Commentaires sur ses livres

Like a love story est un livre dont vous ressortirez marqué. C'est l'histoire de trois jeunes, Reza, Art et Judy, l'histoire de leur rencontre et de leur combat. Reza est terrorisé par son désir pour les hommes et de ses possibles conséquences. Art est en colère, contre le gouvernement, les entreprises pharmaceutiques, ses parents qui ne le comprennent pas, contre le monde entier. En colère de voir ses proches mourir d'une maladie dont on ne parle pas assez. Enfin il y a Judy, styliste en herbe qui rêve de percer dans le monde de la mode, mais aussi et surtout de trouver l'amour.
C'est un livre plein d'émotions, une histoire poignante et émouvante, avec un message fort et des personnages extrêmement attachants. Un livre à lire absolument, de préférence avec Madonna en fond sonore.

Un roman très émouvant que je suis heureuse d'avoir lu. Cependant je n'ai pas pu m'empêcher de le comparer au film "120 battements par minutes", qui m'a beaucoup bouleversée... Et contrairement à ce film, ici je n'ai pas vraiment eu de feeling avec les personnages. Ils sont pourtant attachants et originaux... Ce que j'ai préféré, c'est suivre les manifestations d'ACT UP et leurs actions, plus que les histoires d'amour entre les personnages.

Je sens déjà que je vais avoir du mal à vous parler de ce livre, tellement j'ai aimé son message juste et touchant ! J'ai dévoré ce livre en l'espace de quelques jours et je le referme avec beaucoup d'émotion.

Like a love story, c'est l'histoire de Reza, Art et Judy, trois adolescents liés par l'amour et l'amitié. On se trouve à New York en 1989, en plein dans la lutte contre le sida. A cette époque il était vraiment compliqué pour la communauté homosexuelle d'être acceptée, et surtout d'avoir accès à un traitement pour vivre avec le VIH.
Reza est iranien, et arrivé à New York pour vivre avec le nouveau mari de sa mère. Il rencontre Judy et Art, et est aussitôt attiré par ces deux personnes uniques. Mais Reza doit encore accepter sa véritable nature pour commencer à vraiment vivre.

Like a love story est ce qu'on appelle un roman "own voice", puisque l'auteur est lui aussi gay, iranien et militant pour la communauté homosexuelle. Autant dire qu'il s'y connaît pas mal sur le sujet, et qu'il est particulièrement à même d'écrire un livre sur le sujet. J'ai trouvé qu'il avait extrêmement bien traité tous les thèmes de ce livre, faisant passer un message très fort qui m'a touchée en plein cœur. J'ai appris beaucoup de choses durant ma lecture, et certaines m'ont révoltée (comme le fait qu'avant le VIH s'appelait le GRID : Gay-related immune deficiency...).

Le récit est écrit d'une jolie plume, et d'un rythme entraînant et addictif. J'ai eu du mal à lâcher ce livre chaque jour en partant à l'école, ou au moment de me coucher... Je suis passée par beaucoup d'émotions, et j'ai ressenti beaucoup de choses, que ce soit pour le thème de ce roman, ou les personnages.

En parlant de personnages, franchement je me suis aussitôt attachée à Art, Judy et Reza. Ils sont réalistes et on n'a pas de mal à s'identifier à cette bande d'amis. Pas de doute, ils vont beaucoup me manquer !

Pour ce qui est de la fin, c'est à ce moment-là que ma note est passée de 5/5 à 4,5/5. J'ai été un peu déçue, car on retrouve ce choix de dénouement dans malheureusement beaucoup trop de roman h/h. J'en ressors un peu triste car j'aurais aimé voir une autre fin, qui aurait rendu ce roman parfait pour moi.

Petite parenthèse juste pour dire que toutes les références à Madonna m'ont étonnamment plu ! Je ne suis pas une fan de Madonna mais je me suis retrouvée à avoir ses chansons en tête durant toute ma lecture. Même la référence dans le titre du roman me plaît !

C'est donc un superbe roman sur l'amour et le militantisme qui saura vous plaire !

Bonne lecture !
Sacha

1989, New-York. On suit l'histoire de trois jeunes en plein milieu du lycée : Judy, amoureuse du design, mais souvent à part ; Art, le seul garçon ouvertement gay de son établissement ; et Reza, jeune iranien qui vient juste d'arriver dans cette grande ville après avoir vécu au Canda.

Dans cette histoire, en plus des divers questionnements de ces jeunes, on voit aussi la grosse crise du sida. On voit de l'amour, des peines de coeur, du militantisme, de la peur ; on voit énormément de queerness et de soutien, d'amour dans cette communauté et ça fait vraiment du bien.

Chacun des personnages a vraiment ce petit truc qui m'a fait les aimer. Judy, cette jeune fille avec ses tenues hautes en couleurs et son sourire à toute épreuve ; jusqu'à ce qu'on la découvre un peu plus sensible, une fille qui rêve d'amour, d'être aimée, d'être acceptée.

Art, c'est un peu la même chose. Il a le courage d'être out, de s'assumer, il a des étoiles plein les yeux quand il participe aux manifestations, il montre son style, ne mache pas ses mots ; mais c'est aussi un gamin qui a peur, parce qu'il sait ce qu'est être gay à cette période là et que sa famille ne l'accepte pas.

Reza, lui, est bien plus réservée que les deux autres à la fois de part son éducation, mais aussi de ses peurs qui prennent plus de places. Il n'a jamais eu d'exemples queers sous les yeux et les seules notions qu'il a pu entendre, ce sont toutes ces histoires sur le sida. Pour lui, être gay, c'est aussi risquer de mourir et c'est quelque chose qui très naturellement le terrifie.

Et bien sûr, Stephen, la figure queer de ce livre qui m'a un peu beaucoup (trop) fait pleurer. Stephen, c'est l'oncle gay de Jude qui est malheureusement atteint du sida. Stephen, c'est celui qui milite, qui veut faire en sorte que les choses bougent, qui ne baissent pas les bras. Stephen, c'est celui qui nous apprends plein de choses, mais guide aussi les plus jeunes, comme un père qu'ils n'auraient pas eu. Stephen, il aura à vie tout mon amour <3


Bref, c'est vraiment un livre que j'ai adoré et qui m'a apprit quelques petites choses aussi sur toute la crise du SIDA à cette période-là. En tout cas, n'hésitez pas à aller le lire !

L'amitié qui lie les trois personnages, la vérité de cette histoire, l'amour, la compassion, le sentiment de solitude et de peur que l'on partage avec eux est énorme. L'homophobie pure de certains personnages est glaçante.
Mais les progrès entre 1990 et aujourd'hui me rassurent énormément ou pas dans le sens où il n'y aurait eu besoin de faire de projet si la communauté LGBTQIAA+ était aussi peu considérer dans ces années là.

Un bouquin qui, en le lisant m'a évoqué un mix entre le premier Life is Strange et Le Cercle Des Poètes disparus.
C'est un excellent roman que je recommande fortement. J'aimerai être capable d'en parler un peu plus, mais franchement je ne sais pas quoi dire.

Ce livre m'a rappelé un peu Le cercle des poètes disparus ! On a 5 élèves qui rejoignent un club d'écriture très select appelé "Le Cercle". Ils vont peu à peu devenir aussi soudés qu'une famille et apprendre à aller au-delà de leurs peurs, et aussi grandir en tant que personne en affrontant des faces cachées d'eux-même.
Au fond j'ai apprécié l'histoire mais je pense qu'elle aurait encore plus aller en profondeur car on a beaucoup de choses qui passent à la trappe tout de même.

Art, une jeune homme gay, issu d’une famille riche mais conservatrice, est rejeté par celle-ci, ainsi que par ses camarades de classe. Heureusement, il peut compter sur sa meilleure amie Judy, une jeune femme qui aime créer des vêtements, tous plus fantasques que les autres, ainsi que sur son oncle, Stephen. Ceux-ci sont en lutte contre le sida, ou plutôt contre le gouvernement qui n’offre que très peu de moyens pour les recherches pour lutter contre cette maladie, qui touche majoritairement les hommes homosexuels et les personnes de couleur.
Reza s’est enfui de l’Iran avec sa famille, sans son père. Après être passé par le Canada, il se retrouve à New-York, dans le même lycée que Art et Judy. Depuis un moment, il se pose des questions sur sa sexualité. Cependant, compte tenu des valeurs qu’on lui a inculquées, il se trouve répugnant et va se cacher en se mettant en couple avec Judy. Malheureusement, cette histoire ne peut que mal tourner...
Ce livre nous parle de communauté, d’une famille que l’on choisit, dans laquelle on se soutient, on fait face à la haine des autres. Il nous fait passer un réel message d’espoir, il nous insuffle une envie de vivre. On ressent les émotions par lesquelles passent les personnages, on passe du rire aux larmes.
La fin est très satisfaisante, un peu triste compte tenu de l'avenir de chacun des protagonistes, mais au moins on n’est pas laissé sur une fin ouverte.

Lecture poignante sur le début du Sida que l'on considéré comme la maladie rédemptrice car touchant le milieu LGBT/Queer et sur l'acceptation (de la famille, de la société et de soi). Les personnages sont touchant bien que le triangle amoureux ne m'ai pas plus. Mon gros coup de cœur de cette lecture est Stephen. Lecture que je recommande.

Très bon livre j'ai adoré je recommande. L'ambiance est très bien

Quel livre… On s’attache aux personnages avec une rapidité folle, j’ai adoré les suivre au long des chapitres. Merci pour ces rires et ces larmes, et merci pour ces mots remplis de bienveillance. Je voudrais ne jamais avoir à laisser Art, Judy, Reza et Stephen. Un réel coup de cœur!

Magnifique.Juste magnifique.

Ce roman est excellent, je l'ai dévoré en peu de temps tellement je voulais savoir ce qui allait se passer dans la vie des personnages. J'ai adoré le trio formé par Art, Reza et Judy ainsi que Stephen notamment. Les adultes ont une place importante dans le récit, ce qui le rend plus réaliste et les personnages évoluent d'une telle façon qu'il est possible d'en détester certaines au début puis de les apprécier et inversement. Il y a énormément de thèmes importants abordés et c'est un livre que beaucoup devraient lire. La préface et la note de fin de l'auteur sont vraiment intéressantes et émouvantes.

J'ai juste adoré ma lecture de A à Z, je l'ai lu en moins de deux heures tellement que j'étais absorbée par leur histoire. J'ai pleuré, souris, puis j'ai été triste, heureuse, mais surtout fâchée de voir que même si cela se passe en 80 de nos jours je ne vois pas une nette différence sur les préjugés qu'on les gens... L'auteur m'a aussi beaucoup émue en racontant son histoire, car parfois la religion est un obstacle à l'amour entre deux êtres et je trouve ça tellement horrible.... Bref foncez le lire de toute urgence !

http://lire-une-passion.weebly.com/romance/like-a-love-story-abdi-nazemian

"​En résumé, et même si je me rends compte à la fin de cet avis que j'ai plus défendu la cause que parler du roman en lui-même, l'auteur nous offre un récit tout en sentiments, en prévention, en défense. Ses personnages sont réalistes, vrais. Ils pourraient être vos proches. Soyez attentifs, vigilants, gentils, à l'écoute. Et vous verrez que le monde sera meilleur et à portée de tous. Un roman à mettre en toutes les mains pour faire comprendre aux plus fermés que c'est à cause d'eux que la société est telle qu'elle est encore aujourd'hui. Qu'avec de la bienveillance, on peut faire de belles choses et marcher ensemble sur le même chemin."