Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Les Silences d'Ogliano
J'ai eu beaucoup de mal à me plonger dans cette lecture, j'ai été contrainte de relire certains passages à plusieurs reprises.
Il est fort possible que je me plonge dans une autre œuvre de cet auteur.
Je ne sais pas vraiment ce que je dois en penser, le fond est bon mais la forme me laisse perplexe...
Vaste comme la nuit
Les Silences d'Ogliano
Les Silences d'Ogliano
Sous couvert de disparition on se trouve au coeur des ragots du village et on passe finalement plus de temps à brosser ce portrait d'une campagne marquée par la 2nde guerre qu'à réellement s'intéresser à l'enquête.
Vaste comme la nuit
"Roméo et Juliette", "Le Cid", "Antigone"; il y a un peu de tout ça dans ce roman; sans oublier "Le Parrain" bien-sûr.
C'est presque trop.
Les Silences d'Ogliano
Les Silences d'Ogliano
Les Silences d'Ogliano
Et si je partageais cette pépite ?
Les Silences d'Ogliano
Comme disait l’immense Brel : « Chez ces gens-là, on ne cause pas… »
À Ogliano, on se tait, on ne dit pas les choses, surtout sur les familles, qui elles sont vraiment, d’où elles viennent. L’omerta est de rigueur, les mots de doivent pas être dits, ils risqueraient de devenir des maux.
Elena Piacentini nous plonge dans un une littérature blanche aux reflets plus que sombre. Elle narre avec des phrases ciselées de poésie l’injustice de ne pas être né « comme il faut ».
L’histoire magnifique de Libero, un jeune homme qui accède à l’âge adulte dans une bourgade imaginaire dans un Sud montagneux. Le vent bruisse au fil des pages, on pourrait croire à un décor de carte postale, c’est bien mal connaître Elena… Elle nous prend par la main pour mieux nous promener dans son univers, dans Ogliano, où le silence est d’or et d’argent pour certains.
Un merveilleux roman, du genre de ceux où vers la fin, le pollen vient te piquer les yeux, à lire absolument !
Stanislas Petrosky
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2022/11/05/39698113.html
Les Silences d'Ogliano
Une fête est donnée par le notable du lieu, le Baron Delezio, pour la fin des études secondaires de son unique fils, Raffaele. Alors, tout le village s’affiche avec ses non dits, ses influences et ses ressentis. Comme un rapace annonce un malheur dans un ciel azur, le décès de la vieille Herminia, dite la folle, déclenche une série d’incidents dont le rapt du fils du notable.
Libéro doit s’arracher à l’aura de Tessa, jeune épouse du baron à la sensualité provocante. Il est fils de l’Argenta, institutrice du village, Cette femme, fière et altière, a choisi d’élever seule son fils qu’elle souhaite libre et fort. Le grand-père est choisi comme tuteur de vie. César, l’artiste bijoutier et ancien carabinier, est présent aussi pour lui apprendre l’exigence du travail bien fait, la recherche de la beauté et de l’excellence.
La suite ici
https://vagabondageautourdesoi.com/2022/06/16/elena-piacentini/
Les Silences d'Ogliano
On y retrouve donc notre femme de glace (Mathilde) dont la couche se fracture petit à petit et laisse enfin apercevoir quelque chose de très intéressant. Il faut dire que peu de choses lui sont épargnées dans ce tome puisqu’elle est au centre de toutes les attentions. Devant supporter le deuil d’une des rares personnes sur lesquelles elle se repose, Mathilde va plonger les deux pieds dans ses souvenirs pour tenter de trouver la réponse à la disparition de sa baby-sitter. Ce qui l'obligera à se dévoiler et arrêter de se cacher derrière les barrières qu’elle a mis si longtemps à ériger.
Alternant entre présent et passé, toujours avec des chapitres courts, Elena Piacentini arrive à créer une superbe dynamique dans son livre. Pas de temps mort, pas trop d’action : une juste dose qui créait un rythme parfait.
On sent venir certaines choses mais certainement pas le dénouement final !
J’ai été contente de retrouver certains personnages comme Orsalier (que j’appréciais déjà beaucoup dans le tome 1), et sa jeune voisine.
L’arrivée d’un personnage du passé, que Mathilde a oublié mais dont elle a été très proche, est probablement la plus belle intervention de ce livre. Cet homme est une force tranquille. Effrayant et ermite, il cache pourtant des secrets et des sacrifices qui vous remuent l’estomac et vous feront verser une petite larme.
Ce livre explore avec brio les explications complexes qui peuvent se cacher derrière les gens silencieux. Mais aussi, ce qui peut se cacher derrière les gens trop "expansifs".
Vaste comme la nuit
Ce qui m’a principalement posé problème à vrai dire, ce sont les personnalités des différents protagonistes. Vincent Dussart d’abord, le coupable tout désigné, arrogant et qui cache beaucoup de “sombres” secrets. Mathilde ensuite, avec cette carapace de glace qui envoie chier la moitié des gens qu’elle croise (voir les 3/4). Lazaret aussi avec sa semi jalousie… Et puis l’ancien flic (dont j’ai oublié le nom) avec son air de nounours abîmé. Non vraiment, j’ai eu un mal fou à croire aux personnages que j’avais sous les yeux.
Une des choses que j’ai beaucoup aimé en revanche c’est le rythme : assez rapide, on sent l’urgence de la situation dans l’écriture, les chapitres courts jouent d’ailleurs un rôle très important pour donner cet effet. On commence à voir les choses peu de temps avant qu’elles soient dévoilées et le final est la cerise sur le gâteau.
Même si je suis mitigée sur ce livre, je compte lire la suite ne serait-ce que pour voir si les personnages évoluent dans le sens que je souhaite.
Comme de longs échos
Comme de longs échos
L'intrigue met beaucoup de temps à débuter, il faut attendre plus de la moitié du récit pour que les premiers éléments de l'enquête et du passé nous parviennent. En effet dans cette première partie l'auteur s'attache surtout à faire ressortir le mal être et les états d'âme de Mathilde traumatisée par son passé. La dynamique de lecture s'avère très lente et le récit ne parvient pas à capter suffisamment l'attention du lecteur.
Quand débute réellement l'enquête, les interrogatoires des témoins du passé n'apportent que peu d'indices au lecteur sur la disparition de la jeune femme. Dans cette deuxième partie l'auteure fait ressortir les faits qui se sont déroulés le même jour que la disparition de la jeune femme femme dans les décennies passées. Des faits troublants de morts inexpliquées qui donnent une atmosphère oppressante au récit, des morts de proches des familles toujours au même dates qui permettent de maintenir le suspense. Les interrogatoires ne fourniront rien de véritablement concret pour l'enquête, c'est surtout le travail de Mathilde sur elle même qui conduira au dénouement. La totalité du récit est plus basé sur l'atmosphère que sur les faits.
Le personnage de Mathilde s'avère très fouillé , néanmoins le fait que l'on se retrouve une fois de plus avec un personnage marqué par son passé, c'est devenu une habitude dans les thrillers et les romans policiers, ne nous permet pas de s'attacher à elle. Dans ce roman de la deuxième série de l'auteure on est aux antipodes du personnage central de la première série de l'auteur qui lui se révélait attachant. A notre avis, hormis le personnages d'Hortense, les personnages secondaires ne sont pas suffisamment exploités.
La plume de l'auteure est beaucoup plus riche et travaillée que dans la majorité des romans du genre, mais cette qualité dans la première partie du roman à son revers. L'auteur comme mentionné ci-dessus s'attachant trop aux ressentis de son personnage, l'écriture accentue l'effet de lenteur.
Une lecture qui à la sortie nous laisse sur un sentiment mitigé.
Vaste comme la nuit