Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 791
Membres
1 013 858

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Je veux renouveler l'art dramatique ! Nous avons un message ! Nous avons une mission ! Nous devons choquer le public ! Le sortir de sa léthargie ! Tout doit être spontané ! ... Et maintenant, répétons ! Tout le monde en place sur ses marques !

Afficher en entier

Je sais livrer des menhirs, dresser les chiens, chasser les sangliers, pêcher, manger, boire, danser, donner des baffes aux Romains...

Afficher en entier

La vaste foire de Condate...

- Je voudrais un bon gigot ; c'est pour une orgie de 15 personnes !

- Je cherche une frisée.

- Vous trouverez ça chez le marchand d'esclaves, là-bas.

Afficher en entier

Obélix : J'espère qu'Astérix m'expliquera. En général, j'aime bien savoir pourquoi nous combattons.

Afficher en entier

- Un jour, un collecteur d'impôts est venu... Depuis, nous sommes dispensés d'impôts ! (...)

- Et il n'est jamais revenu ?

- Jamais ! Donc, pas de revenu, pas d'impôts

Afficher en entier

- Je te répète que non, tu ne chanteras pas !

- Avec toutes ces répétitions, je finirai par ne plus savoir chanter convenablement !

Afficher en entier

Le présentateur de foire : Alors, mon garçon ? Lequel choisissez-vous pour le massacre ? Le vélite ? Le rétiaire ? Le numide ? L'autre là-bas avec le ceste ?

Obélix : Ben… tous !

Afficher en entier

Place ! Place au collecteur d'impôts, envoyé spécial de Jules César ! [...]

Quelques bosses plus tard...

Astérix : Allons Donne-moi ton argent !

Collecteur : Vous serez imposé sur la somme dont vous allez vous emparer.

Astérix : Je vais remplir mon chaudron. S'il y a de l'argent en trop, je te le rendrai.

Collecteur : Cet acompte provisionnel sera déductible de la somme exigible ultérieurement.

Astérix : Désolé... il y a là exactement ce qu'il nous faut... Tu viens Obélix (le saut est rempli de pièces)

Collecteur : UNE QUITTANCE ! SIGNEZ-MOI UNE QUITTANCE !

Afficher en entier

Astérix : Je reviendrai avec ce chaudron plein de sesterces, ou je ne reviendrai pas !

Abraracourcix : Tu as bien parlé, par Toutatis ! Reviens avec ton chaudron ou dans ton chaudron !

Afficher en entier

ASTÉRIX : Mais ?... Sens !

OBÉLIX : Sentir de l'argent ? Mais ça n'a pas d'odeur !

(Snif ! snif ! snif ! snif !)

OBÉLIX : Ça sent bon !

N. B. : on attribue traditionnellement l'expression "L'argent n'a pas d'odeur" à l'empereur romain Vespasien (probablement abusivement) suite à une extension de l'impôt nommé chrysargyre à la taxation de la collecte d'urine (utilisée alors en tannerie et en teinturerie), d'où également le nom de "vespasiennes" pour dénommer les urinoirs publics. Donc, si je puis m'autoriser ce calembour, c'est encore une fois extrêmement " bien senti " de la part de René Goscinny.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode