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Tous les livres de Jean-Paul Brighelli

Nos enfants ne savent plus lire, ni compter, ni penser. Le constat est terrible, et ses causes moins obscures qu'on ne veut bien le dire. Un enchaînement de bonnes intentions mal maîtrisées et de calculs intéressés a délité en une trentaine d'années ce qui fut l'un des meilleurs systèmes éducatifs au monde. Faut-il incriminer les politiques, les profs, les parents, les syndicats, les programmes ? En tout cas, la Nouvelle Pédagogie a fait ses «preuves» : l'école a cessé d'être le moteur d'un ascenseur social défaillant. Ceux qui sont nés dans la rue, désormais, y restent. Dès lors, que faire ?

Jean-Paul Brighelli analyse avec une lucidité féroce, sans nostalgie exagérée, cette école de la réussite devenue si souvent école de l'échec programmé et donne des solutions pour une école de demain. Normalien, agrégé de lettres, il a, du collège à l'université, parcouru l'essentiel du paysage éducatif. Longtemps impliqué dans l'édition scolaire et parascolaire, il en démonte au passage les mécanismes et les intérêts convergents.

Kyrnos, Kallistè, Corsica : autant de noms ; autant d'îles. -Les Corses eux-mêmes savent-ils bien quelle image de leur île sous-tend leurs rêves ? L'île de Beauté, faite de paysages uniques ? L'île des révoltes, toujours assaillie, jamais vaincue - et quand bien même, jamais dominée ? Cette terre de liberté qui n'en a jamais vraiment joui - qu'elle subisse le joug romain, maure, pisan, génois ou français - et qui, s'identifie à des héros défaits, de Sampiero Corso à Pascal Paoli, donne du fil à retordre à la République depuis plus de deux siècles. Elle n'est pas avare de la souffrance des autres, elle n'est pas chiche de son propre sangs La Corse souffre de dédoublement de personnalité - et aucun de ses masques n'est vraiment authentique. Jouant un jour la tradition, revendiquant le lendemain son droit à la modernité, repoussant la France et attendant souvent tout d'elle, la Corse séduit et exaspère. Le temps est venu de déconstruire les légendes, d'ôter les masques. Suivre pas à pas l'histoire de la Corse, comme le fait ici Jean-Paul Brighelli, c'est entrer dans l'un des plus formidables chantiers de mythes que l'Histoire ait en un jour la fantaisie d'ouvrir.

Au commencement était le mont Tombe, un rocher semblable à Tombelaine ou au mont Dol. Mais c'est là que saint Michel veut avoir son sanctuaire, au péril de la mer. Après le temps des moines et des pèlerins, vient le temps des guerriers et des geôliers, le temps de la décadence. Puis, au XIXe siècle, arrivent les architectes. Pour restaurer le Mont, lui redonner sa place de Merveille de l'Occident.

Le barbare nouveau est arrivé. Conforté dans son ignorance par un système scolaire qui privilégie le droit de dire des bêtises plutôt que la liberté de penser, et préfère la Pédagogie molle au dur apprentissage des savoirs, il assène, dans une langue mutilée, ses certitudes glauques : mépris des filles et des femmes, haine de la science et de la réflexion, préjugés d'hier et d'aujourd'hui. Bien que minoritaire, il fait régner sa loi, de l'école au lycée - et au-delà. Car la violence est le mode d'expression favori de ce mutilé de l'intellect. Comment en sommes-nous arrivés là ? Par quel enchaînement létal de bonnes intentions, de prêt-à-penser flasque et de lâchetés cumulées avons-nous laissé l'école s'éloigner de l'idéal laïque de l'Instruction publique ? Au nom de quelle fausse idée de la démocratie et de l'égalité des chances avons-nous trahi la République, et conforté les inégalités ? Une école sous influence raconte l'ascension de Tartuffe, l'homme idéal du politiquement correct. Ou comment " Tartuffe-roi " a pris le pouvoir, piétinant au passage l'école de la République - et la République.

description

L'école se meurt, l'école est morte : enseignants ou parents, pédagogues et politiques, tous sont d'accord sur le constat. Le Savoir est lettre morte. La baisse de niveau généralisée a accentué l'inégalité des chances. L'ascenseur social est en panne. Les élèves eux-mêmes, peu flattés d'être désormais des "apprenants", et de décrocher un bac dévalué, souhaitent que l'on sonne la fin de la récréation.

"A bonne école" est un livre de propositions. Son objectif central est de réconcilier le diplôme avec la compétence, et avec la connaissance, afin que chacun aille au plus haut de ses capacités. Programmes et formations doivent désormais viser l'excellence, parce qu'il faut de nouveaux maîtres pour de nouvelles ambitions.

Aucune vaine polémique dans ce livre. Ni élitisme forcené, ni nostalgie exagérée : après "La fabrique du crétin", Jean-Paul Brighelli a rassemblé les suggestions de ses lecteurs, pour que vive l'école. Normalien, agrégé de lettres, après trente ans d'expérience dans les établissements les plus divers, il a décidé de mettre sa colère au service de l'Education.

Les cochons corses ne se nourrissent pas uniquement de glands et de châtaignes...

Et on n'assassine pas des préfets tous les jours, même en Corse. Quand on les assassine, ce n'est pas par hasard. Une conspiration voulue par les uns et exploitée par les autres. Alors qu'à Paris s'agitent les ombres des montreurs de marionnettes, un flic fraîchement retraité mène l'enquête... Il n'est pas seul sur le coup: un jeune agent, persuadé de connaître les dessous de l'affaire, suit de très près le vieil enquêteur.

La Corse se garde bien de révéler ses secrets: les montagnes restent muettes, et nul n'est à l'abri d'un assassinat dans le restau du coin.

Recueil de textes majeurs du 16è et 17è siècle avec leur présentation.

Il nous a fallu du temps pour comprendre que "liberté sexuelle" était en fait un oxymore. Du moins dans le sens que l'on donne aujourd'hui au terme - une liberté faite de voyeurisme, de vénalité, de répétitions - et, au fond, de conformisme. Bref, ce que l'on appelle désormais pornographie. Pour éviter les aléas liés à la circulation de marchandises, le système a eu l'idée d'en vendre seulement l'image - et de modifier en profondeur le désir afin qu'il se contente de ces images, et accepte d'en payer le prix exorbitant. Coup double : on vend du virtuel, du vent, et on transforme l'acheteur pour qu'il s'en contente. La pornographie se paie cash. En traumatismes, violences, mépris des autres et de soi-même. Eros et Thanatos, dans le même bateau. Toutes ces petites morts simulées font un grand cadavre - celui de notre civilisation. Sous les projecteurs des studios, on détruit les Lumières. Cet essai tente de resituer la pornographie dans le cadre de la vulgarité contemporaine. Et de restituer au libertinage ses lettres de noblesse. Double tâche, combat perdu - mais c'est bien plus beau lorsque c'est inutile.

Sade est le plus méconnu des hommes célèbres. Fils de famille d'ancienne noblesse provençale, il est, en raison de ses débauches de grand seigneur libertin, emprisonné à plusieurs reprises sous l'Ancien Régime. Acteur de la Révolution française, il est, de nouveau, incarcéré lors de la remise en ordre politique et morale du Consulat. Une légende noire peut alors naître de sa vie scandaleuse et de ses romans voués à l'enfer des bibliothèques. Sade, auteur érotique, pornographique, politique, incarne, presque à la perfection, le mythe de l'écrivain persécuté par tous les pouvoirs. Insulté, occulté, accablé d'opprobres, le malheureux marquis fut, à son corps défendant, le père putatif du sadisme sans que rien dans sa vie pourtant n'autorisât une réputation aussi sulfureuse. La vie du "Divin Marquis", telle que la biographie la plus scrupuleuse nous la révèle, n'est que la partie émergée d'une masse de conspirations, de conjurations et de contresens qui ont depuis deux siècles façonné la légende de Sade. Au récit de la vie du marquis s'ajoute ici la réception dans l'histoire intellectuelle de la figure et des écrits de Sade, l'analyse des mythes sadiens qui, à force de tirer vers le blanc ou le noir, ont fini par masquer l'œuvre de l'un des penseurs les plus originaux du XVIIIe siècle.

On ne tue pas par hasard un haut fonctionnaire ni en Corse, ni ailleurs.

C'est ce que découvre, lentement horrifié, le narrateur de ce roman, un "nègre" engagé pour rédiger les mémoires de Marie-Ange Papadacci, dit l'Ange, ancien policier apparemment retiré des affaires. Le nègre comprend peu à peu que son employeur est au cœur d'un énorme complot visant à déstabiliser la patrie de Pascal Paoli. Mais dans quel dessein ? Quels intérêts considérables pèsent sur cette affaire ? Quels politiques, quels financiers, animés des pires intentions, ont choisi de jouer à fond la carte de la violence ? Agents secrets, mafia des jeux, trafiquants en armes et en pétrole, promoteurs fascinés par les bords de mer et autonomistes vivants ou morts, se croisent dans ce roman, dont les événements comblent si bien les trous de l'Histoire qu'ils mériteraient d'être vrais.

Entre étapes gastronomiques et randonnées pittoresques, toutes plus épuisantes les unes que les autres, l'Ange et son " porte-plume " distillent les révélations les plus abominablement vraisemblables sur les meurtres qui ont endeuillé la Corse ces dernières années. Cette prétendue confession n'est bien sûr qu'une fiction. En s'inspirant de faits divers, l'auteur a cultivé l'ambiguïté, mais les personnages ici mis en scène ont de si mauvaises mœurs, une propension si marquée à la violence, des arrière-pensées si peu édifiantes qu'il est impossible de croire qu'ils aient vécu à notre époque.

En ce début de troisième millénaire, il ne saurait plus y avoir, dans l'Île de Beauté, ni flics retors, ni fonctionnaires douteux, ni truands reconvertis, ni femmes infidèles, ni charcuterie allogène...

Aujourd'hui, Tableau noir dresse le constat impitoyable d'une faillite générale, malgré les pseudo-réformes entreprises –; ou à cause d'elles.

Venu au pouvoir avec un pseudo-projet de refondation, le gouvernement socialiste a achevé le désastre initié dans les années 1990.

Une faillite voulue, conforme aux engagements européens d'une France à bout d'école comme on est à bout de souffle. Faillite de la formation –; seuls les élèves Et parallèlement, on massacre aussi les enseignants –; quand on en trouve encore : parce qu'il ne suffit pas de vouloir recruter, encore faut-il réinventer un métier chaque jour plus difficile.

Élèves ou professeurs, c'est encore et toujours Mozart qu'on assassine, en privilégiant un " socle " dont les ambitions sont chaque année revues à la baisse –; et les résultats flamboyants d'un Bac qui ne veut plus rien dire sont, sans paradoxe, l'attestation la plus exemplaire de la faillite du système.

Ce n'est que par un redressement national exemplaire que l'on redonnera à l'Ecole l'éclat qui fut le sien, et que l'on formera les générations futures. Tableau noir, au-delà du constat accablé, est un livre de propositions. les plus favorisés échappent au délitement général, et encore pas toujours, seuls les enseignants les plus rebelles parviennent encore à accomplir leur mission –;, faillite de la transmission : ce n'est plus une culture que les enseignants, mal recrutés, mal formés, mal aimés, tentent de faire passer, mais le Grand Gloubi-boulga –; le pré-mâché passe- partout qui laisse 18% d'élèves sur le mauvais côté de l'alphabétisation, et envoie chaque année 150 000 adolescents à la rue –; surtout s'ils en viennent.

Parce que la faillite principale, c'est celle du renouvellement social. Ce sont prioritairement les plus pauvres qui paient le plus cher. Loin de les pousser au plus haut de leurs capacités, on ne leur donne même plus les bases qui leur permettraient de comprendre qu'on les sacrifie.

Mais Brighelli ne fait pas que dénoncer, il propose un ensemble de solutions pour redonner du sens à l'Éducation nationale :

- Abandon de la théorie des 80 % d'une tranche d'âge ayant le bac

- Retour à l'examen d'entrée en 6 ème pour valider les acquis : lecture, écriture, calcul

- Valorisation du travail des profs par la revalorisation de leur salaire.

- Développement des bourses d'études, mais maintien de celles-ci en fonction des résultats de l'élève.

- Défense d'une absolue laïcité.

Brême, avril 2000. Vladimir Poliakov, 90 ans, transporte une lourde valise. Sans prêter attention aux gouttes de pluie, le vieil homme se dirige vers le musée dont il a griffonné l’adresse sur un bout de papier : Am Wall 207.

Arrivé à la Kunsthalle, il est reçu par la conservatrice en chef, à qui il dévoile ses chefs-d’oeuvre : des dessins de Durer, des esquisses de Rembrandt, des aquarelles de Rubens… Une collection inestimable !

Comment cet ancien commandant de l’Armée rouge a-t-il pu mettre la main sur ces oeuvres spoliées aux juifs par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale ? Et pourquoi, tant d’années après, les morts s’accumulent-ils encore sur la piste de ce trésor oublié ? Ioulia Kovalenko, journaliste indépendante, ne vient-elle pas d’être torturée à mort pour prix de sa curiosité ?

C’est dans cette nasse pleine de fric et de sang que va tomber à son tour Pierre Loutrel, respectable professeur d’histoire de l’art, contacté par un agent américain pour mettre la main sur la totalité de cette fabuleuse collection… Mais les tueurs ukrainiens ne sont pas des poètes…

source : éditions "L'Archipel"

En s'attaquant à notre langue, c'est à la Nation que l'on s'attaque.

"La France, ton français fout l'camp !" : baisse dramatique du niveau orthographique, conséquence d'un enseignement à la dérive ; réformes absurdes de l'apprentissage de la langue, "négociations" en classe sur la graphie et "simplification" de la grammaire – ; jusqu'à ce qu'il n'en reste rien ; utilisation massive de l'anglais – ; et, pire, du globish – ; par de hautes instances françaises, y compris des candidats à la présidence de la République...

Tout révèle une inspiration commune : la langue, c'est la Nation, et dans le grand concert mondialisé, les nations ne sont pas bienvenues.

Du coup, les "communautés" s'organisent autour de leurs propres langages, et y sont souvent encouragées par l'institution éducative : l'arabe ou le turc oui, mais le français, de moins en moins. Si la langue française est la base de notre culture, la dégrader peut suffire à suicider une France vieille de douze siècles.

Mais c'est cela aussi, l'objectif : la France doit disparaître, et c'est en attaquant à la base sa langue et sa culture qu'on en finira le plus vite avec elle.

Annihiler la cinquième langue la plus parlée au monde n'était pas une mince affaire. Mais si nous continuons sur notre lancée autodestructrice, à l'horizon 2030, ce sera fait.

Que faire ? C'est par l'apprentissage systématique de la langue – ; dans ce qu'elle a de plus beau et de plus emblématique – ; que nous pouvons échapper au sort qui nous est promis par le néo-libéralisme : intégrer et assimiler la mosaïque de populations qui se pressent sur notre territoire. C'est par la langue que nous pouvons résoudre les tensions entre "communautés" – ; un joli mot inventé pour faire croire qu'il n'y a plus de communauté unique des citoyens français.

C'est par la langue que nous pouvons résister à la déferlante de cette mondialisation qui prétend nous éparpiller façon puzzle.

L'École de la transmission des savoirs et de la formation des citoyens est à l'agonie. Elle accomplit ce pour quoi on l'a programmée depuis cinquante ans : adaptée aux nécessités du marché, elle fabrique à la chaîne une masse de consommateurs à demi illettrés et satisfaits de l'être.

Soucieuse d'élaborer enfin l'égalité promise par la République en nivelant par le bas, elle a réussi à détruire ce que la France avait mis deux siècles à élaborer.

Près de vingt ans après avoir prédit sa mort programmée, Jean-Paul Brighelli revient au chevet de l'École et la trouve plus mal en point que jamais. Collège unique, " pédagogisme ", méthode globale, regroupement familial, laïcité à géométrie variable... les causes sont nombreuses, et l'action de Pape Ndiaye n'empêchera pas plus la déroute que celle de Jean-Michel Blanquer.

L'École est au pied du mur : elle sera " soit l'instrument d'une dissolution dans l'individualisme et le communautarisme, soit l'outil d'une résurrection ". Est-il trop tard pour réagir ?

Alors que s'organisent les persécutions contre les protestants dans la France de Louis XIV, un jeune seigneur cévenol et son ami médecin se rendent à Versailles pour demander audience au Roi Soleil... Un roman historique " à la Dumas ", foisonnant et captivant.

Ombres et lumières à la cour du Roi Soleil

Languedoc, 1685. Sous l'influence de Mme de Maintenon, Louis XIV vient de révoquer l'Édit de Nantes : les protestants doivent se convertir – ou mourir. Déjà les premières dragonnades ont lieu dans les Cévennes : le marquis de Souvré, cruel et libidineux, massacre les habitants d'un village huguenot.

Pierre d'Aumelas, jeune seigneur de ce village martyr, décide de protester auprès du roi. Accompagné de son ami d'enfance Balthazar Herrero, descendant de ces Maures espagnols qui ont préféré l'exil à l'Inquisition, médecin déjà réputé malgré son jeune âge, il chevauche vers Paris – et s'amourache en chemin d'une belle demoiselle attaquée par des malandrins...

Mais obtenir une audience du roi est difficile. D'autant que Sa Majesté est malade : atteint d'une fistule à l'anus, ses jours semblent comptés. Aumelas tente d'arriver à ses fins en faisant intervenir le Grand Condé, auprès duquel il a jadis guerroyé en Flandres. Balthazar, lui, s'introduit auprès du médecin du roi, d'Aquin. Et c'est lui, Balthazar, qui guérira Louis XIV. Il en sera récompensé : une grande carrière s'ouvre à lui.

Duels, intrigues amoureuses, viols et violences, exécutions sanglantes, festins monstrueux : Soleil noir raconte l'envers du " Grand Siècle ", miné par les dissensions au plus haut de l'État, les ambitions de Louvois, la vieillesse de Condé et le froid intense du " petit âge glaciaire " qui frappe alors la France. Un roman historique à la manière de Dumas, qui combine érudition, surprises et rebondissements.

Il y a des profs qui se retranchent prudemment derrière la phrase facile, le "prêt-à-noter", et ceux qui osent ! C'est à eux que ce recueil rend hommage, en espérant qu'ils en inspireront d'autres.

Plus de 200 citations issues de bulletins de notes, où l'on croise Phèdre en pyjama, des radiateurs, des fenêtres, et Molière au fond de la bouche. De la poésie pure ! Et puisqu'il est question de pédagogie, ce recueil propose un classement qui vous fera réviser les figures de style, ainsi que quelques vérités aussi essentielles que celle-ci : non, Oui-Oui n'est pas le fils caché de Sissi...

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