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Tous les livres de Jean-Luc Hees

Nicolas Sarkozy, huit jours avant son accession à la présidence de la République, a rouvert, à sa manière, sans détour, l'histoire de Mai 68. Au fond, il résumait ce jour-là les grandes lignes de sa campagne électorale à l'usage de ceux qui, à droite, précisément, doutaient encore de sa légitimité. C'était le point final d'un processus de " décomplexion ". Car, depuis quarante ans, ce qu'il est convenu d'appeler "la droite" n'a jamais réussi à résoudre l'énigme de Mai 68, " cet événement obscur ". Ces journées-là ont profondément modifié la société française. En bien disent ceux qui avaient le sentiment d'étouffer dans le carcan figé d'un pays à la traîne. En mal prétendent ceux qui ont mal supporté de voir certaines valeurs remises en question, notamment dans le domaine de l'éducation. Le débat, quarante ans plus tard, n'est pas clos. Au fond c'est la génération 68 qui est aujourd'hui aux commandes de l'État. Mai 68 vu par la droite est un dossier fascinant. Sociologiquement et politiquement.

La Maison-Blanche. Un monument universellement connu, une image de puissance et de démocratie, un des rares symboles historiques des États-Unis. Qui furent vraiment ses occupants ? Quels secrets recèle le Bureau Ovale ? Quelle empreinte ont laissée les First Ladies dans cette fameuse bâtisse ? À travers mille anecdotes amusantes ou tragiques, Jean-Luc Hees dresse un passionnant portrait de la présidence américaine.

Ils sont psychopathes, sociopathes, névropathes... Ils règnent sur les pays du Caucase ou d'Amérique latine, sur la Corée du Nord ou les Philippines. Ils régissent de façon extravagante la vie de la Maison Blanche ou du Kremlin. Ils violentent et massacrent leur propre peuple comme en Syrie. Ils discréditent leur fonction par leur comportement comme en Thaïlande, tourmentent leurs opposants comme aux Maldives. Ce sont les princes du dérèglement, du narcissisme, de l'aberration et parfois de la cruauté. Certains sont catalogués par l'ONU comme "criminels de guerre", ou encore sont accusés de "génocide". Le monde les regarde oeuvrer, souvent sans réagir. Tous n'ont pas commis les mêmes atrocités. Mais tous ces personnages affichent certaines caractéristiques troublantes et présentent un risque pour la planète : Bachar el-Assad, avec un demi-million de morts sur la conscience, peut mettre le Proche-Orient à feu et à sang. Kim Jong-un est capable de rayer de la carte une ville américaine ou japonaise. Et Donald Trump, qui demande souvent à ses conseillers militaires à quoi est utile une bombe atomique si on ne peut pas s'en servir, n'est guère rassurant. En dépit des tragédies du XXe siècle, la longue lignée des monstres se renouvelle dans un monde globalisé, où jamais l'information n'a autant circulé." Dans cet ouvrage vif, enflammé, informé, Jean Luc Hees brosse un tableau hallucinant du comportement de certains des dirigeants du monde, perception sévère et effarante des personnalités au pouvoir qui font craindre le pire pour leurs peuples comme pour la planète.

Deux ans après l’accession de Donald Trump à la Maison-Blanche, on pensait tout connaître du 45E président des Etats-Unis. Erreur ! Il fallait encore analyser l’impact de ses déclarations et de ses « pensées » sur l’humeur du monde. De tweet en tweet, de discours en aboiements, il ne laisse personne indifférent et il n’a pas contribué à rassurer la planète sur le rôle nouveau qu’il entend faire jouer à son pays.

Du chaos philosophique au désordre idéologique, en passant par de curieuses dérives comportementales, Trump a suscité bien des interrogations, bien des indignations, bien des dégoûts, voire une véritable sidération.

Jean-Luc Hees, fin connaisseur des Etats-Unis, a voulu mettre en scène l’impact de « l’effet Trump » sur les grands et les petits de ce monde. De la reine d’Angleterre à Clint Eastwood, du pape François à Vladimir Poutine, de Melania Trump au général de Gaulle, de Bob Dylan au travailleur mexicain clandestin, de Robert de Niro à Abraham Lincoln, chacun réagit, avec son cœur, son instinct et ses angoisses.

Avec l’esprit mordant qu’on lui connaît et une bonne dose d’imagination, l’auteur nous entraîne dans des situations cocasses et invraisemblables qui sont en quelque sorte des fables des temps modernes. Il dresse ainsi un tableau drolatique et cruel du Commandant en chef, qui détient entre ses mains l’image et l’avenir de la Grande Amérique.

Un pamphlet, à charge, aussi décapant qu’hilarant. C’est aussi, en filigrane, une chronique des deux premières années au pouvoir de ce président qui, décidément, ne ressemble à aucun autre dans l’histoire des Etats-Unis.

À l'heure d'un tournant historique, Jean-Luc Hees dresse le portrait d'une femme Complexe, énergique, souvent blessée, qui a affronté toutes les vicissitudes de la vie jusqu'au sommet, aux côtés de son mari. First Lady de l'Arkansas puis des États-Unis, Sénatrice de New York et secrétaire d'État, Hillary Clinton n'a jamais su jouer les figurantes. À son tour, elle s'est jetée dans la mêlée de la course à la Maison-Blanche pour concrétiser son idéal de société pour la nation. Aucune personnalité politique, en Amérique ou ailleurs, n'a vu ni sa vie privée ni sa vie publique scrutées aussi minutieusement, aussi intensément et souvent aussi injustement, qu'Hillary Clinton. Elle n'a pourtant jamais mis le genou à terre ni renoncé à ses combats. Candidate à l'élection du 45e président des États-Unis, elle est, selon les termes de Barack Obama, « la personne, homme ou femme, la plus qualifiée pour occuper cette fonction ». Et pour cause, elle a dédié sa vie au service public pendant près d'un demi-siècle. Cette campagne 2016 ne ressemble à aucune autre, tant le Parti républicain, celui de Lincoln, paraît avoir perdu son âme au contact d'un politicien venu de nulle part : Donald Trump. Le populisme outrancier et brutal de cet adversaire n'a guère facilité la tâche de la première femme investie par un parti, la première à pouvoir accéder au Bureau ovale. Car l'Amérique, déçue par ses élites, traverse une période de doute et d'interrogation sur le chemin que va devoir emprunter son destin. Hillary Clinton, femme d'exception, parviendra peut-être à briser ce fameux « plafond de verre » pour écrire une nouvelle page de l'histoire des États-Unis, et du monde.

’est par la bande-dessinée que Jean Teulé investit le monde des livres : d’abord publié dans la revue L’Écho des Savanes, il publie son premier album, Virus, dès 1980, âgé alors de 27 ans. Encore très prolixe dans ce domaine (il a signé ou co-signé près de 20 albums), il est aujourd’hui davantage connu du grand public pour ses romans : Darling, Je, François Villon, Le Magasin des Suicides, Le Montespan, Fleur de tonnerre… Dans ces textes, bien souvent construits sur une réalité historique, il sait à la fois parler d’amour et d’humanité, tout en maniant une plume cynique, parfois très crue, ce qui lui procure une vraie singularité d’écriture.

D’où tire-t-il cette originalité ? Sa passion pour l’histoire porte-t-elle son métier d’écrivain ? Quels ponts fait-il entre sa pratique de dessinateur et celle de romancier ? Il revient, auprès de Jean-Luc Hees, sur plus de trente ans de création.

« À chaque fois que je démarre un livre, j’ai l’impression d’être à poil ! [...] Écrivain, ce n’est pas un métier d’artisan, mais d’artiste, on ne fait que des prototypes.» Jean Teulé

Aux États-Unis, la politique chaotique menée par la Maison Blanche depuis trois ans a eu un impact sidérant sur les relations internationales et sur l’économie mondiale. À ce titre, nous sommes tous concernés par la facture qui s’annonce.

La France, comme d’autres « alliés » de l’Amérique, est en première ligne des conséquences du mandat de Donald Trump : guerre commerciale et rétorsions fiscales, avenir de l’Otan et de la sécurité de l’Europe, absence de doctrine dans la lutte contre le terrorisme, perte de confiance vertigineuse dans la parole américaine, apathie devant les dangers du réchauffement climatique... Les perspectives d’avenir sont pour le moins angoissantes dans un monde en régression devenu « apolaire ». Avec une gestion incohérente de la pandémie par un président qui tourne le dos à la science et ne se préoccupe que de sa stratégie électorale, et avec le ravivement des tensions raciales en début d’été, la situation ne cesse de s’aggraver. Sur toile de fond d’une élection décisive, d’une crise sanitaire et économique sans précédent, et d’un climat social des plus instables, Jean-Luc Hees pose la question des conséquences de tant d’inconséquence. Qu’en sera-t-il du pouvoir et du prestige dont jouissait le pays depuis la fin de la seconde guerre mondiale ? Si l’Amérique abandonne le rôle de leader mondial, qui prendra le relais ? Et, sur le nouvel échiquier géopolitique quelle sera la place de la France, et de l’Europe ?

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