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« Sur la terre comme en mer, face aux vents et aux tempêtes, de l’aube au crépuscule, sous la Lune et le Soleil, je jure de t’être fidèle. Avec mon cœur de t’aimer, avec mon corps de t’honorer, avec mes lames de te protéger. Tes rêves deviennent les miens, tes combats sont les miens. Je prends tout ce que tu es et te donne tout ce que je suis. Une seule lame, une seule âme à jamais unies. »
Afficher en entier«Dans l'obscurité, les fleurs périssent. »
Afficher en entierPuis j’ai guéri, grâce à toi, et tu as continué de peupler mes rêves et d’accaparer mes pensées et… Et pour être honnête, cela n’a rien d’avouable, confesse-t-il néanmoins avec un petit sourire craquant. J’imaginais ce qu’il se serait passé si nos rôles avaient été inversés : je t’aurais conduite chez moi, où tu aurais dormi dans des draps de soie, l’estomac plein. Je t’aurais reçue comme une reine, Gal, susurre-t-il, proche de mes lèvres. J’aurais répondu à tes attentes, assouvi tes moindres désirs, et j’aurais fait en sorte que tu ne t’en lasses jamais.
Afficher en entier— Sigal d'Aurora, prononce-t-il avec une sensualité féline, et mes terminaisons nerveuses s'enflamment au son de sa voix. Quand je t'ai vu penchée sur moi près de la clôture, j'ai cru à un mirage. Tu étais si belle...
Ses doigts descendent à la lisière du cuir, me frôlent effrontément. Mon corps entier se raidit. Non pas que je réprouve ce que nous sommes en train de faire, au contraire. Mais... ce moment compte-t-il autant pour lui que pour moi ?
— Tu étais la réponse à mes dernières prières tandis que la mort me tendait les bras, Gal. Tu étais... mon évidence, dit-il, m'apportant sans le savoir le réconfort dont j'avais besoin.
Son évidence.
Afficher en entierSelon l'adage : un mâle qui considère sa mère comme une reine traitera sa femme comme une déesse.
Afficher en entier« Ta place est dans la lumière, à la croisée des vents. Tu appartiens au soleil »
« Tu n’es pas une étoile, tu es une fleur »
« Ton histoire est déjà écrite ; nul n’en connait la fin, car elle t’appartient. La nuit venue, lorsque le moment de formuler tes vœux arrivera, n’oublie pas ceci : dans l’obscurité des fleurs périssent»
Afficher en entier« Sur la terre comme en mer, face aux vents et aux tempêtes, de l’aube au crépuscule, sous la Lune et le Soleil, je jure de t’être fidèle. Avec mon cœur de t’aimer, avec mon corps de t’honorer, avec mes lames de te protéger. Tes rêves deviennent les miens, tes combats sont les miens. Je prends tout ce que tu es et te donne tout ce que je suis. Une seule lame, une seule âme à jamais unies. »
Afficher en entier- Que 'vois-tu' ? me demande-t-il soudain, les traits empreints de gravité.
J'observe une nouvelle fois ses tatouages avant de répondre :
- Je vois un homme qui a su tirer avantage de faits tragiques pour s'élever. Un homme qui, sous son air implacable, a puisé sa force dans la souffrance.
- Qu'en penses-tu ?
- Que ces épreuves ont fait de cet homme 'un homme'. Que son armure cache un coeur d'or et ses fêlures. Mais qu'il n'en demeure pas moins un lion.
Il saisit doucement ma main sur son torse, la fixe longuement sans dire un mot. Son visage impassible.
- Qu'attends-tu de lui ?
Afficher en entier- Sigal d’Aurora, prononce-t-il avec une sensualité féline, et mes terminaisons nerveuses s’enflamment au son de sa voix. Quand je t’ai vue penchée sur moi, près de la clôture, j’ai cru à un mirage. Tu étais si belle…
[...]
- Tu étais la réponse à mes dernières prières tandis que la mort me tendait les bras, Gal. Tu étais… mon évidence, dit-il, m’apportant sans le savoir le réconfort dont j'avais besoin.
'Son évidence...'
Ses yeux ne mentent pas. Ses iris verts dans lesquels je plonge et me noie. En cet instant, mes doutes, mes craintes, l’avenir incertain, l’univers, tout s’efface autour de nous, de lui. Dans ses bras, je n’ai plus peur.
'... et lui, la mienne.'
Afficher en entier- Au bal de la Nuit, les Ombres mènent la danse. Mais quand la musique s'éteint, le charme s'évanouit.
- C'est une énigme... ? Un avertissement ! Vous me déconseillez d'y aller, c'est ça ?
L'Indigo secoue la tête, puis me fait signe d'approcher.
Je m'exécute, intriguée.
- Personne n’échappe au Devoir, Sigal, pas plus qu’à son destin, murmure-t-elle, son visage tout près du mien. Ton histoire est déjà écrite ; nul n’en connaît la fin, car elle t’appartient. La Nuit venue, lorsque le moment de formuler tes Vœux arrivera, n’oublie pas ceci : dans l’obscurité, les fleurs périssent.
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