je ne connaissais pas. Si elle essayait de me vendre quelque chose, j’allais devenir violente.

— Qui est à l’appareil ?

Clignant des yeux, je regardai le réveil, sur la table de nuit. Huit heures. J’avais eu deux heures de sommeil. Youpi !

— Monica Vespucci.

Elle avait prononcé son nom comme s’il devait m’expliquer la raison de son appel.

C’était loin d’être le cas.

— Oui.

J’aurais voulu l’encourager à continuer, mais je parvins juste à émettre une sorte de grognement.

— Oh, euh... Je suis la Monica qui travaille avec Catherine Maison.

Cramponnée au combiné, je m’efforçai de réfléchir. Mais deux heures de sommeil ne suffisent pas à m’éclaircir les idées. Catherine était une amie. Elle m’avait sans doute parlé de cette femme, mais je n’arrivais pas à m’en souvenir.

— Oui, bien sûr, Monica... Qu’est-ce que vous voulez ?

La formule manquait de courtoisie, même à mes propres oreilles.

— Désolée d’être aussi impolie... Mais j’ai fini de travailler à 6 heures, ce matin.

— Mon Dieu, vous n’avez eu que deux heures de sommeil ? Vous devez avoir envie de me trucider, non ?

Je me suis gardée de lui répondre. L’impolitesse a des limites.

— Vous voulez me demander quelque chose, Monica ?

— Eh bien, oui... Je donne une petite fête pour enterrer la vie de jeune fille de Catherine. Vous savez qu’elle se marie le mois prochain.

Je hochai la tête, puis me souvins qu’elle ne pouvait pas me voir et bredouillai :

— Je suis invitée à la cérémonie.

— Oui, oui, je suis au courant. Les robes des demoiselles d’honneur sont ravissantes, vous ne trouvez pas ?

Je déteste dépenser cent vingt dollars pour une robe longue en satin rose avec des manches bouffantes, mais c’était le mariage de Catherine.

— Vous disiez, à propos de cette petite fête ?

— Oh, oui, bien sûr, excusez mon bavardage... Surtout que vous devez tomber de sommeil...

Je me suis demandé si hurler à la mort me débarrasserait plus vite de l’intruse. Sûrement pas : elle se serait plutôt mise à pleurnicher.

— Monica, dites-moi ce que vous voulez.

— Eh bien, je sais que c’est un peu tard, mais j’ai perdu le contrôle de mon emploi du temps... En fait, j’avais l’intention de vous téléphoner la semaine dernière. Mais il n’y a pas eu moyen...

Ces femmes modernes débordées !

— Allez-y !

— Ce soir, on enterre la vie de jeune fille de Catherine. Comme elle m’a dit que vous ne buviez pas d’alcool, j’ai supposé que vous accepteriez de reconduire les invitées chez elles, après la fête.

Une minute, je suis restée muette, me demandant si ça valait vraiment la peine de me foutre en rogne. Mieux réveillée, j’aurais peut-être ravalé ma réplique suivante.

— Si vous voulez que je fasse le chauffeur, vous ne trouvez pas que vous me prévenez affreusement tard ?

— Je sais. Vraiment, je suis navrée. Bon, je me suis un peu dispersée, ces temps-ci. Catherine m’a dit que vous ne travaillez pas le vendredi soir. Vous êtes libre, n’est-ce pas ?

Elle avait raison, mais je n’avais aucune envie de sacrifier mon unique soirée libre de la semaine pour faire plaisir à une fichue étourdie.

— En effet, je ne travaille pas...

— Génial ! Je vais vous donner toutes les indications nécessaires... Vous pourrez nous prendre à la fermeture des bureaux. C’est d’accord ?

Je n’étais pas du tout d’accord, mais comment protester ?

— Parfait.

— Vous avez du papier et un stylo sous la main ?

— Vous venez de me dire que vous travaillez avec Catherine ?

Je commençais à me souvenir de la tête de Monica.

— Oui, pourquoi ?

— Je sais où elle bosse. Inutile de me donner l’adresse.

— Oh, oui, bien sûr, c’est idiot ! On se voit à 17 heures. Mettez quelque chose de joli, mais surtout pas de talons : nous irons peut-être danser.

J’ai horreur de danser.

— D’accord, à ce soir.

— À ce soir.

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-tu as honte de moi?

sa voix etait rugueuse comme du papier de verre. je ne voyais pas ses yeux, mais il contractait les machoires.

-ce n'est pas ca. c'est toi ui es venu me voir au boulot et qui as pretentu etre mon <<ami>>. si nous allons dans un endroit ou on me connait, il faudra continuer a faire semblant.

-des tas de femmes paieraient pour que je les escorte[...]

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J’obéis et basculai dans la flamme bleue de ses yeux. Le feu ravagea mon esprit. Ses pensées me lacérèrent comme des couteaux, puis me découpèrent en tranches. Sa rage m’ébouillanta jusqu’à ce que j’aie l’impression que la peau de mon visage tombait en lambeaux. Des griffes raclèrent l’intérieur de mon crâne, réduisant mes os en poussière.

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Je ralentis et m’immobilisai, le temps de faire quelques

étirements. Zachary s’effondra près de moi. Visiblement, il n’était pas très sportif. Mais s’il ne se remettait pas en route tout de suite, ses muscles se contracteraient, et il ne pourrait plus repartir. Peut-être le savait-il. Et peut-être s’en fichait-il.

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Toute joie s’effaça des traits charmants de la jeune fille. Seuls ses yeux pétillaient encore. Mais il n’y avait rien de gai dans ce regard étincelant.

Le regard des chats quand ils s’apprêtent à croquer un petit oiseau.

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- J’ai peur d’eux, avouais-je. C’est une caractéristique très humaine : détruire ce qui vous fait peur.

- La plupart des gens préfèrent fuir ce qui leur fait peur. Vous, vous courez après. Vous devez être un peu folle.

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