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Toutes les séries de Jacques Duquesne

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C'est l'histoire de Gilles, une garçon de huit ans, qui va se reposer à la campagne.

Il arrive dans une mystérieuse grande maison.

Que se passe-t-il derrière la porte secrète de la chambre au coucou ?

59 livres
30 lecteurs

Tous les livres de Jacques Duquesne

Jacques Duquesne, présent en Algérie pendant la guerre et dont les reportages ont nourri La Croix, a décidé de prendre à bras-le-corps les questions qu’on se pose aujourd’hui sur la guerre d’Algérie. Il y répond avec l’expérience du témoin, avec le savoir-faire du journaliste qui a enquêté sur place, gardé ses notes, vu les acteurs et les lieux, avec le talent d’exposition de l’écrivain consacré qu’il est devenu et surtout avec son exigence morale, attentive aux hommes et indifférente aux a priori comme aux pressions.

Dieu existe-t-il vraiment ? Est-ce lui qui a créé le Ciel et la Terre ? Et comment accepter qu'il tolère les guerres, les maladies, le Mal ? Peut-on croire à la résurrection de Jésus ? Quelle est la différence entre le Dieu des chrétiens, celui des juifs, celui des musulmans ? Il n'est pas facile de répondre à ces questions et à beaucoup d'autres que les enfants se posent, même lorsqu'ils n'ont pas l'occasion d'en parler aux adultes. Jacques Duquesne, auteur de livres qui ont rencontré un grand écho (Jésus et le Dieu de Jésus), a su parler de la foi et de l'amour, trouver les mots simples, les exemples parlants, les réponses claires à ces questions complexes, parce qu'il a écrit ce livre pour ses petits-enfants et avec eux, dans un dialogue libre et vrai.

S'il existe un Dieu bon et tout-puissant, comment le Mal est-il possible ? Une rude question. A laquelle toutes les civilisations ont répondu qu'il existait aussi un " prince des ténèbres ", le plus malin des méchants, le diable. Beaucoup - davantage qu'on ne le pense - y croient encore. Il est partout : au cinéma comme dans la peinture, dans le langage comme dans la chanson. Et surtout dans les esprits. Beaucoup, pourtant, ignorent son histoire, parfois pittoresque mais souvent tragique, qui n'est pas peuplée seulement de sorcières mais aussi de savants. Et qui aboutit à ce constat surprenant : les Eglises elles-mêmes ne savent plus s'il faut y croire.

Et si la plus grande ruse du diable était de faire croire... qu'il existe ?

L'Occident connut au XVIIe siècle l'un des plus grands chambardements de son histoire.

L'ère de la Méditerranée s'achevait. Le monde capitaliste moderne s'organisait autour de la mer du Nord et, d'une guerre à l'autre, quelques pays se disputaient les atouts de la puissance et de la richesse. Dans cette formidable compétition d'où naîtrait la nouvelle Europe, quelques hommes jouèrent un rôle décisif, trop souvent méconnu ou déformé : les corsaires. Au premier rang de ceux-ci, le légendaire héros dunkerquois, Jean Bart, enfant du peuple que Louis XIV allait anoblir en récompense de sa bravoure, de ses exploits, et du tour nouveau qu'il donnait à la bataille sur mer, à la guerre économique.

Du cœur des combats jusqu'aux palais des princes, c'est cette histoire étonnante que Jacques Duquesne raconte dans ce livre où la plume du romancier s'est mise avec bonheur au service de la rigueur de l'historien.

Prix Interallié 1983 résumé du livre

A travers l'histoire d'une femme et d'un amour, Jacques Duquesne nous fait vivre l'histoire d'un peuple. Entraînée de Lille en 1862 à Paris pendant la Commune, Maria Vandamme découvre le monde et l'amour. Autour d'elle gravitent de nombreux personnages superbes et attachants, permettant de valser entre de grands moments intimistes et de véritables tableaux de la vie en communauté à cette période.

Marie, "pleine de grâce", figure centrale du catholicisme... elle est aussi l'une des grandes impératrices de l'art à travers les siècles, associée à des idées de pureté, d'amour et de générosité.

Mais qui était vraiment la mère de Jésus ? Pourquoi certains lui vouent-ils un culte ? Quel fut le rôle de l'Eglise catholique dans cet engouement ?

Dix ans après Jésus, également paru aux Editions J'ai lu, Jacques Duquesne dresse le portrait d'un autre personnage clé du Nouveau Testament. Au cours de cette enquête, il fait encore une fois preuve d'une grande rigueur intellectuelle, s'appuyant autant sur les travaux histoiriques les plus récents que sur les études théologiques les plus érudites.

Romancier à succès et homme de foi, l'auteur commente 36 principes de morale, essentiels à se yeux. Il les commente avec ses expériences et ses convictions.

Ce livre ne prétend évidemment pas apporter des solutions à tous les problèmes. Je souhaite, en revanche, rappeler des principes, les préciser. Non en philosophant sur eux - j'en serais bien incapable - mais en rassemblant quelques textes, des récits, des histoires, des poèmes, des chansons, qui les mettent en valeur, ou "font réfléchir" comme on dit. Et parfois en les commentant. Car les principes sont une aide. Et la morale, il faut le répéter à cor et à cri, est faite pour aider, non pour gêner. En somme, pour trouver le bonheur, grâce aux vertus.>>

Catherine Courage est la fille de Maria Vandamme, héroïne d'un précédent livre de Jacques Duquesne. En 1891, pendant la répression d'une grève, un enfant touché par balle meurt dans les bras de Catherine. Celle-ci décide alors de devenir médecin. Défi presque impossible qu'elle relèvera pourtant, aimée et parfois aidée par des hommes. Du Nord à Paris, sa vie traverse taudis et salons, salles de rédaction et hôpitaux, incarnant à la fois le combat pour l'émancipation féminine et les luttes ouvrières dans la France du début du 20° siècle.

Alice Van Meulen refuse de se plier à l'esprit de son temps, celui de la France de 1881. Femme, elle prétend diriger une usine et fonder un négoce. Jeune veuve issue de la bourgeoisie catholique, mère d'un petit garçon difficile, elle veut épouser un anticlérical dans une France qui se déchire alors sans merci à propos de l'Ecole et de l'Eglise.

Autour de cette femme qui aime, souffre, lutte et qui séduit par ses faiblesses autant que par sa force, on retrouve les personnages de "Maria Vandamme", mais aussi tout un monde de marins, de pêcheurs, de douaniers et d'aventuriers.

Jacques Duquesne fait revivre dans ce beau roman les Flandres hautes en couleur et riches en tradition quand, il y a cents ans, nos aïeux découvraient dans le ravissement, la stupeur (et quelquefois la crainte) le gaz, l'électricité, le téléphone.

Aurélie n'a pas tout à fait vingt ans. Elle est belle, décidée, croyante, engagée dans les grèves et les troubles de l'avant-guerre, et amoureuse passionnée d'un jeune militant communiste qui va participer à la guerre civile espagnole. Mais, dans la vie d'Aurélie, le drame côtoie toujours l'amour. Parce qu'elle est une enfant perdue, pourtant toujours recherchée par sa famille de riches industriels du nord de la France, une famille que sa disparition déchire. Parce qu'elle-même, Aurélie, prend mal les engagements de son fiancé. Parce que les ambitions se heurtent dans le monde de la presse, du travail, des affaires. Dans ce deuxième tome de la grande saga Les Héritières, ils sont tous de retour : Aline, la sœur aînée, Blandine, qui, avec son mari, a fui l'Allemagne nazie pour se réfugier en France, Céline, rentrée en catastrophe de Madrid, où son mari diplomate était en mission, pour diriger un magazine féminin, Laurent Surmont-Rousset, enfin, le vieux chef de l'empire industriel familial. De Paris à Madrid, de Munich à Cognac et Lille, mêlés à l'agitation et aux drames d'une époque joyeuse et menacée, forts et faibles à la fois, ils s'affrontent, se retrouvent et se croisent sans toujours se reconnaître.

M. Surmont-Rousset affectait d'admettre qu'après la naissance de quatre filles, Aline, Blandine, Céline et Delphine, son épouse ne lui donnerait plus de rejeton. Aussi rêvait-il parfois qu'un veuvage propice lui permette de trouver avec une plus jeune femme une nouvelle chance d'héritier : il chassait aussitôt, bien sûr, cette méchante pensée et feignait de plaisanter en disant à ses rares amis que quatre enfants suffisaient déjà largement à diviser, dilapider peut-être, l'héritage, que la machine à en fabriquer de nouveaux avait été en conséquence rangée au grenier. Et, le temps passant, il s'était enfin résigné à la nécessaire recherche d'un gendre. Qui serait d'abord son adjoint, puis son successeur. Une fois le jeune homme choisi, la date du mariage fut fixée le 29 juillet 1914. Un mercredi, pour éviter de se mêler, le samedi, en mairie, à la populace... Pour ce premier volume, l'auteur situe les débuts de son roman dans le Nord, région chère à son coeur ; il brosse autour de ses héroïnes, la vaste fresque de la France et de l'Europe, de même qu'au travers de leurs vies se profile l'évolution de la condition féminine depuis 1914.

Mère envolée, père surmené, Jérôme, treize ans, apprend silencieusement la solitude et le besoin d'amour. Son seul ami, Gavroche, l'enfant de toutes les libertés. Quand un cambrioleur s'introduit dans l'appartement, c'est en pensant au courage de Gavroche qu'il trouvera celui de le faire arrêter. Et puis Jérôme disparaît. Sans raison apparente, sans explication. Jeune fugueur comme tant d'autres, il lance ainsi un signal de détresse. Il sera entendu. Par Brendalyne, qui a son âge, et son garde du corps le chat Zarathoustra, par Fiacre, cinq ans, abandonné lui aussi. Leur petite famille bizarre connaîtra bien des aventures avant que tout ne rentre dans l'ordre mais quel ordre ? Jacques du quesne a choisi de cacher sous la tendresse, le rire, le pathétique, la violence secrète d'une société attachée en priorité à son confort et qui en oublie d'aimer avec douceur, de rêver. Les enfants, eux, savent encore. Souvent ils le paient cher.

Il en avait tellement rêvé, Théo, de ce jour-là. Le jour de la libération de la France. Mais quand les FFI sont venus arrêter sa mère pour la tondre sur la place publique, c'est la rage, le désespoir et la peur qui l'ont submergé.

Théo à quatorze ans. Poursuivi par les gendarmes, il décide de fuir.

En compagnie de Marie, une orpheline de huit ans qu'il a recueillie, une surdoué, sauvageonne et impertinente, qui l'adore et l'exaspère, il va traverser la France dévastée par la guerre.

Des plages du Nord à la Loire en passant par Paris et les mines, ils courent, ils courent, les enfants. Intrépides et désopilants, Théo et Marie inventent mille astuces pour survivre, déchaînant sur leur passage catastrophes et passions.

Il y a quelques années, Jacques Duquesne a reçu d'un notaire l'avis qu'une Laura C. s'était suicidée et lui léguait ses manuscrits de romans impubliés. Ce qu'il a découvert l'a bouleversé et il a imaginé, à partir de ces documents, l'histoire que voici : en Allemagne, dans les années 30, la petite Laura vit avec son père hitlérien et sa mère qui a un amant juif. Celle-ci bientôt chassée du foyer, Laura va connaître une longue errance : Berlin, Hambourg, la Suisse, Paris où elle retrouve sa mère. Paris : un sursis. Avec l'arrivée des Allemands, l'errance va recommencer ; d'abord le centre de la France, puis Nice, entre une mère divorcée d'un nazi et un beau-père juif. La France de l'exode, la France de l'Occupation et de Vichy, le cauchemar. A la Libération Laura, victime d'un passé trop lourd, choisira le suicide.

" J'écris ces pages dans un monde bouleversé par des catastrophes naturelles, qui s'interroge sur l'avenir de la planète et ne croit plus au progrès. J'écris ces pages dans une Europe qui a vu s'affronter tous les totalitarismes et se taire leurs prophètes qui annonçaient un monde meilleur. J'écris ces pages alors qu'on se tue au nom de Dieu. Et pourtant... L'avenir est aussi une promesse. Car l'homme a un allié dans cette aventure : Dieu, malgré tout. Pour y croire, il ne faut pas s'obstiner à le défigurer, à l'éloigner des hommes, à penser qu'il aime les sacrifices et que le "péché originel" a fait le malheur du monde. À tous ceux qui crient et se révoltent, il faut dire qu'ils ont raison de crier. Et que Dieu crie avec eux contre le mal, participe à leur révolte. Et qu'il en souffre parce qu'il n'est pas tout-puissant, ne veut pas l'être : s'il l'était, nous ne serions pas des hommes. "

Sœur Emmanuelle aura cent ans en novembre prochain. Elle a accepté de donner, à cette occasion, un message tirant les leçons du siècle qu'elle a vécu, contant sa vie de foi, les difficultés qu'elle a rencontrées et l'espérance qui l'anime. Elle a gardé la même énergie, le même goût de vivre et, alors qu'elle s'apprête à fêter un anniversaire d'exception, parle plus librement que jamais et révèle des choses qu'elle n'a jamais dites. Des confidences parfois savoureuses, souvent étonnantes et toujours émouvantes. Sous la forme d'une longue interview donnée à Annabelle Cayrol et Jacques Duquesne, Sœur Emmanuelle aborde, sans aucun tabou, les sujets les plus personnels et les plus saisissants.

Yvonne-Aimée, mère et grand-mère, ne se sent pas " encore bien pour son âge " comme disent les consolants et les hypocrites. Elle est bien. Tout simplement. Et, refusant de passer la main, elle se montre prête à tout pour se rendre utile. Sans savoir que sa curiosité et sa volonté vont mener cette femme du Nord sur des chemins inattendus. Mais avec la certitude qu'il n'y a pas d'âge pour aimer et cesser d'aimer, pour déposer les armes ou pour se battre. Un émouvant portrait de femme confrontée à la fragilité des destins, aux nouveaux rapports entre les générations et aux bouleversements de la société, esquissé avec justesse, sensibilité, humour. Sans que jamais l'espoir se perde.

Dans ce troisième et ultime tome des Héritières, c'est Céline, la journaliste, qui prend la plume pour raconter à ses descendants l'histoire de sa famille. "On nous appelait les A, B, C, D, nous les quatre filles de Laurent Surmont-Rousset, empereur du textile au début du XXème siècle. J'ai vécu un divorce, deux veuvages, les désordres familiaux, les pesants secrets dont on ne sait comment se dépêtrer. J'ai côtoyé les amours, les déchirements, les joies, les deuils et les fêtes de mes proches. "Notre histoire, celle de nos enfants et petits-enfants, nous a entraînés en Allemagne, en Espagne, au Brésil. Du Nord, nous nous sommes éparpillés vers Paris, la Provence ou la Charente. Quand nous nous sommes tous retrouvés un jour de 1980, j'ai eu un coup au coeur éblouissant : malgré le temps, malgré les malentendus, nous formions toujours une vraie famille. Ce jour-là, j'ai décidé de tenir la promesse que j'avais faite jadis à ma soeur Aline : écrire notre histoire. Et lorsque enfin j'ai mis un point final à cette aventure que je croyais strictement familiale, je me suis rendu compte que j'avais aussi relaté l'extraordinaire évolution des femmes de notre siècle."

Judas. L'accusé d'un interminable procès. Fut-il traître, comme le pensent la plupart ? Et alors, pourquoi ? Ou complice, comme le soutiennent quelques-uns, d'un Jésus qui voulait mourir ? Et alors, pourquoi ? Ce débat, ses compagnons, les disciples de Jésus, ont dû l'entamer dès le deuxième jour, le lendemain de la crucifixion. Car il est fondamental. Sa conclusion éclaire toute l'action de Jésus. Jacques Duquesne, dont les livres sur Jésus et Marie eurent un retentissement considérable, a choisi de résumer ces discussions dans un récit vivant et coloré, appuyé sur les plus sérieuses études. Puis, il avance une nouvelle hypothèse qui met en cause les relations entre le judaïsme et le christianisme, souligne que celui-ci fut et demeure une véritable révolution religieuse, unique en son genre.

Biographie et bibliographie sur Zola et une partie de son oeuvre.

Que s'est-il passé à Dunkerque du 21 mai au 4 juin 1940 ? Cette question lancinante hante les mémoires françaises, a fortiori celle des "Nordistes" : la ville réduite en cendres, onze mille morts, une défaite humiliante...La bataille de France s'y achève sur les plages du Nord avec la retraite précipitée des Britanniques, qui sonne le glas de la résistance des Alliés à l'offensive allemande et entraîne de fait l'armistice le 22 juin 1940 à Rethondes.

Plus de soixante-dix ans après, le grand journaliste questionne l'Histoire, qui croise aussi la sienne à travers le destin de son père, un simple flic livré à lui-même dans la débâcle. L'enfant qu'il était perdit alors à jamais toute illusion sur le monde.

Qui est Benoît XVI ? Qu'est-ce qui l'attend ? Que pouvons-nous espérer, catholiques ou non, de son pontificat ?

En 2005, l'Église catholique est prise dans la mondialisation, soumise au choc des cultures et de la sécularisation, provoquée par l'injustice et les inégalités, confrontée à des comportements moraux nouveaux, affaiblie par le manque de prêtres, interrogée sur la place des femmes, contestée dans ses prétentions par les protestants, concurrencée par le dynamisme des autres religions, en particulier l'islam... La liste des défis à relever est longue, les difficultés, à l'intérieur et à l'extérieur, impressionnantes.

Face à des enjeux totalement inédits, comment va se situer le nouveau pape ? Mais d'abord, pourquoi lui ? Comment percer derrière la figure déjà médiatique de Benoît XVI le "mystère Ratzinger", successivement théologien d'ouverture puis doctrinaire intransigeant, simultanément intellectuel affable et censeur impitoyable de tous les "écarts", réels ou prétendus, par rapport à la foi catholique ? Il a aujourd'hui tous les atouts en mains pour réformer. Mais va-t-il, ou veut-il, faire les réformes nécessaires ?

Maméno - ainsi l'appelle Mic, son petit-fils de treize ans - est une vieille dame que la paralysie a clouée sur un fauteuil roulant. Un soir, une nuit, il suffit d'un coup de téléphone pour soudain bouleverser cette vie quiète et résignée : au bout du fil, un inconnu appelle au secours SOS Isolés". Atteint d'un cancer qu'il croit incurable, il a décidé de se tuer le soir même. Surprise, déconcertée, Maméno n'ose pas avouer tout de suite à cet homme qu'il a formé un faux numéro. Ensuite, comment faire ? Il faut entrer dans le jeu. Et c'est ainsi que la grand-mère et son petit-fils entament la plus singulière des courses contre la mort. Exaltante et imprévisible aventure, digne d'un roman policier, il s'agira pour Maméno de maintenir sans cesse le contact avec son mystérieux correspondant, tandis que Mic fonce dans la nuit pour tenter d'identifier le désespéré avant qu'il ne soit trop tard. Y parviendront-ils ? Ce serait contraire aux lois du genre que de le révéler, mais on peut assurer qu'au terme de cette quête captivante, ni l'enfant ni la vieille dame ne sont plus les mêmes, comme si la vie ou la mort d'un étranger suffisait à remettre en question les joies, les valeurs essentielles que le quotidien nous fait trop souvent oublier."

(Source : Grasset)

J’ ai longtemps hésité avant d’écrire ce livre. Mes souvenirs d’enfance sont uniques, certes, mais la plupart n’ont rien d’original. Il y eut la bataille de Dunkerque bien sûr, et la guerre. Le reste, c’est la vie d’une famille du peuple dans le Nord industriel, la vie d’une rue, d’un quartier que l’on dirait aujourd’hui « sensible », d’un monde disparu. Je m’agace parfois d’entendre parler de mémoire ; la répétition de ce mot, toujours repris, m’énerve autant qu’une rengaine. Je ne suis pas non plus très porté à faire confidence. Mais les gens de ma rue, les miens, ont mérité que l’on parle d’eux aussi. Ce que les humbles ont vécu doit laisser une trace. Pourquoi chercher d’autres justifications ? J’écris ce livre parce que le désir m’en a pris. Et je voudrais le commencer par cette affirmation : en dépit de ce que l’on vient de lire, ou de ce que l’on va lire parfois, nous avons connu le bonheur.

Jésus : aucun historien ne nie aujourd'hui son existence. Bien plus : grâce aux recherches de très nombreux spécialistes, on en sait chaque jour un peu plus sur les circonstances de sa vie. Par exemple que beaucoup de juifs l'appelaient, de son vivant, " le glouton " et " l'ivrogne ". Par exemple que Pilate n'était pas un faible, prêt à se laver les mains de la mort du Christ, mais un violent, rusé, antisémite, dont les responsabilités sont lourdes. On sait aussi que l'aristocratie des grands prêtres, qui tirait de gros revenus de l'exploitation du Temple de Jérusalem, craignait, à cause de Jésus, pour son pouvoir et sa richesse. On sait également qu'un récit de miracle comme celui de Cana n'est en réalité qu'une sorte de parabole chargée de symboles : mais les symboles peuvent porter plus de vérités que les faits eux-mêmes. On sait... Bref, dans cette histoire, claire et vivante, de la vie de Jésus, Jacques Duquesne, avec prudence et raison, distingue ce qui est sûr de ce qui ne l'est pas, le certain de l'incertain, le probable de l'improbable. Et il livre en fin de compte une image dépoussiérée, lumineuse, du message de feu et d'amour lancé par ce personnage qui a bouleversé l'histoire de l'humanité.

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