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Une colère noire. Lettre à mon fils
C'est plat. Michel est agaçant. Plus on lui explique le danger, moins il pige et plus il gaffe. Oo
Même le découpage sur trois jours est fumeux. Car en vrai on ne cesse d'avoir des flash-back sans intérêt, des délires rêveurs du héros, et des traditions qui m'ont fait bien grincer des dents. Exemple : normal quand tu bosses comme un forcené de te ruiner en entretenant des "parasites" soit disant cousins, ou juste anciens voisins villageois Oo, qui eux n'en glandent pas une et considèrent que ce qu'obtienne les travailleurs leur est dût...ça m'énerve !
Et je ne peux que constater que par les divers biographies que j'ai lu de personnes issue du continent africain (tout pays confondus) que c'est quelque-chose qui perdure et persiste de façon extrêmement pénible dans leur entourage. Car on ne parle pas de coup de pouce pour des personnes dans le besoin...mais bien d'abus excessifs semblables à du racket serein et assumé !
"T'as des sous. Bin donne j'en veux, sans bosser hein. Mais toi t'aimes travailler alors je te laisse faire. Comme ça tout le monde est content."
Donc pas esbaudie loin s'en faut. Même si cela est intéressant dans le fond, car cela a bien eu lieu...ce fut trop politique d'un côté (tous les tenants aboutissants avec trop de noms d'un coup), et trop puérile de l'autre (Michel plane).
Dommage.
Les cigognes sont immortelles
Mémoires de porc-épic
Verre Cassé
Mémoires de porc-épic
- la description de la vie quotidienne qui se dégradent quand la haine entre 2 peuples d’un même pays montent
- et puis l’arrivée de la guerre avec les statuts complexes pour les couples mixtes, en particulier pour la personne qui ne vit pas dans la partie dominée par son peuple
- un récit poignant et dur
- une violence présente mais sans surenchère de descriptions de ces moments là
- un pays africain inventé qui rend le destin de l’héroïne très universel
- une histoire de survie, d’amour et d’incompréhension
- que reste-t-il de l’amour de son pays quand les conflits salissent tout ?
Les Petits-fils nègres de Vercingétorix
L’écriture est très fluide et m’a porté tout le long du roman, même si je ne saurais dire qu’est ce qu’il m’a plu exactement.
J’ai appris pas mal de choses sur la culture congolaise, et sur leur vison de la France. (Les sapeurs, je ne connaissais pas du tout !)
Bleu-Blanc-Rouge
Mémoires de porc-épic
La réponse tient en deux mots : guerre civile. Le Viétongo est déchiré entre deux ethnies, les Nordistes, minoritaires mais au pouvoir, et les Sudistes. Hortense est une mariée à un Sudiste. Et lorsqu’un coup d’Etat survient et que les Petits-Fils nègres de Vercingétorix endoctrinent son mari dans leur rébellion… tout vole en éclat.
En soi, c’est un bon roman, mais il ne m’a pas trop emportée. Déjà, j’ai un peu mélangé les histoires d’Hortense et de son amie Christiane, qui sont un peu similaires. Et puis, j’avais un peu trop de recul sur le récit, je n’étais pas plongée émotionnellement dedans.
Je n’ai pas grand-chose à dire de plus. C’était une bonne lecture, intéressante sur les mécanismes d’une guerre civile et ses impacts sur les familles. Ce n’était sans doute pas tout à fait le bon moment pour en profiter au mieux, j’ai fait traîner le début de ma lecture un peu trop longtemps.
Je suis contente d’avoir découvert la plume d’Alain Mabanckou et je pense que je lirai d’autres de ses romans !
Les Petits-fils nègres de Vercingétorix
Une belle initiative pour une belle cause en tous cas !
Enfant, je me souviens...
Je n’ai pas apprécié ma lecture. Pourquoi ? car je ne me suis attachée à aucun personnage, le faits historiques retracés par le personnage principal sur son pays et les pays alentours ont, à mon sens, gâché le récit romanesque et l’écriture à hauteur d’un adolescent m’a aussi lassée. J’aurais pu abandonner mais têtue comme je suis, j’ai persisté. Mais la sauce n’a pas pris.
Les cigognes sont immortelles
En faite ce livre m’en a rappelé d’autres comme Tartarin de Tarascon ou Don Quichotte, notre narrateur est un de leur digne descendant, Verre cassé se fait narrateur des ces histoires. Haut en couleur, c’est ce qui me vient en premier à l’esprit pour décrire ce livre.
C’est une bonne surprise, et le principal selon moi, les histoires se valent ce qui est relativement rare, d’habitude quelques-unes sont plus travaillées que d’autres. C’est amusant à lire et ça me fait du bien, ce n’est pas un coup de cœur mais c’est quand même une recommandation !
Verre Cassé
Verre Cassé
Verre Cassé
Enfant, je me souviens...