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Commentaires sur ses livres

James Carlos Blake

Par MissChocolatineBouquine le 1 Février 2019 Editer
MissChocolatineBouquine
L'avis d'Esméralda :

Dans la famille « gangster j’ai peur de rien », je voudrais Handsome Harry Pierpont. Joyeux troubadour et tête pensante d’un gang de braqueur de banques et de commissariat. Mais Harry n’aime pas être au centre de l’attention, non pas par timidité mais plus pour son amour propre. Pourtant Harry est mis sous les projecteurs pendant plus de 300 pages par James Carlos Blake, auteur aventureux et talentueux.
Il est rare que j’accroche dès les premières lignes (vraiment dès les premières lignes) et de me dire wouah ! Il est clair que la magie a opéré instantanément et la suite de ma lecture n’a été que pur bonheur.

Voilà, tout le gang est mort sauf Russel et moi.
Russel, au moins, a encore l’espoir : quand on est enfermé à vie, on peut toujours tenter une nouvelle évasion. Moi, ils vont m’achever demain matin.
Premières lignes

Gangster, légende (et mythe) des années folles, pendant la grande dépression où l’alcool de contrebande coule à flot, petites frappes et gangster en herbe foisonnent ici et là, petits larcins pour débuter et puis il y a le jour où ils se trouvent derrière les barreaux. Métier qui rentre tu me diras, et certes passage plus ou moins obligé, dans ce milieu, pour évoluer. Harry Pierpont fait partie de cette trempe à ses débuts, à la seule différence est qu’il compte de pas rester à ce stade là. De petit coups en petit coups, de rencontres en rencontres et de cellules en cellules, Harry se fait vite un nom qu’il ne vaut mieux pas chatouiller. La dure vie de la prison va ainsi forger un homme prêt à tout pour vivre de sa liberté au détriment des banques.
Ce roman se lit comme un roman d’aventures même si il est clair que les faits divers correspondants sont empruntés à la réalité. James Carlos Blake a su créer une histoire tonitruante autours d’héros pas comme les autres et surtout atypiques. Il va s’en dire que l’image du gangster même est soit auréolée ou soit dénigrée, l’auteur n’impose rien de cet acabit et laisse aux lecteurs le soin de se forger sa propre opinion. Pendant plus de trois cent page, j’ai suivi les aventures rocambolesques d’Harry et sa bande, ses amours, ses craintes, les planifications d’attaques, ses fuites, la relation fusionnelle avec sa mère, les copains de la bande et leurs péripéties, les deals… L’immersion aussi irréelle soit elle, a le mérite de faire vivre le moment présent avec une sacrée intensité. Sans oublier une bonne dose d’humour.
« HANDSOME HARRY, confessions d’un gangster » est un shoot d’adrénaline ! Sans foi ni loi, ce roman retrace la vie d’un homme qui a décidé du sort de son destin, l’a façonné à son image, l’a modelé selon ses principes, l’a brandi à bout de bras et dans un dernier souffle a accepté toutes les conséquences inéluctables, la tête haute.
A propos du livre :
Handsome Harry
Handsome Harry
Par lelette1610 le 10 Décembre 2023 Editer
lelette1610
James Carlos Blake est attiré par les gangsters intelligents.
Il a retracé le parcours d'une bande qui a sévi dans les années 30 aux Etats-Unis. Il y avait entre autres John Dillinger et Harry « Pete » Pierpont aussi appelé « Handsome Harry » qui, s’il était plus discret que Dillinger était considéré comme le véritable leader du gang.
Il a choisi Harry comme personnage principal et narrateur de ce roman. Ce dernier avait un certain code de conduite. Il ne trahissait jamais un ami et ne maltraitait pas sa compagne.
A propos du livre :
Handsome Harry
Handsome Harry
Par Loloduf le 13 Septembre 2023 Editer
Loloduf
Une chronique des grandes heures du banditisme vu de l'intérieur. On suit les aventures de Harry et John sans déplaisir mais il manque quelque chose pour en faire un grand roman. Il y a du rythme et quelques bonnes répliques mais on a l’impression qu’il y a pas mal de moments répétitifs. Le texte est aussi assez cru (mais c’est le récit fait par un gangster alors ceci explique cela). Peut-être qu'il manque des éléments contextuels pour rendre le récit plus passionnant.
A propos du livre :
Handsome Harry
Handsome Harry
Par Gryfondor le 20 Décembre 2022 Editer
Gryfondor
Cet excellent western, servi par une plume très agréable et un scénario original, nous fait parcourir les terres du sud des États-Unis, de l'Alabama au Texas, puis du Mexique pendant la guerre entre les deux pays.

Le destin tragique de ces deux frères, n'ayant le choix de devenir des hommes très tôt, est rude parmi ces territoires désolés où sévissent continuellement des bandes de pillards assassins et les tribus indiennes, dont les redoutables Comanches à la violence atavique.

Leur quotidien parmi ces hommes sans foi ni loi en fera à leur tour des êtres tout aussi violents, mais ont-ils d'autres choix sils veulent survivre que d'adopter une conduite similaire ?

L'auteur ne nous épargne pas grand chose des batailles, viols et autres massacres quotidiens, une vie humaine ne valant alors pas grand chose.

Le seul petit accroc de cette la lecture réside dans les quelques longueurs rencontrées parfois, notamment dans certaines descriptions et situations redondantes, et dont James Carlos Blake aurait pu nous faire grâce.

Mais ne boudons pas notre plaisir, ce roman reste passionnant et rapporte sans aucun doute l'âpreté de la vie dans une période trouble et empreinte d'une effroyable violence.
A propos du livre :
Crépuscule sanglant
Crépuscule sanglant
Par Gryfondor le 9 Novembre 2022 Editer
Gryfondor
S'appuyant sur des personnages célèbres ayant réellement existé, James Carlos Blake propose une fiction basée sur des faits avérés.

Œuvre passionnante dès les premières lignes, le plaisir reste intact jusqu'à la fin.

Le style de l'auteur, très plaisant et mêlant les dialogues dans la narration, rend cette lecture, rythmée par les vies mouvementées de la bande de Dillinger, hyper addictive.

Racontée du point de vue d'Harry Pierpont, gangster charismatique et l'un des leaders de la bande, l'histoire prend le parti de nous présenter la plupart de ses membres du bon côté malgré le nombre incalculable de leurs méfaits.

Ceci s'explique par la fascination exercée par ces gangsters de renom sur l'auteur, et c'est ce qui permet également de les rendre attachants et de leur souhaiter, pourquoi pas, une destinée plus douce.
A propos du livre :
Handsome Harry
Handsome Harry
Par Jean-Bernard le 17 Septembre 2021 Editer
Jean-Bernard
Le narrateur nous emmène dans son univers et nous fait partager son état d'esprit, c'est fascinant et navrant à la fois. Mieux vaut vivre une vie courte vécu à 100 à l'heure, plutôt que de ne rien vivre... Doit bien y avoir un juste milieu !
La fin est particulièrement ... comment dire ... brutal !!!!
A propos du livre :
Handsome Harry
Handsome Harry
Par ManonBe le 24 Octobre 2019 Editer
ManonBe
Bon et bien une première poir moi ce type d'histoire... En dehors du fabuleux livre "La ligne verte" je n'ai jamais lu d'histoires de gangsters, hors la loi ou autre... Même si 9n connais la fin (tragique) de ce livre- inspirait de fait reels- la dernière partie est celle qui m'a le plus émue... Je voulais trouver un moyen pour eux, je voulais de l'espoir.. Mais on ne gagne pas à tous les coups. Être dans la tête de Harry était vraiment passionnant, on ressens tout. Son adrénaline, sa passion pour les femmes, la cavale... Tout. Même si certains passages m'ont paru un tout petit peu long, sa ne m'a en aucun cas empêcher de vivre à fond cette aventure. Je suis très satisfaite de ce petit livre. De plus le fait de retrouver une époque que j'adore est un grand plus !
A propos du livre :
Handsome Harry
Handsome Harry
Par Irene-Adler le 18 Août 2019 Editer
Irene-Adler
John Dillinger… Tout de suite on voit la jolie petite gueule de Johnny Deep dans le film "Public Ennemies"… Sexy baby !

Et bien, oubliez-le car ici, ce n’est pas le grand Dillinger qui est mis sous les feux des projecteurs mais "Handsome Harry" Pierpont et croyez-moi, après cette lecture, vous vous direz qu’il n’a pas eu les honneurs qu’il méritait !

Ce n’est pas très moral de dire ça en parlant de gangsters, de pilleurs de banque, de braqueurs de drugstores, armés et dangereux.

Ça ne rigolait pas avec eux et ils ont laissé des corps froids sur leur passage. Mais les flics aussi parce que dans le genre « je ne sais pas bien tirer », les flics étaient les champions et se sont même tués entre eux… C’est ballot, ça !

L’auteur, à la manière dont il nous met en scène les membres de la bande, arrive à dégager de l’empathie, de la sympathie pour ces braqueurs qui purgent de lourdes peines de prisons et qui, tels les Dalton, cherchent un moyen de s’évader.

Harry Pierpont est le narrateur de cette histoire dont nous aurons déjà le compte-rendu du final dès le départ. De toute façon, pour qui connait un peu l’Histoire des gangsters américains et celle de Dillinger, pas de surprise. Tout le monde sait comment ça se termina.

Les braqueurs de banque, dans les années 30, avaient la cote auprès du public, je parle bien entendu des petites gens, de l’Amérique d’en-bas, de celle qui fut durement touchée par la Dépression et qui n’était pas contre le fait qu’on vole des voleurs qui les avaient volés.

Parce que pour ceux qui ne le sauraient pas encore, les banquiers ne sont pas des honnêtes gens, loin de là, ce sont des voleurs eux aussi, juste qu’ils sont bien habillés et qu’ils ne nous mettent pas un flingue sur la tempe pour prendre notre fric, ils sont bien plus subtils que ça. Mais nombre d’entre eux avaient magouillé leurs comptes et un braquage permettait de tout remettre à jour.

Alors oui, l’auteur a réussi à me faire apprécier des gangsters, à souhaiter qu’ils s’échappent de prison et j’ai croisé les doigts pour qu’ils n’y retournent pas, mais contre la Vérité Historique, je ne peux rien et nous n’étions pas dans une dystopie.

Ses personnages sont bien campés, réussis, et on a tout de suite de la sympathie pour Handsome Harry, on a envie de saluer son intelligence, moins sa violence quand il abat de sang-froid, mais en tout cas, on en apprend un peu plus sur la bande de Dillinger, même si personne ne sait toute la vérité puisque les faits divergent et les témoins ne sont pas fidèles.

La seule chose que je n’ai pas trop aimé c’est la manière dont sont présentés les dialogues que l’auteur a englobé dans le texte narratif. Au début, ça passe, mais à la fin, ça devenait lourd et donnait au texte l’impression qu’il avait été écrit par un débutant alors que nous sommes tout de même face à James Carlos Blake.

Hormis ce petit bémol, tout le reste passe comme dans du beurre, on découvre les fake news de l’époque avec des journalistes prêts à raconter n’importe quoi pour vendre leurs feuilles de choux, on parle de politiciens véreux, des gardiens de prison corruptibles, des balances, de l’amitié, de la fraternité et on vit les poursuites à du 100 à l’heure parce que dans les années 30, ce n’étaient pas les bolides de Fast and Furious mais elles avaient encore des marche-pieds pratiques pour mettre les otages.

Si vous voulez faire un tour dans l’univers carcéral des États-Unis des années 30, vous prendre un peu de la grande Dépression dans la gueule, voir la prohibition se terminer et boire à sa santé, braquer des banques, vous décoiffer la permanente en roulant à 100 à l’heure dans les rues de Chicago (ou dans une autre ville), prendre du bon temps en Floride, baiser avec des mauvais garçons ou vous évader de manière brillante, ma foi, ce livre est fait pour vous.

Si vous avez tendance à être pour la Loi et de son côté, ou banquier, vous risquez de grincer des dents lors de la lecture, surtout devant les réponses de Handsome Harry devant les juges.

Dommage pour les dialogues insérés dans le texte, sans cela, j’aurais mieux aimé la présentation du texte et je l’aurais trouvé moins laborieux, moins lourd à certains moments.
A propos du livre :
Handsome Harry
Handsome Harry
Par Irene-Adler le 24 Mai 2019 Editer
Irene-Adler
Dans des mots croisés sadiques, à la définition de "Villa célèbre", il fallait répondre "Pancho"… Oui, c'étaient des mots croisés de sadiques.

Pancho Villa, cet homme que je ne connais pas. C'était donc l'occasion d'aller me coucher moins bête, tout en fournissant une chronique de plus pour le Mois Espagnol où je n'ai guère brillé, cette année.

— La révolution, c'est comme une bicyclette, quand elle n'avance plus, elle tombe.
— Eddy Merck ?
— Non, Che Guevara !

Ah ça, pour faire la révolution, ils l'ont faite… Mais à quel prix ? Celui de la barbarie, celui où l'on tue tout ce qui ne nous plait pas, tout ce qui nous gêne, ou juste pour prouver qu'on est un homme et donc, un tue le premier type qui passe, même si c'est une connaissance.

Je le dis d'emblée, je n'ai pas aimé les dessins de cette bédé, ni les couleurs, pourtant dans les tons chauds. Encore moins les personnages, mais c'est accessoire, vu les actes qu'ils commettent (pillages, vols, viols, assassinats,…).

Évidemment, le récit est cru, sans fard, sans édulcorants. La révolution passera aussi par des magouilles, par des alliances, par des traîtrises.

Moi, je me méfie toujours des personnes qui veulent délivrer des populations opprimées… Au départ, on tue des méchants, comme le fit Daenerys dans GOT et puis, à force de traquer des monstres, on court toujours le risque d'en devenir un sois-même et de tout faire pour que l'état de guerre ou de révolution continue.

C'est bien démontré dans ces pages. Et puis, lorsque le chaos règne, la loi est absente, la loi, c'est eux, c'est moi. No rules, autrement dit, pas de règles, si ce n'est celle du plus fort.

Pour cela, je dois dire que l'auteur le retranscrit bien dans ses dessins, dans les dialogues, dans les actions des révolutionnaires. Mais il faut dire aussi qu'il met en scène un roman de James Carlos Black…

Tant pis pour moi, je n'ai pas adhéré, pas aimé, mais c'est ainsi. Les dessins, c'est une histoire de goûts et de couleurs. On aime ou on n'aime pas. Il m'est déjà arrivé de détester des dessins mais d'apprécier le récit, le scénario, mais dans ce cas-ci, je suis passée à côté de tout.
A propos du livre :
Les Amis de Pancho Villa
Les Amis de Pancho Villa
Par Irene-Adler le 18 Juillet 2018 Editer
Irene-Adler
Eduardo Gato Wolfe est ce que l'on peut appeler un sale gamin de merde ! le genre qui aurait dû se ramasser une bonne fessée de la part de ses oncles, cousins, tantes, et tutti quanti.

Môssieur n'a pas voulu faire des études, alors que c'est la règle dans la famille Wolfe.

Môssieur voulait de suite aller avec sa famille s'occuper de leur innombrables trafics (pas les drogues, ni les humains) sans devoir passer par la case université, lui.

Môssieur ayant fait des bêtises, il s'en est allé proposer ses services ailleurs, chez des autres trafiquants, de l'autre côté du Rio Grande. Et de ce côté là de la frontière, sa bite va une fois de plus le perdre et le mener dans une aventure qui pourrait bien lui roussir les poils du cul et même plus !

On aurait pu nommer ce roman noir "La bite à Eduardo" parce que c'est à cause de ses pulsions sexuelles qu'il va se retrouver dans de sales draps et à cause de lui, les cadavres vont se ramasser à la pelle.

Bon, tant que ce sont ceux des membres d'un gang, on s'en moque, mais il y a des innocents qui vont y laisser leur peau à cause du fait qu'Eddie s'est retrouvé en leur compagnie.

James Carlos Blake ne perd pas de temps en palabres inutiles, directement on plonge dans le quotidien des trafiquants et il ne traîne pas non plus pour lancer son histoire : Eddie tue un homme, le second du gang, et se retrouve avec tout le monde à son cul.

À un moment j'ai eu un peu peur : l'auteur n'allait tout de même pas me remplir 230 pages de courses-poursuites, tout de même ?? Hé oh, je n'ai pas la condition physique pour cavaler sur autant de pages, moi ! J'ai même pas mon permis de conduire comme une sauvage pour semer les poursuivants, moi !

Femme de peu de foi que j'étais… Alors oui, on aura de la course-poursuite, mais pas que ! Parce qu'au travers de la fuite d'Eddie et de Miranda, la gonzesse pour qui il a tué, on aura aussi un portrait des gangs qui pullulent et polluent le Mexique, de leurs moeurs, de leurs méthodes d'action, ainsi que sur les passeurs qui tentent de faire entrer clandestinement des gens aux États-Unis.

Les personnages sont réalistes, même les trafiquants, quels que soient leur bord, alors qu'on devrait taper sur la tête d'Eddie, on se surprend à avoir de l'affection pour ce gamin qui, bien que n'ayant pas voulu faire d'études, a tout de même compris comment marchaient les cartels, les gangs, les mafieux et comment il fallait la jouer pour s'en sortir en perdant le moins de plumes possibles.

Mais on en perd toujours…

Un roman noir fort sombres, sur quelques pratiques des membres de gangs qui, quand ils ne sont pas contents, vous éparpillent véritablement façon puzzle, à tel point que votre femme pourrait retrouver votre langue dans le pot de confiture…

Un roman noir haletant, entrecoupé de scènes de vie traditionnelles du gang familial Wolfe, qui, bien que n'étant pas des enfants de coeur, sont tout de même un peu plus sympas que les autres.

Un roman noir qui t'expliquera aussi que le port du gilet pare-balles est de rigueur quand il pleut des balles et qu'il ne faut jamais, mais alors là jamais, chier dans les bottes d'un chef ! Et ne jamais décevoir son personnel non plus… Et ne pas faire confiance à un membre d'un autre clan !

Ne faites confiance à personne, même pas à moi qui vous conseille ce livre. On ne sait jamais, je pourrais être de mèche avec l'un ou l'autre gang…
A propos du livre :
La Loi des Wolfe
La Loi des Wolfe
Par PatFlash le 12 Mars 2018 Editer
PatFlash
Une bande dessinée que je n'ai pas trop appréciée ... Beaucoup de violence (même si les révolutions engendrent ce genre d'actes) trop mis en avant d'après moi ...
Bref, je ne le mets pas à la poubelle mais je le classe dans : "Lu aussi" sans plus !!!
A propos du livre :
Les Amis de Pancho Villa
Les Amis de Pancho Villa
Par Jean-Bernard le 1 Octobre 2017 Editer
Jean-Bernard
Je reste impressionné par la facilité avec laquelle l'auteur nous entraine dans son sillage, nous fait partager ce milieu, plante le décor.
Souvent, on est dans les personnages, on partage leurs ressentis, leurs pensées et la narration prend plus de profondeur et l'histoire plus de volume .
La principale difficulté reste de maitriser la quantité de personnage qui déboulent au début de ses romans... En attendant, c'est du grand art et du petit lait à lire.
A propos du livre :
La Maison Wolfe
La Maison Wolfe
Par Jean-Bernard le 27 Août 2017 Editer
Jean-Bernard
Un très bon polar... Un style très simple, très particuliers notamment pour les dialogues entre les personnages.
J'ai vraiment bien aimé la description que fait l'auteur de cette partie du monde, on ressent vraiment la dureté du quotidien, le peu de respect pour la vie, la corruption... Effrayant, il vaut mieux vivre en France, c'est sûr.
A propos du livre :
La Loi des Wolfe
La Loi des Wolfe
Par rafounet le 23 Janvier 2015 Editer
rafounet
Un gang des année vingt dont je n'avais jamais entendu parlé.Un roman à moitié biographique à moitié fictif sur la famille ashley Trafique d'alcool au début de la prohibition, attaque de banque tout en laissant de quoi payer les salariés(et oui...) et autres délits. On s'attache beaucoup au personnages.Une belle page d'histoire et de beaux paysage sur les everglades que l'on peut très bien imaginer tout le long de livre.
A lire
A propos du livre :
Red grass river
Red grass river
Par kiki_owen le 27 Janvier 2014 Editer
kiki_owen
Un sympathique Road Movie sur des gangsters des années en vadrouille. On passe un très bon moment et on voyage dans la Louisianne et le Texas
A propos du livre :
Un monde de voleurs
Un monde de voleurs
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