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- Les vampires de plus de deux cents ans sont-ils tous des pervers ? m’exclamais-je, exaspérée.

- J’ai plus de deux cents ans, me rappela Jean-Claude.

- C’est bien ce que je voulais dire.

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Jean-Claude glissa un doigt entre ses lèvres puis approcha de moi, humide de salive. J'eus un mouvement de recul.

- Que voulez-vous faire ?

- Juste essuyer le sang sur ta joue; rien de plus.

- Ça m'étonnerai beaucoup.

Il eut un soupir qui me donna la chair de poule.

- Tout est si difficile avec toi.

- Ravie que vous l'ayez remarqué.

- J'ai besoin de te toucher, ma petite. Je crois qu'Alejandro t'a fait quelque chose.

- Quoi ?

Il secoua la tête.

- Quelque chose d'impossible .

- Pas de devinettes, Jean-Claude.

- Je crois qu'il t'a marquée.

J'écarquillai les yeux.

- Comment ça ? Deux vampires ne peuvent pas avoir la même servante humaine !

- Exactement. (Il approcha de moi) Laisse-moi tester ma théorie, ma petite, s'il te plait.

- Qu'est-ce que ça implique ?

Il jura dans sa langue maternelle. Je ne comprenais pas les mots, mais je ne pouvais pas me méprendre. C'était la première fois que je l'entendais jurer.

- L'aube ne tardera pas à se lever, et je suis fatigué. À cause de tes questions, quelque chose de très simple pourrait nous prendre toute une putain de journée.

- Mais dites-moi au moins à quoi m'attendre. Vous savez que je déteste les surprises.

- Je dois te toucher pour chercher mes marques et la sienne …

- Faites vite.

- L'idée que je te touche te répugne-t-elle à ce point ? Tu dois t'y préparer comme à une douleur ?

Je ne pouvais quand même pas répondre « oui » !

- Dépêchez-vous, Jean-Claude, avant que je change d'avis.

De nouveau, il humecta son index.

- Vous êtes obligé de procéder ainsi ?

- Ma petite …

Je me tortillai contre le mur de pierre.

- D'accord, d'accord … je en vous interromprai plus.

- Tant mieux.

Il s'agenouilla en face de moi. Le bout de son doigt effleura ma joue droite, laissant une trace humide sur ma peau … il se pencha comme pour m'embrasser, et je posai les mains sur sa poitrine pour l'empêcher d'approcher trop. Sa peau était lisse et dur sous le tissu de sa chemise.

J'eus un mouvement de recul et me cognai la tête contre le mur.

- Et merde !

Jean-Claude sourit. Ses yeux bleus pétillèrent à la lueur des torches.

- Fais-moi confiance (Ses lèvres étaient à quelques centimètres des miennes). Je ne te ferai pas de mal.

Son souffle s'introduisit dans ma bouche.

- Ouais, c'est ça, gargouillai-je, au bord de la panique.

Ses lèvres se posèrent sur les miennes. Douces comme de la soie, brûlantes comme le soleil de midi. Je les sentis glisser doucement vers mon cou.

- Jean-Claude ?

- Alejandro est né à l'époque où l'empire aztèque n'était encore qu'un rêve, chuchota-t-il dans le creux de mon épaule...

Sa langue chaude et humide darda entre des lèvres.

- Arrêtez ça.

Je tentai de le repousser et sentis les battements de son cœur sous mes mains. J'en levai une pour la placer sur sa gorge et appuyai le pouce de l'autre sur une de ses paupières closes.

- Ecartez-vous de moi, ou je vous arrache un œil, menaçai-je.

Ma voix était rauque de panique, et pis encore, de désir.

Le contact de son corps contre le mien, sous mes mains, ses lèvres sur ma peau … Une partie de moi mourait d'envie de s'abandonner. J'avais envie de Jean-Claude ! Ça n'était pas une nouveauté.

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- Je me demandai où vous trouvez des chemises pareilles, lançai-je en secouant la tête.

Il sourit.

- Elle ne te plait pas ?

Sa main caressa sa poitrine, comme une invitation … Si je voulais, semblait-elle me dire, je pouvais toucher pour voir combien le tissu était doux.

Je ne voulais pas me laisser distraire.

Jean-Claude me dévisageait de ses incroyables yeux bleu noir.

- Elle vous désire, maitre, dit Stephen, méprisant. Je le sens d'ici.

Jean-Claude tourna la tête vers lui.

- Moi aussi, répliqua-t-il, d'une voix douce mais vaguement menaçante.

- Je ne voulais pas vous offenser ! se récria Stephen.

Il avait peur. Je ne pouvais pas l'en blâmer.

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«Sa main retomba sur les draps et les effleura sensuellement.

-Qu'essayez-vous de faire, Jean-Claude?

Il me regarda dans les yeux.

-De te séduire, bien sûr.

Bien sûr. Quelle idiote je fait!»

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- Je compte te garder pour toujours, ma petite. Je n’y songerais pas si je pensais que tu puisses m’ennuyer un jour.

- Moi, vous m’ennuieriez.

- Tu cherches à me provoquer !

Je haussai les épaules.

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Bien des femmes se plaignent qu'il ne reste pas d'hétéros célibataires. Moi, j'aimerais simplement en rencontrer un qui soit humain.

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Une douzaine de roses blanches arrivèrent plus tard ce jour-là avec un message de Jean-Claude. "Tu es libre désormais. Mais j'espère que tu désire me voir autant que je le désire. A toi de choisir."

Je regardais les fleurs un long moment. Puis je demandai à l'infirmière de les donner à quelqu'un d'autre ou de les jeter, comme elle voudrait, pourvu qu'elle les ôte de ma vue.

Jean-Claude m'attire. Il se peut même que je l'aime, dans le coin le plus ténébreux de mon âme. Mais peu importe. Fréquenter des monstres finit toujours mal pour les humains. C'est la règles.

Reste Richard. Il fait partie des monstres, mais il est vivant. C'est déjà quelque chose. Aurais-je le front de me prétendre plus humaine que lui : reine des zombies, tueuse de vampire, nécromancienne? Je suis mal placée pour lui jeter la pierre.

J'ignore comment les gens du cirque se sont débarrassés des cadavres, mais la police n'est jamais venue me poser de questions. J'avais peut-être sauvé la ville, mais au prix de deux meurtres. Légalement, Oliver n'avait rien fait pour mériter de mourir. Pour Alejandro, je n'avais pas de preuve formelle, mais ma défense aurait sans doute tenu devant un tribunal.

Enfin, autant ne pas chercher à le vérifier...

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Jean-Claude m’attire. Il se peut même que je l’aime, dans le coin le plus ténébreux de mon âme.

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la voiture ralentit.

_Qu'est-ce que tu fiches ?

_Je ne peux pas l'écraser! cria Larry

_Bien sûr que si! tu verras, c'est très facile.

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Il éclata de rire. Son visage s’illumina de l’intérieur comme si quelqu’un avait allumé une bougie sous sa peau. Il était si beau ainsi que mon cœur se serra douloureusement.

Mais sa beauté ne me donnait pas vraiment envie de le toucher. Elle me rappelait un tigre du Bengale que j’avais vu autrefois dans un zoo. Aussi haut qu’un poney avec des yeux dorés et une fourrure orange, noire, crème et blanc nacré. A force de faire les cents pas, il avait creusé des sillons dans la terre battue de son enclos.

Je me souviens que mes doigts m’avaient démangé, tant j’avais envie de passer la main entre les barreaux pour le caresser. Il était si proche, si beau, si sauvage… Si tentant.

Je serrai mes genoux contre ma poitrine.

Le tigre m’aurait sans doute arraché la main et, pourtant, une partie de moi regrettait encore de ne pas l’avoir caressé.

Je scrutai le visage de Jean-Claude, sentant son rire caresser mon échine comme du velours. Une partie de moi se demanderait-elle toujours ce qui ce serait passé si j’avais dit « oui » ? Sans doute.

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