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Il y a des fois où l’on sent qu’il aurait mieux valu savoir s’arrêter et clairement ce huitième et dernier tome d’Artemis Fowl était le tome de trop.
Cette saga qui était novatrice au moment de sa sortie a perdu ce qui faisait sa force en voulant terminer l’histoire en répondant aux codes du genre. Ce tome est centré sur une grosse bataille finale. Tout est décrit de manière très attendue, ça en devient sans intérêt.
La grosse force de cette saga c’était de suivre cet antihéros impertinent, drôle, caustique, amoral, détestable et c’était pour ça que le lecteur adorait le suivre. Sauf qu’ici on a perdu l’Artemis qu’on aimait détester. Il a perd son mordant, il devient un quasi gentil ce qui donne un personnage très lisse et prévisible. Et la conséquence de ce changement c’est un texte très convenu, qui a perdu toute l’originalité des tomes précédents pour ne garder que ce qui est commun aux autres romans du ce genre.
Par moi c’est clairement le tome de trop, c’est dommage. Maintenant j’ai relu quelques pages du premier tome et le début est toujours aussi décalé et sympa à lire. Pour résumer la saga : les tomes 1 à 6 oui à lire, le 7 moins bien mais pourquoi pas et le 8 ne sert à rien.
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