Donna Douglas

Ce livre est une merveille, une vraie pépite !!

J'ai immédiatement été transportée dans l'histoire, l'écriture est génial, le contexte aussi, mais surtout, surtout, les personnages !! <3

J'ai vraiment aimé ces trois filles, Dora, Millie, Helen, j'ai rarement rencontré des personnages aussi bien travaillés, aussi attachant, aussi réel... je me suis grandement attachée à elles, à leurs personnalités, leurs histoires..... j'ai très très hâte de lire le tome 2 pour les retrouver !

Je tiens également à dire que ce livre est un véritable "page-turner", les pages, (prêt de 700), défilent à toute vitesse tellement l'histoire est addictive et génial ! :)

Bref, un véritable coup de coeur !

Je vais tout de suite commencer par les points négatifs : c’est la traduction la plus nulle que j’ai lue de ma vie. Sans plaisanter… c’est le genre de traduction que j’aurais pu faire. Je suis persuadée que le traducteur comprend très bien l’anglais et le parle peut-être très bien aussi, par contre il ou elle ne sait pas encore traduire un texte littéraire. Ce sont des phrases très lourdes, pas vraiment françaises, traduites presque littéralement de l’anglais au français ce qui les rend grammaticalement incorrectes pour certaines. On peut quand même sentir que le traducteur a voulu être au plus près de l’original. Mais c’était tout à fait indigeste. Sans compter les bien trop nombreuses fautes d’orthographe, de frappe, de grammaire, de conjugaison, d’accord et de tout ce que vous voulez (y avait même un mot qui n’existe pas… je n’avais vu ça que chez Harlequin jusqu’à maintenant !!). Non franchement c’est la version française la plus mauvaise que j’ai lue, les éditions Charleston ne m’avaient pas habituées à ça (même si j’avais déjà repéré plusieurs coquilles dans leurs précédentes éditions) et je suis très très déçue. J’ai le sentiment que ça n’a pas été relu avant d’être publié en français. J’ai même eu l’impression que c’était du Google trad pour être franche… mais je ne suis pas sûre que Google trad fasse autant de fautes. Soit dit en passant, sur la page de titre j’ai remarqué quelque chose d’étrange : le titre original et le traducteur du texte ont été comme effacés, il y a des petits « x » à la place où ils devaient être.

Passé ce « détail » qui ne dérange pas tout le monde, je sais que je suis très à cheval là-dessus, c’est un excellent roman… les éditions Charleston ne m’ont jamais déçue à ce sujet ^^ L’histoire est passionnante, les personnages sont tous hyper attachants j’ai été à fond très rapidement. J’ai réussi à dévorer ce livre malgré ce que j’ai déjà dit au-dessus, c’était tellement captivant que j’arrivais à passer au-dessus des fautes et autre, ce qui me surprend moi-même. Arrivée à la fin cependant, j’ai été soudainement très frustrée, je ne comprenais pas pourquoi on ne savait pas ce qui arrivait à de nombreux personnages, je trouvais ça cruel comme fin ouverte… jusqu’à ce que je me rende sur le site de l’auteure et comprenne que c’est une série qui comporte déjà 6 ou 7 tomes. Je vais donc me jeter sur les prochains avec impatience (et en anglais parce qu’il n’est pas question que je me coltine à nouveau une aussi mauvaise traduction, merci bien). Une série que je recommande donc chaudement pour ceux qui n’ont pas peur des fautes ou de lire en anglais !

Les filles du Nightingale est une petite pépite de roman divertissant. Divertissant car il ne faut pas en attendre vraiment autre chose mais dans le genre, il est excellent. Cela ferait une superbe série télévisée que j'aurais certainement beaucoup de plaisir à regarder.

L'histoire est celle de trois jeunes femmes en formation à la profession d'infirmière au Nightingale à Londres dans les années trente. Elles partagent la même chambre et vont apprendre à se connaître. Elles appartiennent chacune à une classe sociale différente de la société.

Il y a Dora Doyle qui veut sortir de sa maison de l'East End pour échapper aux abus que lui inflige son beau-père. Il y a Helen Tremayne que les autres tiennent à l'écart par crainte qu'elle ne rapporte leurs faits et gestes à sa mère qui fait parti du comité décisionnaire de l'hôpital, ce qui la rend bien esseulée. De plus, elle doit obéissance et abnégation à sa sévère mère qui la bride depuis l'enfance. Enfin, il y a Mollie Benedict qui voit dans cette formation un salut pour échapper au mariage qu'elle doit contracter par la force des choses car elle est l'héritière du domaine familial qui partirait dans les mains d'un cousin éloigné inconnu si elle restait célibataire au moment où son père disparaîtrait.

On découvre ces trois héroïnes durant toute une année et on s'attache très vite à chacune d'elles.

L'atout de cette saga est le quotidien de ces trois jeunes femmes, très différentes, dans leurs services d'infirmière, que l'on suit avec intérêt. C'est aussi les relations qu'elles mènent dans leur propre famille qui nous ouvrent sur le monde dont elles sont chacune issues avec leurs caractéristiques. Mais surtout, on se plaît à découvrir en même temps qu'elles l'évolution de leur vie sentimentale respective.

Toutes ces variations donnent un rythme très agréable au récit qui devient très addictif au fil des chapitres. Vraiment, l'écriture est plaisante et l'histoire très divertissante.

Pour moi, ce fut un joli coup de cœur très inattendu et très appréciable !

Si vous aimez la série télévisée Call the midwife, ce premier roman de la saga Les filles du Nightingale ne pourra que vous combler.

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Le début de Les soeurs du Nightingale souffre d'un important ralentissement de l'histoire commencée dans le premier tome de la série Les filles du Nightingale du fait de toutes les informations qui sont apportées pour situer les personnages déjà connus et les faits qui se sont déroulés auparavant. Pour celles qui n'ont pas lu le premier volet, cela passe probablement et cela est même plutôt bienvenue mais lorsqu'on vient de lire le bouquin, c'est assez pompeux. Cependant, je le comprends parce que même lors des parutions, il se passe plusieurs mois, parfois un an, entre deux tomes. Quoi qu'il en soit, il se trouve que c'est justement le rythme assez rapide que j'appréciais du fait que l'histoire alternait entre les trois héroïnes dans des univers différents. Ici, ce rythme, du moins sur plus des 100 premières pages, est rompu alors qu'il s'agissait pour moi de l'un de ses principaux atouts. Par la suite, cela s'arrange et cela redevient intéressant.

On retrouve les amours et le quotidien de formation à l'hôpital de Dora qui vient de l'East End, ainsi que de Millie, la riche héritière. Helen, la troisième héroïne du groupe qui occupe la même chambre que les deux autres et dont la mère est sévère et fait partie du comité d'administration de l'hôpital, est à peine évoquée puisque son histoire était assez prépondérante dans le premier tome.

L'évolution des héroïnes Dora et Millie subit de nombreux revirements, ce qui maintient l'attrait et un certain suspens quant au devenir de chacune. Par ailleurs, dans ce second tome, un des trois principaux personnages est nouveau. Il s'agit d'une infirmière , maman d'un petit garçon, qui cache un secret depuis cinq ans. Elle vit dans la crainte que son fils ne lui soit enlevé. C'est son histoire qui est mise en avant et qui se verra traiter de bout en bout. Ces deux derniers personnages sont très attachants et leur histoire attendrissante. Leur histoire permet également de mieux découvrir les soeurs que nous connaissions déjà du fait qu'ils les côtoient.

Malgré que j'ai trouvé ce second tome en dessous du premier, il reste néanmoins divertissant, et j'apprécierais beaucoup de connaître la suite. C'est vraiment le genre de récit qui conviendrait à une adaptation de série télévisée.

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Toujours aussi envie de savoir ce qu'il va arriver aux héroïnes.

Par contre, un 3ème tome voir un 3,5 tome aurait été suffisant.

Il m’est toujours de difficile de trouver un roman dans lequel je me plonge et surtout qui équivaut aux bouquins d’en ma liste de diamant mais celui ci n’en est vraiment pas loin. France loisirs les a édités de sorte’ a ce que’ les deux premiers tomes soient un seul livre et malheureusement je n’ai emmené qu’en le premier avec moi en vacances, je n..aurais pas cru le terminer si vite mais si! L’histoire est superbe, les personnages, tous différents les uns’ des autres sont super attachants’ et cerise sur le gâteau, les petites histoires d’amour qui rendent l’histoire si addictive ... des que je rentre, je commence le tome 3 sans tarder !!

Qu'est-ce que j'ai pu aimer les trois héroïnes !

Leurs personnalités, leurs histoires de cœurs et leurs drames personnels, tout est passionnant !

Et j'imagine déjà les épreuves qu'elles vont rencontrer dans les prochains tomes avec la seconde guerre mondiale qui approche à grands pas…

Mais je suis assez partagée sur cette lecture car la traduction est affreusement mauvaise ! Rien n'est fluide ni plaisant à l'oreille… C'est dommage car j'ai pris beaucoup de plaisir à suivre les débuts d'infirmières de Dora, Millie et Helen en cette année 1934.

Nightingale est une saga historique et romanesque formidable, je la verrais bien adaptée en série télé car j'y ai retrouvé ce que j'éprouvais devant certains épisodes de Poldark ou Downton Abbey.

J'espère donc que la suite sera mieux traduite pour pouvoir mieux savourer les aventures de ces trois battantes.

Comme la traduction laisse à désirer, il ne s’agit pas ici de grande littérature. L’intrigue menée par des héroïnes plutôt attachantes reste acceptable. Le milieu hospitalier anglais des années trente demeure un univers peu familier pour moi et c’est ce que j’ai trouvé intéressant. Avant de me faire une idée quant au classement définitif de l’œuvre, je lirai éventuellement les deux autres tomes que j’ai en ma possession. À suivre....

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/03/25/nightingale-t-1-les-filles-du-nightingale-donna-douglas/

Les filles du Nightingale sont les étudiantes du prestigieux hôpital londonien, où elles apprennent à s’occuper des patients sous la tutelle des infirmières et des sœurs plus expérimentées, dans l’espoir d’être un jour à leur niveau. Dora, Millie et Helen sont trois d’entre elles, trois jeunes filles qui tentent de trouver leur place, malgré la pression liée à leurs conditions respectives, ainsi qu’à leurs origines.

Difficile d’entrer dans ce roman à cause de sa plume laborieuse. Au-delà du fait que l’auteur (le traducteur ?) était sans doute payée au « n’est-ce pas ? », j’ai rarement lu un livre aussi pauvre en vocabulaire (j’ai une sainte horreur des répétitions, et dire que j’ai été servie relèverait dans un tel contexte de l’euphémisme), et aussi bancal en terme de syntaxe.

C’est dommage, parce que le fond n’est pas inintéressant (mais pas non plus exceptionnel). Il souffre néanmoins aussi d’un trop grand nombre de personnages, et de trop fréquents changements de point de vue, ce qui m’a empêchée de vraiment m’attacher à eux, et même, parfois, de m’y retrouver, notamment en ce qui concerne les sœurs que j’avais tendance à mélanger.

En fait, j’ai eu l’impression que l’auteur en faisait à la fois trop et pas assez. On a un gros pavé de six cents pages, dans lequel il ne se passe concrètement pas grand-chose. Les relations (tant amicales que romantiques) se tissent très vite, sauf peut-être du côté d’Helen (ce qui tend à expliquer pourquoi elle est celle que j’ai le plus réussi à apprécier), et le reste demeure assez superficiel.

J’aurais aimé que le côté médical, quoique omniprésent, soit davantage exploré, qu’on en apprenne plus sur les procédures, les traitements et les soins de l’époque. À trop s’éparpiller, cependant, il est impossible de tout creuser. Les problèmes familiaux de Dora, les difficultés de Nick et de Dany, Lucy qui cache ses blessures derrière sa prétention, les tourments d’Helen, son frère volage et sa voiture, l’infirmière en chef qui s’efforce de tenir son hôpital contre vents et marées (c’est-à-dire contre Mme Tremayne), l’insouciance de Millie qui cherche à fuir les convenances dues à son rang, les malheurs de Charlie, Seb, Josie, les sœurs…

C’est trop. Beaucoup trop pour un seul livre, même de six cents pages. J’ai le suivant dans ma PAL, et j’espère que l’auteur se recentrera autour des trois protagonistes, afin de les développer davantage, et surtout d’approfondir leur quotidien, plutôt que nous balloter sans cesse d’un personnage secondaire à l’autre.

Pour le moment, je suis très partagée. L’histoire en elle-même est (heureusement) meilleure que la plume, mais elle aurait pu l’être encore plus. Indubitablement pas de la haute littérature, à lire si l’on aspire à une lecture facile. Si, en revanche, vous aimez les œuvres plus travaillées (surtout en terme de style), je vous recommande de prendre vos jambes à votre cou.

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/09/20/nightingale-t-2-les-soeurs-du-nightingale-donna-douglas/

Dora, Millie et Helen poursuivent leurs études d’infirmière auprès des Sœurs du Nightingale, qui comptent une nouvelle recrue, la mystérieuse Violet Tanner. La tâche est toujours aussi rude, et quand leur vie privée s’en mêle, les jeunes femmes doivent redoubler de courage et de persévérance.

Je ne gardais pas un souvenir très fameux du premier tome, mais à mon grand étonnement, j’ai sincèrement apprécié cette suite. J’ai trouvé la plume plus fluide, quoique toujours aussi pauvre et plus que jamais saupoudrée de « n’est-ce pas ? », et le roman plus prenant.

Dans ma précédente chronique, je reprochais à l’auteur de vouloir aborder trop de sujets, au point de ne parvenir à en développer aucun en profondeur. Cette fois, elle a cessé de s’éparpiller pour se concentrer sur les éléments principaux, et surtout sur les héroïnes, de son histoire.

Mais. Parce qu’il faut bien qu’il y ait un « mais ». Certes, j’ai préféré ce récit épuré, néanmoins je suis d’avis qu’on aurait pu parvenir à un meilleur équilibre. Helen, les autres étudiantes, la plupart des sœurs et, globalement, tous les personnages secondaires, sont relégués à l’arrière-plan, quand ils ne sont pas réduits à une simple mention.

D’accord, la boucle d’Helen était plus ou moins bouclée au terme du premier tome, mais quand même, je ne m’attendais pas à ce qu’elle passe du rang de protagoniste à celui de vague caméo.

Et comme on se focalise surtout sur la vie personnelle des héroïnes restantes, la dimension médicale de l’œuvre, que je jugeais déjà sous-exploitée jusqu’ici, frôle désormais l’anecdotique. Sans Mme Mortimer, qui a moins besoin de soins que de compagnie, on passerait plus de temps hors de l’hôpital qu’en service.

Quant aux sous-intrigues, elles se résolvent un peu trop facilement à mon goût. On voit venir la vérité concernant Violet Tanner à des lieues à la ronde, et le dilemme de Millie se règle si brusquement que son choix final semble presque tomber comme un cheveux sur la soupe.

Pour autant, j’ai apprécié le fait que ces situations permettent de découvrir les sœurs sous un jour nouveau, plus humain, plus sympathique, même, derrière leur masque de froideur et d’intransigeance. De manière générale, je me suis beaucoup plus attachée aux personnages qu’à la lecture du premier tome.

Je me laisserai par conséquent volontiers tenter par la suite si je la croise sur un rayonnage un jour prochain (en espérant avoir d’ici là réduit quelque peu mon effrayante et colossale pile à lire…)