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Commentaires sur ses livres

Céline Minard

Par bookemixer le 2 Janvier 2017 Editer
bookemixer
Excellentes histoires de personnages "hauts en couleur" dont les chemins convergent vers un point géographique (la ville typique du far-west). Super voyage dans le passé =)
A propos du livre :
Faillir être flingué
Faillir être flingué
Par Skritt le 10 Novembre 2015 Editer
Skritt
Ce roman se déroule dans l’Amérique de la conquête, au pays des cow-boys, quand les shérifs poursuivaient les brigands, quand les indiens chassaient le bison, quand les saloons vibraient des bagarres alcoolisées, des douces voix des danseuses. C’est l’histoire de plusieurs personnages à l’état d’esprit typiquement américain qui se croisent à de multiples reprises. Cette mentalité d’expatriés qui partent à la recherche de l’eldorado, vivre libre et construire un avenir.

L’auteur nous propose un récit innovant dans le style et le genre. Nous suivons le destin de quelques américains prêts à jouer aux dés leur cheval ou une nuit au lit. Dans un univers difficile, nous découvrons ce qui a construit l’Amérique et comment est né cet envie de croire en l’avenir et pourquoi cette mentalité persiste toujours.

Le roman est d’un réel optimisme. Les personnages s’en remettant toujours au lendemain qui sera toujours mieux que le jour présent. Un brin d’humour chaussé de bottes en cuir. Un message de fraternité et de communauté dans la création et l’agrandissement d’un bourg en petite ville. L’initiative de gens ingénieux qui donnent aux américains quelques accords de gloire et qui nous fait comprendre pourquoi eux, plus que tous les autres, sont adeptes de la méritocratie.

Ce roman est plaisant à lire, est une bouffée d’évasion. En lisant la dernière page, vous regretterez le whisky de Sally, la douceur des couvertures de Nils, la vibration d’une cavalcade de chevaux ou encore la serviette chaude sur le visage après le rasage.

Une écriture fluide, pleine d’images, d’odeurs et de sons. Bref, un roman qui fera de tout lecteur un voyageur dans le temps et dans le l’espace, au pays des cow-boys et des indiens.
A propos du livre :
Faillir être flingué
Faillir être flingué
Par Mietje le 6 Août 2014 Editer
Mietje
Je ne sais toujours pas pourquoi j'ai acheté ce livre. Au début j'étais un peu déçue, cette histoire de far west d'indiens et de "blancs" me semblait dépourvue d'intérêt. Et puis on se laisse prendre par la magie de l'histoire de tous ces gens différents qui essayent de cohabiter plus ou moins harmonieusement. Le mythe de l'Ouest américain ! Un livre très divertissant, le plaisir de le lire augmente au fil des pages.
A propos du livre :
Faillir être flingué
Faillir être flingué
Par Melanie270503 le 26 Février 2024 Editer
Melanie270503
Un bon livre écrit en deux parties mais dont il vaut mieux lire la seconde partie en premier lieu afin de comprendre la première. Il recueille de nombreuses insultes dont la construction linguistique est très intéressante.
A propos du livre :
Olimpia
Olimpia
Par SophieTR le 23 Mai 2023 Editer
SophieTR
J’ai eu du mal à rentrer dans ce western littéraire. J’ai fini par me décider à dresser la liste de tous les personnages qui apparaissent dans les premiers chapitres et qui reviennent par la suite tout au long du livre. Dés lors, je me suis pris au jeu et j’ai suivi leurs péripéties jusqu’à la fin. C’est vivant, bien écrit, drôle et j’en recommande vivement la lecture.
A propos du livre :
Faillir être flingué
Faillir être flingué
Par cynodon78 le 12 Avril 2023 Editer
cynodon78
Pour un livre décrit comme extraordinaire par une partie de la presse , c’est une petite déception. Si le sujet et la manière de le traiter avec engagement, rythme, loufoquerie sont excellents de même que l’écriture, l’auteur reste trop abstraite quant à ses réelles intentions et produit une fin piteuse. Certes l’imagination de chacun doit faire le reste mais on est tellement entraîné dans un tourbillon qu’il est décevant que la conclusion n’en soit pas une.


A propos du livre :
Bacchantes
Bacchantes
Par Miaouss le 23 Juin 2022 Editer
Miaouss
La plume est bonne mais je n’ai pas été transporté par ce roman comme d’autres ont pu l’être, les westerns ça n’est pas trop mon truc, à part Lucky Luke. Les descriptions sont belles et les personnages sont bons également mais dès le début, je ne me sentais pas à l’aise dans cet univers. J’ai aussi aimé le fait que ce soit une femme qui écrive ce western, ça change totalement de la vision viriliste des hommes, d’après ce que j’ai pu voir ou lire.
Maintenant, les personnages sont aussi un peu clichés, et outre le fait que je n’accroche pas à l’univers, il lui manquait cette étincelle de vie que j’aurais aimé trouver. Je reconnais que je me suis aussi un peu perdu avec tous les personnages et leurs différentes intrigues, je n’avais clairement pas la tête à ça. Peut-être lui redonnerais-je sa chance un jour ? En attendant, si vous êtes fan du genre, il a tout pour vous plaire, c’est un bon roman d’aventures, c’est bien plutôt bien écrit mais je reste mitigé dans mon avis sur l’abondance des personnages, qui peu être un point fort, mais je le vois comme un point faible, il manque une figure forte ou deux qui se détache du reste.
A propos du livre :
Faillir être flingué
Faillir être flingué
Par Double6 le 23 Mai 2022 Editer
Double6
Je ne suis pas rentrée dans l histoire
A propos du livre :
Le Grand Jeu
Le Grand Jeu
Par lin105 le 16 Mars 2021 Editer
lin105
Je n'ai pas réussi à lire plus de la moitié du roman malgré ma détermination à lire jusqu'au bout les livres que j'ai entre les mains. Je ne suis pas rentrée du tout dans ce livre, n'ai pas compris de nombreux passages et j'ai été noyée par des tas de références que je ne connais pas ou ne voyant pas leur rapport avec les actions du personnage principal auquel d'ailleurs je n'ai pas accroché du tout. Ce qui me plaisait était cette idée d'homme se retrouvant seul au monde suite à une mystérieuse catastrophe mais au final j'ai pensé pendant ma lecture que le personnage était juste fou et enfermé dans quelque asile en train de délirer. Chacun se fera sa propre opinion, mais en tout cas ce livre n'était pas pour moi.
A propos du livre :
Le dernier monde
Le dernier monde
Par zelig le 15 Novembre 2020 Editer
zelig
Dans ma lecture, les "effets de réel" qui semblent recherchés par des descriptions précises, techniques, des situations sont souvent tombés à plat. En effet, malgré la recherche de détails, elles sont souvent peu vraisemblables dès qu'on connaît bien le milieu ou les activités de montagne. Étant pratiquant assidu de l'alpinisme et de l'escalade, je ne comprends pas, par exemple, l'intérêt de grimper en sécurité en lançant un grappin (p. 60-61), ni de planter des pitons dans un passage de descente (p. 62-63). Malheureusement, ce passage n'est qu'un exemple parmi d'autres, le roman est truffé de ce genre de "réalisme invraisemblable" : j'en suis désolé, mais l'image qui me vient est celle d'un croisement monstrueux entre Zola et Disney. Ainsi les descriptions techniques qui ont gêné certains lecteurs profanes peuvent irriter aussi les connaisseurs.
Je n'ai pas beaucoup aimé non plus la progression quasi systématique des réflexions de l'héroïne (de l'auteur) sous une forme interrogative. Dommage, car le projet de l'ouvrage, le déroulement de l'intrigue, certains passages qui se veulent moins réalistes (l'épisode onirique des p. 169-176) sont vraiment intéressants.
A propos du livre :
Le Grand Jeu
Le Grand Jeu
Par fredmerck le 8 Août 2020 Editer
fredmerck
Faillie être flingué est dans ma liste d'envies depuis 3 ans, c'est dire que je ne me souviens guère par quel biais j'ai découvert ce titre. Je ne l'ai pas acheté plus tôt car j'étais sceptique : un western écrit par une française ? Pourtant la 4e de couverture était fort justement prometteuse, évoquant les prairies du Far West, des pistes convergentes, une mystérieuse indienne, des frères traversant les grands espaces avec une vieillie mère mourante...

il y a quelques jours, j'ai vu le livre en librairie et ai donc sauté le pas. Il était temps !
L‘histoire se découpe en deux parties.
Dans la premières, les assez nombreux personnages ne se sont pas encore rencontrés et chaque chapitre décrit leur parcours dans la Grande Plaine. Ils remarquent leurs pistes ou traces respectives. Ils se connaissent déjà un peu sans le savoir. J'ai adoré ces premières pages, environ la moitié. j'y ai retrouvé un peu de Lonesome Dove, un peu des Marches de l’Amérique ou du Filsl dans cette idée d'un espace immense mais désert seulement en apparence et où tous finissent par se croiser sans cesse. Puis, tous convergent vers une ville naissante à partir de laquelle la suite du récit va s'articuler. J'ai un peu moins aimé cette partie car pour moi ce n'était plus vraiment du western mais heureusement j'étais déjà attachée aux personnages et à l'écriture de Céline Minard.

Côté personnages, il y a donc pour commencer Jeff et Brad McPherson, et le fils de Brad, Josh, qui avancent vers l'Ouest avec leur charriot à bœufs. A bord, la grand-mère est mourante et veillée par une "gamine" ramassée en route. Il y a Elie, qui a pris le cheval de Bird Boisverdl, Zebulon et ses deux sacoches, Gifford qui suit Eau-qui-court-la-plaine, Orage-Grondant le chef indien, Arcadia la contrebassiste, Sally la tenancier de bordel, Silas le barbier : un vrai roman choral. Au début, se repérer parmi tout ce petit monde n'est pas évident mais il y a tellement de poésie dans tous ces fils du récit que ce n'est pas vraiment un problème.

Conclusion : oui il est possible d'écrire un western en étant un auteur français, et j'aurais du lire ce livre bien avant !
A propos du livre :
Faillir être flingué
Faillir être flingué
Par ManonGabrielle le 25 Février 2019 Editer
ManonGabrielle
Il y des romans loufoques qui marquent plus que d'autres. "Bacchantes", pour sa part, me laisse un goût amer de déception.
Certes, le féministe, côté tragi-comique et le visuel donné par l'ambiance "cirque" sont très bien ficelés. Si ce court roman se lit d'une traite, la chute n'est pas à la hauteur du reste. J'ai envie de dire "tout ça pour ça?". Je cherche encore à savoir quel était l'objectif de ce roman, s'il y en a un...
A propos du livre :
Bacchantes
Bacchantes
Par Joyeux-Drille le 21 Février 2019 Editer
Joyeux-Drille
Spectaculaire, grand-guignolesque, extrêmement visuel, à la fois drôle et désespéré, le nouveau livre de Céline Minard est un nouvel exercice de style sur un thème pourtant rebattu : le braquage. Le contexte extraordinaire, l'identité des voleurs, leurs motivations et leur mise en scène de l'événement réservent bien des surprises et envoient de nombreux clins d'oeil. Avec un côté féministe affirmé.

https://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.com/2019/02/les-menades-couraient-en-longs-cheveux.html
A propos du livre :
Bacchantes
Bacchantes
Par pujols le 23 Septembre 2018 Editer
pujols
Que font les enfants quand ils sont seuls ? « Ils s’amusent, ils amassent des cailloux et du sable dont ils font de petits châteaux qu’ils détruisent ensuite. Ainsi ne manquent-ils jamais d’amusement. Ce qu’ils font par enfantillage, ne saurais-tu le faire par sagesse ou par raison ? » Le conseil d’Epictète, la romancière Céline Minard le donne, au détour d’une page, au personnage du Dernier Monde, et lui offre en outre tout loisir de le méditer et l’appliquer : quelque cinq cents pages d’absolue solitude – le temps et les conditions nécessaires, pour le dénommé Jaume Roiq Stevens, ultime survivant d’une espèce humaine définitivement rayée de la carte, d’ériger son « château de sable » bien à lui, d’inscrire au patrimoine de l’humanité défunte une ultime et flamboyante épopée, de donner à l’Histoire un chapitre final, tout à la fois récapitulation et épilogue.
Roman savant et extravagant, admirable d’ambition et de maîtrise, d’érudition et de trivialité mêlées, où la puissance narrative et l’intention moraliste intense travaillent main dans la main, Le Dernier Monde est le compte rendu du périple rocambolesque de Jaume Roiq Stevens, le dernier homme, entraîné à travers la planète déserte comme pour une ultime inspection des lieux, un bilan de l’histoire humaine avant clôture définitive des comptes, un inventaire des civilisations avant liquidation. Au moment où l’on fait sa connaissance, à la première page du livre, Jaume Roiq Stevens est cosmonaute, embarqué à bord d’une station orbitale avec vue imprenable sur la planète bleue. C’est lui qui a la parole, lui qui raconte – et son récit commence au beau milieu d’un mot, ce qui tend à indiquer que manque le début du texte, et l’on saura par la suite que tel est bien le cas, et l’on saura aussi pourquoi, mais plus tard, tout cela… Pour l’heure, notre homme, plutôt sarcastique et rétif aux ordres, vaque à ses expériences scientifiques en apesanteur et tient le journal de ses activités. Tellement à son aise en ces hauteurs que, alors que l’ordre est donné à l’équipage d’évacuer la station, il fait sécession et décide de demeurer là, « seul maître à bord après personne ».
Lorsqu’il redescend sur Terre, quelques semaines plus tard, c’est pour s’apercevoir que les hommes se sont volatilisés. Il aura beau chercher, s’aider pour cela même d’un satellite afin de scruter les villes et les mégalopoles, de fouiller « les gorges les plus profondes, les grottes cachées, les montagnes les plus hautes, la moindre cahute », il ne trouvera personne – si, quand même : des animaux, foule grouillante et inquiétante, rats, chiens, porcs, oiseaux et autres, redevenus maîtres des lieux.
Sans doute est-il des solitudes aimables – on se souvient d’un autre « dernier homme », celui-là imaginé par l’écrivain allemand Arno Schmidt dans Miroirs noirs, et qui vantait les « journées magnifiques de solitud » que lui offrait sa situation. Jaume Roiq Stevens, lui non plus, ne panique pas. « Je vais prendre un peu de distance, je vais écrire tout ce que fait Jaume Roiq Stevens […]. Comme si je me voyais de loin. » Pour meubler sa solitude, il convoque auprès de lui des personnages – comme des émanations de lui-même, tout à la fois incarnées et rêvées, il appelle ça des « failles de soi » –, en compagnie desquels, l’esprit plein de désirs et de projets insensés, il s’élance vers le monde, à travers l’Asie centrale, la Chine, plus tard l’Inde, l’Afrique, Paris… Une échappée belle, exubérante et confiante, enthousiaste et violente, tout à la fois sublime et dérisoire. Rien qu’un rêve, peut-être, une chimère, un délire, le « château de sable » d’un esprit désorienté et malade, mais qu’importe, au fond, « tant qu’il me reste un mot en tête, tant qu’il me reste un mot dans mon cerveau d’homme, c’est toute la communauté qui persiste ».
A propos du livre :
Le dernier monde
Le dernier monde
Par MERYITUDE le 28 Août 2018 Editer
MERYITUDE
Le début est prometteur, mais l' auteure nous narre une histoire très bien écrite mais déconcertante quand à sa nature. On ne comprend pas bien : mélange de schizophrénie et de réminiscence de la vie d'autrefois sachant que le personnage est seul sur Terre après une dévastation difficile à comprendre. A essayer de lire pour voir.
A propos du livre :
Le dernier monde
Le dernier monde
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