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Gabrielle Danoux

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Biographie

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0 Citations 16 Commentaires sur ses livres

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de Gabrielle Danoux

Sortie France/Français : 2016-10-18

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Tandarica 2022-06-13T07:10:27+02:00
1871

Valeriu Marcu a écrit, en allemand, sur Lénine, Scharnhorst, Nicolas Machiavel ou sur l'expulsion des Juifs d'Espagne. Il s'agit en revanche ici d'un texte, écrit en roumain, sur le couronnement, à Versailles, dans la célèbre galerie des Glaces, d'un empereur Allemand, prétexte pour une subtile réflexion sur le pouvoir.

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Commentaire ajouté par Tandarica 2022-06-13T07:18:47+02:00
Ma poésie comme biographie

Permettez-moi de sous-traiter parfois. Octavian Soviany a qui je laisse ici le champ libre de toute occupation illicite, est souvent membre de jurys pour des prix littéraires, alors sagesse debout : "Le refus de textualiser sera dans de tels poèmes solidaire d'une occultation de la mémoire, qui est à son tour un dépôt de traces, il revêt le caractère d'un livre où l'on enferme historiquement le passé, mais constitue en même temps un univers carcéral isomorphe à la casemate de papier de l'écriture. Parcourir ce musée du passé et ses souvenirs momifiés confère à la poésie de Valentin Dolfi les volutes d'une oppressante mélancolie, qui constitue probablement la particularité de ce poète qui semble interpréter la partition du textualisme désabusé, érodé par le mal de la tristesse et de la fatigue. (Octavian Soviany, Lecția de melancolie [La leçon de mélancolie], dans Luceafărul [L'étoile du berger, nouvelle série], n° 22, juin 2000)

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La dernière bohème bucarestoise (1964-1976)

Influencée par quelques paroles de chansons et née à l'époque de sa mort, je pensais que la bohème était plus un phantasme qu'une réalité. de son propre aveu, Mihai Neagu Basarab en fut, plusieurs fois… pendant une vingtaine de jours. Quant au livre, c'est un genre classique en littérature roumaine : les souvenirs de jeunesse, ici agrémentés de parallèles, commentaires et analyses, souvent humoristiques. L'un de ses mérites principaux est de ressusciter des auteurs plus ou moins, mais surtout plus, oubliés : Oscar Lemnaru, Neagu Rădulescu (un satiriste difficilement trouvable, même en Roumanie), Alexandru Monciu (je ne sais même pas s'il est vivant), Teodor Mazilu (un peu plus connu, il figure dans l'anthologie d'Andreia Roman), Tudor Vasiliu, George Astaloș (il était français, je vous assure), Averchenko (un Russe intéressant, traduit en roumain mais pas en français). Quant à Pierre Labracherie, Ambroise Vollard ou Henri Murger, on ne se les arrache pas en librairie… Certaines anecdotes issues de faits divers sont hilarantes : ce qu'il coûte de croire le mythomane Moni Tășcuț, comment le (faux) spécialiste de la méditation a fait l'analyse des officiers de la Securitate et surtout les a fait payer pour révéler les plus hauts secrets d'état, ce qui se passe quand un bohème essaye, ô blasphème, de payer des dettes (rien à voir avec la Grèce, quoique…) et comment troquer des poèmes du niveau de ceux d'Arghezi contre des cornichons.

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Commentaire ajouté par Tandarica 2022-06-13T10:58:31+02:00
Textes choisis

Paru en France en 1924 (en français), la première référence critique roumaine au roman La Tunique verte, date de 1925. Dans une anthologie, Ion Pillat relève (avec son coauteur Perpessicius) le caractère étrange de cette construction essentiellement lyrique qui serait d'inspiration autobiographique. Confessions ? Pas si sûr, car la fin est plutôt un inespéré “happy end” et la référence à la mouvance socialiste française de l'époque n'est qu'anecdotique.

Les influences seraient nombreuses selon l'exégète de l'oeuvre d'Alice Orient, Pavel Țugui, mais les évocations fantaisistes frappent avant tout par leur poésie. Au niveau de la structure, il y a une trame, comme une errance au fil de la musique dansante de premier choix : récits initiatiques, aventures avec des brigands célébrés, jalousie amoureuse, scène de roman policier même. le surréalisme est ici bienveillant, mais son amertume contribue d'une certaine modernité dont la fatalité des voyages Paris-Bucarest est encore d'actualité.

Parmi les poésies, Serpents est remarquable.

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Commentaire ajouté par Tandarica 2022-06-13T12:48:10+02:00
L'Archive des nus pressentiments

Voici un bel objet sur papier glacé et avec de sublimes illustrations en couleur qui susciterait, je pense, l'admiration de Mircea Cărtărescu à qui le poème L'Immortalité au parloir (p. 25) rend hommage en citant explicitement son roman Orbitor.

"OÙ sommes-nous ? RetranchÉs en nous-mÊmes ou bien dans les autres ? OÙ devrions-nous demeurer ? Dans des appartements ÉtriquÉs ou dans la montagne pierreuse ? OÙ puiser notre force ? Dans les chandelles et les larmes oÙ bien en Érigeant les forteresses de l'esprit : autel devant l'assaut provocateur ?" (p. 5, le droit de dire NON : le manif-art). L'ambition de ce recueil, qui se veut engagé, est d'exprimer lucidement des sentiments universels contemporains, mais aussi des pressentiments plus alarmistes, comme dans le tour du monde en 80 mots (p.60) : une liste en forme de feuille d'érable comptabilise nos drames actuels.

La mise à nu est celle qui annonce l'éloge constant des plaisirs charnels les plus simples comme le préfigure le poème Emballage conventionnel (p.54) :

Laissez-moi me plonger

Dans une bouteille d'huile : pinte impÉriale

Et non dans un PET congestionnÉ

De peur d'Être recyclÉ !

Laissez-moi glisser tel un bateau

À travers les graines de tournesols dÉsossÉes

Sans port, ni tempÊte, ni cholestÉrol

Laissez-moi nu,

Avec mon Âme

Dans ma bouteille en verre !

Cette bouteille à la mer contient également un poème dédié à Tristan Tzara (p.22) et des références à Max Blecher (Tissus non-cicatrisÉs : le droit collectif À la mÉmoire publique, p.6).

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Commentaire ajouté par Tandarica 2022-06-13T12:57:56+02:00
L'Académie de l'air

Plus qu'un nécessaire bol d'air frais, ce recueil bilingue nous démontre que l'Absurdistan (page 51) est si proche de nous : on l'atteint presque en tendant la main.

Daniel Marcu manifeste dans les rues poétiques avec la véhémence non résignée de l'artiste qui s'évertue de ramener à la surface des vérités par ces temps chaotiques que nous vivons tous, mais qui chez lui, en Roumanie, prennent d'autres proportions encore. Ces vers résolument engagés pour la vie revêtent cependant une évidente dimension universelle.

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Commentaire ajouté par amghost 2022-07-14T12:11:29+02:00
D'un bout à l'autre

D’un bout à l’autre de Gabriel Dinu m’a été offert par Gabrielle Danoux qui a traduit les poèmes de ce recueil.

Comme je le lui ait dit dans mon email de remerciement :« l’importance d’une œuvre artistique réside dans le fait de créer de l’émotion, d’ouvrir des perspectives et de faire réfléchir ». Je n’avais pas encore commencé à lire le dit recueil à ce moment-là. Je m’aperçois en écrivant ces lignes, après coup, que ces quelques mots se sont révélés être absolument prémonitoires pour ce recueil.

Écrits en vers libres, un style caractéristique se dégage (fait de répétitions – marquées parfois par une infime différence de ponctuation, tout réside dans le détail – , et fait de contraste entre certains mots).

Ces poèmes se révèlent être pleins d’émotions, d’ironie, d’humour sarcastique, de réflexions sur la vie, sur la mort, je devrais dire sur les morts qui nous entourent (les gens qui sont morts, la mort qui nous guette en traversant la rue, celle qui nous observe dans notre sommeil, celle que l’on désire de toutes nos forces – ou pas - , celle avec laquelle on ruse, et toutes les autres qui nous accompagnent, qui nous laissent vivre et attendent leurs heures). Ils mènent parfois le lecteur/la lectrice qui voudra bien les lire, à avoir une autre perspective, observer a fortiori différemment sa vie.

L’auteur observe et mène un dialogue souvent ancré dans la réalité concrète, dans les petits riens, qui conduisent vers des pensées philosophiques, parfois métaphysiques. Ce sont des poèmes qui ouvrent souvent plusieurs chemins introspectifs, et qui en les relisant conduisent de nouveau le lecteur/la lectrice à s’émouvoir et à réfléchir.

Vraiment de très beaux poèmes.

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Commentaire ajouté par Tiri_noiret 2022-08-20T17:15:29+02:00
Le Chemin du fort

Une écriture très singulière comme éclatée pour ce roman aux allures

d'énigme dont la résolution semble d'ailleurs plus un prétexte qu'une fin en soi.

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Commentaire ajouté par amghost 2023-04-22T13:18:19+02:00
Le Chemin du fort

Voici une petite merveille de roman noir écrite par Gabrielle Danoux, alias Tandarica, que je connais plus à travers la traduction de la littérature roumaine (surtout la poésie que j'adore lire et parfois écrire).

Ce roman raconte une succession d'évènements dramatiques liés les uns aux autres par le narrateur Charles Maucler.

Mais, devrais-je dire plutôt que tous ces événements se suggèrent, se déduisent entre deux chapitres, où sont dépeints les portraits de personnages à la fois banals et originaux.

Le chemin du fort est un témoin silencieux et garde quelque part ses secrets.

Et Brichamps ce microcosme particulier permet à l'auteure d'observer avec humour, avec ironie et sarcasme, les travers de la société actuelle, en filigrane tout au long des digressions du récit.

Suivi d'une nouvelle où l'auteure déploie tout son talent pour mener le lecteur par le bout du nez, c'est un livre qu'il faut lire absolument, et pourquoi pas à emmener sur une île déserte.

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Une ville sans fenêtres

Aujourd’hui, petit séjour en Roumanie, avec l’auteur Constantin MARAFET. Ce poète est amoureux, alors il écrit de la poésie à son amoureuse et il nous en fait profiter !

La belle aubaine !

Voici donc un recueil de poèmes sur l’amour, mais pas des vers mielleux et mièvres, du genre « amour qui rime avec toujours » ou « cœur avec bonheur ». Non, non, c’est beaucoup plus recherché...

Ici, nous passons par tous les stades émotionnels que provoque l’amour : l’attente, la plénitude, l’abandon, la perte, l’espoir…

L’amour remplit la vie de l’auteur, occupe tout l’espace et donne une autre coloration au monde qui l’entoure, au présent et aux souvenirs.

La nature est omniprésente, elle est intriquée dans les poèmes, chaque sentiment, chaque description correspond à un endroit, un objet, un élément.

Il suffit d’aimer et tout s’illumine, avec un autre regard sur le monde, une lumière différente qui rend tout plus beau. Et quand le doute s’installe, ou que la bien-aimée est moins présente, les éléments se déchaînent.

L’auteur manie la métaphore avec brio, selon ses émotions ou ses sentiments, il convoque des éléments calmes ou déchaînés…

À chaque poème, c’est une farandole d’images qui dansent devant nos yeux pour exprimer les pensées sereines ou tourmentées de l’auteur et c’est magnifique.

Constantin MARAFET a un réel talent de poète mais aussi de conteur : ce recueil est une ode à l’amour mais aussi à la nature et à la terre. À chaque page, on se délecte de sa façon bien particulière de décrire ce qu’il ressent et on oscille entre la tristesse et l’allégresse.

Bref, un recueil de poésie vraiment réussi, à lire et relire, à haute voix de préférence, pour s’imprégner de la beauté des textes. Que vous soyez amoureux ou pas, les poèmes sont magnifiques, et si vous n’appréciez pas la poésie, lisez ce recueil comme un conte, ça devrait marcher aussi et c’est très beau !

Merci à Gabrielle DANOUX d’avoir traduit ce livre et de me l’avoir gentiment offert…

À lire installé(e) confortablement au milieu de la nature, sable, rocher, herbe, selon votre humeur, en savourant les vers bien entendu, mais aussi une part de pasca roumaine avec un thé vert. Bonne lecture !

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