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Le sanglot de l'homme noir
J'ai adoré la qualité de l'écriture et sa musicalité, car il faut dire qu'Alain Mabanckou a un vrai talent de conteur et pour cette histoire (ou plutôt plusieurs en une seule) et pour nous happer, nous faisant nous demander à chaque fin de chapitre "mais ensuite ?". Et bien la suite, au prochain chapitre, qu'on ne peut s'empêcher d'entamer alors qu'il est tard et que dormir serait quand même une bonne idée.
Et si le costume du personnage principal est on ne peut plus bariolé (voir la couverture), le moins qu'on puisse dire est qu'il est en accord avec la galerie de personnages, leur ville, leur pays, tous hauts en couleur.
La mort ? Un passage obligé, certes. Mais qui n'empêche pas de continuer à cotoyer le monde des vivants.
Une joyeuse façon d'aborder des thèmes qui ne le sont pas.
Le commerce des Allongés
Mémoires de porc-épic
Une bonne lecture, même s'il m'a manqué un petit quelque chose..
Petit Piment
Enfant, je me souviens...
Comme j'avais tort!
J'ai beaucoup aimé Lumières de Pointe-Noire. Alain Mabanckou nous retrace son enfance et son adolescence à travers les différents personnages présentés au fil des chapitres. En nous racontant son histoire, l'auteur nous dépeint un Congo dont en entend finalement assez peu parlé. On peut ainsi se faire une image plus précise de l'Afrique.
Le livre se lit plutôt facilement, et pour autant ce livre est un peu long à lire. Mais ce n'est pas grave, car finalement on aime s'attarder auprès des personnages. Les quelques photos qui sont parsemées dans le livre rendent plus agréable encore la lecture. La langue est soutenue, mais le style, déjà poétique, n'en est que plus agréable encore.
Je ne peut donc que vous recommander ce livre qui m'a beaucoup plu.
Lumières de Pointe Noire
Verre Cassé
Verre Cassé
Mémoires de porc-épic
Le livre, étant divisé en trois parties, se développe de manière à ce que la trame du récit soit fluide et compréhensible. Durant son passage entre les morts, il fait la rencontre de nombreux personnages. Chacun d'entre eux apportent leur histoire à travers de belles leçons de vie ou bien encore de belles leçons de morales. On comprend que la vie est précieuse, que chaque décision a un impact sur notre avenir d'un point de vue positif ou négatif. Chaque personnage a son vécu ce qui apporte une touche de légèreté. La plume de l'auteur, en plus d'être touchante et fluide, se veut compréhensive et mélodieuse. Dans les moindres détails, elle nous apporte un sentiment de légèreté et de bonheur dans des moments qui ne doivent l'être. Avoir un regard "extérieur" sur la situation de chaque personnage nous permet de comprendre les enjeux et les thématique que l'auteur souhaitent aborder. On est rapidement pris au tournant au fur et à mesure des chapitres qu'il nous est difficile de quitter l'univers.
Plus le récit approche de sa fin, plus le lecteur souhaite savoir ce que Lima va faire suite aux conseils que lui auraient donné les défunts. Quelque fois, les passages sont difficiles à lire de part la violence des événements cités dans le récit. Touché par ce récit, les personnages ont marqué mon esprit et la lecture fut très plaisante. Ce n'est pas un coup de coeur bien que j'ai été profondément marqué par la sensibilité de l'auteur et des personnages.
Un livre que je recommande, qui doit être lu et compris. Ce n'est pas qu'un ouvrage qui parle de la mort, dans un sens paradoxal, il apporte de la vie là où les défunts sont censés l'avoir perdu.
Le commerce des Allongés
Il nous emmène, dans une histoire rocambolesque, au pays où la frontière entre les morts et les vivants est très floue, où les cimetières sont fréquentés par les esprits, où la lutte des classes se poursuit chez les défunts, où la politique est plutôt affaire de magie et sorcellerie sur fond de corruption et préférence ethnique, où les morts prennent grand soin de leur noeud papillon et de tenues inspirées de la SAPE.
Après que le héros ait assisté, avec curiosité, à sa propre veillée funèbre et son propre enterrement, nous ne sommes pas vraiment surpris de le suivre, surgi de sa tombe, pour aller se venger, et retrouver le fantôme de son amoureuse... A défaut de vie commune, ils vivront une mort conjugale.
Esprits cartésiens, s'abstenir. Amateurs de contes fantastiques, préparez-vous à une lecture un peu longue, mais réjouissante au pays des cimetières du Congo.
Le commerce des Allongés
Le monde est mon langage
Verre cassé est un habitué du bar Le Crédit a voyagé, il passe son temps à boire et à écouter les histoires des autres. Un jour, l’Escargot entêté, le patron du bar, propose à Verre cassé d’écrire un livre de ceux qui fréquentent son établissement. Verre cassé se prend au jeu et recueille des fragments de vie tragiques ou comiques dans un langage pour le moins truculent. On est au début des années 2000, au Congo, et les histoires sont des plus rocambolesques.
Ces histoires racontées par Verre cassé sont aussi prétexte à des clins d’œil à la littérature française et internationale tels qu’Amadou Hampâté Bâ, John Kennedy Toole, Gao Xingjian, David Foenkinos, Anna Gavalda, Marcel Proust, Le Clézio, Albert Cohen, Michel Houellebecq, Mitterrand, Dino Buzzati, Céline, et surement d’autres à côté des quels je suis passé. Il faut noter, une dédicace spéciale à un certain Holden de L'attrape-cœurs de JD Salinger, pour une question existentielle sur les canards. Pendant qu'un professeur interroge l'Holden Caulfield de "L'attrape-cœurs" sur son renvoi de l'école, l'esprit du jeune élève vagabonde et se pose une question essentielle: "Je me demandais où allaient les canards quand le bassin était tout gelé, tout couvert de glace. Je me demandai tout à coup si un type venait avec un camion et les emmenait au zoo ou je ne sais quoi. Ou s'ils s'envolaient tout simplement."
❓Donnez-moi le titre d’un roman d’Alain Mabanckou qui vous a particulièrement plu ?
Verre Cassé
Les cigognes sont immortelles
Une colère noire. Lettre à mon fils