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Commentaires sur ses livres

Julian Barnes

Par Talou61 le 29 Novembre 2023 Editer
Talou61
Une erreur de casting !

Je pensais lire un ouvrage sur le médecin Samuel Pozzi et la Belle Epoque, mais… on n'apprend rien sur Pozzi et pas grand chose sur la Belle Epoque.

La première partie du livre se focalise sur la vie et la sexualité de quelques personnages, Edmond de Polignac, Robert de Montesquiou, Samuel Jean Pozzi, et Oscar Wilde, et le procès de ce dernier.

J'ai aimé les premières pages, le style recherché…
Et puis rapidement, je me suis lassée : le style est trop chargé, érudit, on oublie le sujet et l'on s'ennuie…

L'auteur parle à peine de Pozzi et de la Belle Epoque…

Comme l'a justement dit un autre lecteur "Ce livre est un peu comme le dandy qui en est le sujet : élégant, beau parleur, un charme de surface, mais vain, creux, inconsistant et au final lassant."
A propos du livre :
L'Homme en rouge
L'Homme en rouge
Par Nadine-150 le 27 Décembre 2022 Editer
Nadine-150
Offert par Julius.
Un peu trop tortueux à mon goût. Très philosophique aussi. La psychologie des personnages est déroutante.
A propos du livre :
Une fille, qui danse
Une fille, qui danse
Par Henrxy le 9 Août 2022 Editer
Henrxy
Un premier amour détermine une vie pour toujours : c'est ce que j'ai découvert au fil des ans. Il n'occupe pas forcément un rang supérieur à celui des amours ultérieures, mais elles seront toujours affectées par son existence. Il peut servir de modèle, ou de contre-exemple. Il peut éclipser les amours ultérieures ; d'un autre côté, il peut les rendre plus faciles, meilleures. Mais parfois aussi, un premier amour cautérise le coeur, et tout ce qu'on pourra trouver ensuite, c'est une large cicatrice. Paul a dix-neuf ans et s'ennuie un peu cet été-là, le dernier avant son départ à l'université. Au club de tennis local, il rencontre Susan - quarante-huit ans, mariée, deux grandes filles - avec qui il va disputer des parties en double. Susan est belle, charmante, chaleureuse. Il n'en faut pas davantage pour les rapprocher... La passion ? Non, l'amour, le vrai, total et absolu, que les amants vivront d'abord en cachette. Puis ils partent habiter à Londres : Susan a un peu d'argent, Paul doit continuer ses études de droit. Le bonheur ? Oui. Enfin presque car, peu à peu, Paul va découvrir que Susan a un problème, qu'elle a soigneusement dissimulé jusque-là : elle est alcoolique. Il l'aime, il ne veut pas la laisser seule avec ses démons. Il va tout tenter pour la sauver et combattre avec elle ce fléau. En vain... Mais lui, alors ? Sa jeunesse, les années qui passent et qui auraient dû être joyeuses, insouciantes ? Il a trente ans, puis trente et un, puis trente-deux. Vaut-il mieux avoir aimé et perdre ou ne jamais avoir aimé ?
« La plupart d'entre nous n'ont qu'une histoire à raconter. Je ne veux pas dire que cela ne nous arrive qu'une fois dans une vie : il y a d'innombrables événements que nous transformons en d'innombrables histoires. Mais il n'y en a qu'une qui compte, une seule qui mérite finalement d'être raconté. Celle que je raconte ici est la mienne." C'est ainsi que s'exprime le narrateur du dernier roman de Julian Barnes, un texte verni avec l'élégance avec laquelle l'auteur est habitué à polir la mélancolie que dégagent ses œuvres.

Ce qui est raconté ici est l'histoire de la relation entre un jeune étudiant universitaire et une femme mariée d'un quartier résidentiel qui finissent par se rencontrer au club de tennis. Rien de nouveau peut-être, mais Barnes nous raconte comme si c'était l'occasion fondatrice où l'inconscience de la jeunesse croise la sécurité de la maturité, pour créer une bulle dont l'éclatement est annoncé et reporté dans le récit.

Paul, dix-neuf ans, narrateur et protagoniste, méprise les conventions et les servitudes qu'implique pour lui la condition d'adulte. Et par conséquent ie étant cette aversion aux membres d'une génération qui s'y soumet sans la moindre résistance, mais dont il exclut Susan, malgré ses quarante-huit ans et ses deux filles.
Paul revient sur ses années en faisant appel à la compréhension du lecteur/auditeur, conscient que la mémoire a ses propres règles pour prioriser les souvenirs. C'est le prétexte parfait pour Barnes pour gérer les données et les situations sans s'occuper de chronologies précises, jusqu'à composer l'image du champ de bataille où s'installe le bonheur du couple. On y retrouve les parents de Paul, les membres scandalisés du club, le mari qui a permis la présence persistante du jeune homme chez lui, ou encore l'amie solitaire de Susan, vaincue après avoir échoué dans une relation inverse qu'elle refuse désormais de juger et en dont elle était la partie la plus vulnérable.

Mais ce qui va décider de l'issue du conflit va être l'irruption dévastatrice d'un élément quelque peu inattendu : l'alcool, compagnon d'infortune et soulagement des angoisses. C'est là que la capacité d'analyse et de réflexion de l'auteur est mise au service du protagoniste pour lui permettre de comprendre les détails d'une histoire qui le dépasse, et dans laquelle la narration passe naturellement d'une première personne passionnée à une seconde expositoire, pour finir dans une troisième avec une vocation d'objectivité et de décompte des pertes.

Barnes est le membre le plus âgé de cette génération d'auteurs britanniques qui a émergé dans les années 80 et à laquelle appartiennent également Ian McEwan, Martin Amis et Kazuo Ishiguro. Barnes comme dans son précédent roman, "Le bruit du temps" ou il mettait dans la bouche de son protagoniste, le compositeur russe Chostakovitch, une phrase aussi amère que dévastatrice : "Les illusions (...), même mortes, continuent de pourrir et de puer en nous." en refait la démonstration. dans ce roman froid par choix ce qui peut déplaire.
A propos du livre :
La Seule Histoire
La Seule Histoire
Par Henrxy le 17 Juin 2022 Editer
Henrxy
Condamné pour le meurtre d'un cheval, George Edalji, jeune avoué d'origine parisienne, est emprisonné puis relâché sans avoir été innocenté.
Son teint mat et sa parfaite intégration sociale dérangent l'Angleterre bien-pensante de ce début de XXe siècle.
Fragile, effacé maladroit et démuni, il va faire appel à Arthur Conan Doyle, alors un des hommes les plus célèbres d'Angleterre, le créateur de Sherlock Holmes...
Extraordinaire tableau de la société victorienne, ce roman. inspiré d'un fait réel qui avait divisé l'Angleterre comme en France l'affaire Dreyfus, est aussi le plus passionnant et le plus haletant des thrillers.

Arthur est un homme mûr, un athlète, qui a atteint une réussite sociale comme il ne l'aurait jamais imaginé dans sa jeunesse. George est un jeune homme timide, instruit et méthodique qui vit dans une ville de la campagne anglaise, où son père est vicaire. Arthur est médecin et a pratiqué comme ophtalmologiste, bien que la profession qui lui a valu la gloire et la fortune en soit une autre. George étudie le droit à Birmingham et travaille ensuite comme stagiaire pour un avocat. Arthur est marié, mais amoureux d'une autre femme qui lui l'aime en retour, mais à laquelle il est cependant incapable de toucher ne serait-ce qu'un cheveu, par respect pour sa femme. George est célibataire et n'est pas connu pour avoir une relation avec une femme, bien qu'il aimerait le faire, quoique d'une manière quelque peu déroutante. Arthur a été élevé catholique, mais au fil du temps, il s'est intéressé aux pratiques spirites, auxquelles il en est venu à croire fermement. George est un anglican, la foi dans laquelle son père le vicaire l'a élevé. Arthur est écossais, issu d'une famille irlandaise, bien que sa figure soit devenue l'incarnation du gentleman anglais, ou, du moins, britannique. George est bien anglais, des Midlands, et il ne se sent rien d'autre ; mais beaucoup de ses voisins ne le voient pas ainsi, car son père, en plus d'être un vicaire anglican, est Parsi. Arthur écrit des histoires : des histoires d'horreur, des histoires d'aventure et, surtout, des mystères. Il est même le créateur du détective littéraire par excellence, l'archétype qui définira tout le genre pour les années à venir. George a écrit un livre sur la législation ferroviaire. De retour du travail, il fait généralement des promenades solitaires dans la campagne à la tombée de la nuit. Des tueries d'animaux et certains autres événements étranges se produisent dans sa région, il fait l'objet d'une enquête et est accusé de les avoir commis : il finit par se retrouver en prison. George demande l'aide d'Arthur, et Arthur, dont la noblesse d'esprit et l'intégrité sont considérées comme un exemple pour toute la nation, accepte de l'aider. Arthur, bien sûr, est Arthur Conan Doyle, et George est George Edalji, un jeune métis qui a clamé son innocence, sans être écouté. Et Arthur & George est un roman sur les différents chemins qui peuvent être suivis pour être un homme ; sur notre propre identité et notre intégration dans le monde . Un roman sur l'éloignement que ce monde peut vous imposer et à quel point vous pouvez être étrange pour lui. Un roman sur la mesure que l'on est soi-même capable de donner et sur ce que les autres pensent que l'on est capable de donner. Celui d'une amitié basée sur la reconnaissance de l'autre, sur le respect mutuel et la confiance, plutôt que sur l'affection. Un roman sur Sir Arthur Conan Doyle et sur George Edalji, l'homme qui lui a demandé de l'aide à lui et non à et non Holmes, sa créature, ce "fils" presque plus détesté qu'aimé. Arthur & George est un roman plein de sensibilité, de subtilité et d'intelligence, écrit par un Julian Barnes en état de grâce.
Pourtant sur un plan purement littéraire, c'est la recréation de la vie de George Edalji de comment sa personnalité et les contours de sa pensée intime se construisent sous nos yeux émerveillés, qui donne la mesure de l'immense talent de Julian Barnes. L'auteur sait prendre une histoire vraie et la transformer, au-delà de la pure anecdote pour l'intégrer é son territoire et à son monde littéraire. Avec un style d'une simplicité trompeuse (le travail de l'auteur semble à peine perceptible) et avec une précision arithmétique, le parcours de vie de ces deux hommes se déroule en parallèle, illustrant deux manières d'appréhender la vie et d'affronter ses défis.
Un bon roman.
A propos du livre :
Arthur & George
Arthur & George
Par Steph_P le 19 Mars 2022 Editer
Steph_P
Que cette lecture fut poussive ! On m'avait conseillé Julian Barnes pour son style, son emploi des mots, et j'ai été déçue.
L'histoire relate le premier amour vécu par un jeune homme de 19 ans, Paul, du premier au dernier jour de sa relation. La naissance, l'évolution, le déclin de cet amour pour une femme plus agée que lui.
Que de circonlocutions ! Que de retours en arrière sur des anecdotes déjà évoquées ! Que de temps perdu à vouloir terminer cet ouvrage...
A propos du livre :
La Seule Histoire
La Seule Histoire
Par Stephanie-61 le 12 Février 2022 Editer
Stephanie-61
Je me suis franchement ennuyée avec ce recueil de nouvelles. Il faut reconnaître que ce format d'histoires n'est pas mon préféré. D'habitude, il y a quand même des histoires qui sortent du lot mais là non, je n'ai pas accroché à l'univers de l'auteur.
A propos du livre :
Outre-Manche
Outre-Manche
Par Biquet le 9 Février 2022 Editer
Biquet
Дмитрий Дмитриевич Шостакович ou en moins cyrillique Dmitri Chostakovitch. Bref Chosta pour les intimes. Un compositeur russe que j’adore tant dans ses 24 quatuors pour cordes que pour son Trio no 2 pour violon, violoncelle et piano en mi mineur opus 67. J’apprécie également ses symphonies dont l’émouvante N° 7 dite « Leningrad » ou ses suites pour orchestre. Chosta est un compositeur qu’à l’oreille on distingue entre mille ; je viens d’en faire l’expérience avec le quatuor N° 5 interprété par l’ensemble Dannel
Bien que très sombre ce livre est égayé de traits d’humour désopilant. Quelques exemples. Pendant la guerre Prokofiev était coincé en Sibérie et devait vendre ses costumes occidentaux pour survivre ; Mr Krouchtchev était nommé Mr Maïs, Prokofiev rata sa mort parce qu’il succomba 50 minutes avant Staline. L’entrevue avec Akhmatova, ce fut un face à face entre deux mutiques ; celle avec un Stravinsky arrogant.ne lui laissa aucun souvenir agréable bien qu’il idolâtrât son ainé réfugié aux USA.
Ce n’est pas le premier livre que je lis ayant pour thème la biographie de Chosta. Celui-ci me paraît être le plus riche en anecdotes : les détails de son voyage aux USA, les colliers et bracelets de gousses d’ail dont il se parait lors des voyages en train de Kouïbychev à Moscou afin de ne pas contracter le typhus. Ce patelin au nom imprononçable se trouve en Sibérie Occidentale entre Oms et Novossibirsk à 2.500 km de Moscou.

Si vous aimer Chosta, vous aimerez ce récit !
A propos du livre :
Le fracas du temps
Le fracas du temps
Par Henri-1 le 16 Avril 2021 Editer
Henri-1
. Il s'agit surtout d'un portrait , chronique de la société mondaine, entre 1880 et 1910, à la Belle Époque, entre Londres et Paris, parmi de nombreuses personnalités des arts et de la littérature dont la biographie du Docteur Pozzi célèbre gynécologue de son temps sert de fil conducteur.
Une plongé dans le monde mondain ses années 1880,1910 en particulier de grands dandys (souvent homosexuels) , des romanciers, des peintres, des artistes....
Tout cela tourne et virevolte de façon exquise!
A propos du livre :
L'Homme en rouge
L'Homme en rouge
Par Stonefield le 27 Février 2021 Editer
Stonefield
Trop long alors qu’il ne fait que 200 pages. J’ai eu envie de lire le livre après avoir vu le film dont je n’avais pas vraiment compris l’histoire et finalement comme pour le livre ce n’est pas logique du tout ! J’ai eu beaucoup de mal avec le style d’écriture ce qui fait que je n’ai jamais réussi à rentrer dans l’histoire et le personnage principal est très antipathique et il m’a rappelé Holden de l’attrape-coeurs (ce qui n’est pas une bonne chose pour moi ayant détestée ce livre !)
A propos du livre :
Une fille, qui danse
Une fille, qui danse
Par duncan8 le 1 Février 2021 Editer
duncan8
proposition interessante tout est dans le titre moment agréable un peu court sur le format c est dommage
A propos du livre :
Un homme dans sa cuisine
Un homme dans sa cuisine
Par Tinapolda le 23 Mai 2020 Editer
Tinapolda
La raison qui m'a poussé à lire ce roman biographique est la Valse no2 de Dmitri Chostakovitch. Il y a une période où je passais l'intégralité de mes pauses à écouter cette musique en boucle dans mes écouteurs, actuellement je l'apprends au piano et je m'amuse à danser comme je peux dessus. Alors évidemment quand j'ai reconnu le compositeur sur la couverture...
Ce livre raconte la vie de Dmitri Chostakovitch. Plus précisément il s'agit de la description de son ressenti de compositeur face aux exigences du stalinisme en matière de création artistique.
Une personne qui a également lu le livre m'a fait remarquer que "vraiment, si on n'a pas compris que le Pouvoir étouffait l'Artiste c'est vraiment qu'on n'est pas fufut". Je pense qu'il a dû se lasser de la répétition des passages visant à décrire l'oppression vécue par le compositeur...
Moi-même j'avoue que je ne m'attendais pas à ce que le texte donne à voir autant de pessimisme. J'ai tellement été ébloui par la pureté de la Valse no2 que je pensais trouver dans ce livre, malgré son résumé exhaustif, une synthèse des réflexions du compositeur sur ce qu'était pour lui la Musique, l'Art et l'expression de l’Émotion... Des choses très poétiques en somme que l'on attribue aux artistes quand au travers de leur œuvre ceux-ci ne nous semblent pas particulièrement névrosés ou excentriques.
La note de cinq sur dix que je lui attribue est certainement injuste car elle est simplement due au fait d'une part que son contenu ne calquait pas à mes attentes (mais je ne peux pas reprocher à l'auteur les exécrations du stalinisme), et d'autre part au fait que je ne pensais pas découvrir un homme aussi meurtri derrière le nom de Chostakovitch.
Scrupuleusement je pense donc que l'auteur a bien réalisé son travail. En effet, si à travers quelque deux cent pages le Communisme érigé en Parti unique nous apparaît à nous lecteur, pesant du fait de sa récurrence, c'est que la journée type d'un véritable artiste compositeur devaient être bien pire à cette époque !
Pour finir ce roman biographique ouvre la voie à des interrogations relatives à la liberté d'expression qui demeurent nécessaires et pertinentes de se poser à n'importe laquelle des époques et sous n'importe lequel des régimes.
A propos du livre :
Le fracas du temps
Le fracas du temps
Par passiondulivre88 le 23 Avril 2020 Editer
passiondulivre88
Un très bon moment de lecture. Bien mieux que le film.
A propos du livre :
Love, etc.
Love, etc.
Par zenpoete60 le 29 Mars 2020 Editer
zenpoete60
Comme l’écrit Julian Barnes, "un premier amour détermine une vie pour toujours. Il n’occupe pas forcément un rang supérieur à celui des amours ultérieures, mais elles seront toujours affectées par son existence. Il peut servir de modèle, ou de contre-exemple. Il peut éclipser les amours ultérieures. D’un autre côté, il peut aussi les rendre plus faciles, meilleures . Mais parfois aussi un premier amour cautérise le cœur, et tout ce qu’on pourra trouver ensuite, c’est une large cicatrice" .
A propos du livre :
La Seule Histoire
La Seule Histoire
Par Virginy le 28 Septembre 2018 Editer
Virginy
C’est un voyage dans le passé, dans la mémoire de Tony Webster, narrateur de ce récit, que nous livre Julian Barnes. Mais aussi une introspection, une sorte de remise en question. Tony, dont le premier véritable amour, Veronica, resurgit dans sa vie de manière inattendue quarante ans après leur rupture. Elle l’avait si vite remplacé en sortant avec l’un de ses meilleurs amis de lycée, Adrian. Et blessé dans son ego, Tony avait envoyé une lettre assassine aux deux amoureux. Cette lettre est-elle la, ou du moins une des raisons pour laquelle Adrian s’est suicidé?

Ce qui fait que les chemins de Tony et Veronica se recroisent est un héritage étrange que Tony reçoit de la mère de Veronica, une femme qu’il n’a vue qu’une seule fois dans sa vie: le journal intime d’Adrian. Alors le sexagénaire s’interroge sur les motivations qui justifient ce leg et le voilà qui se replonge dans ses souvenirs.

Après sa relation avec Veronica, la vie de Tony a été plutôt terne. Et à la manière dont il en parle, on sent que Veronica lui faisait un peu peur. C’est une femme intelligente, peut-être l’est-elle même davantage que Tony et que c’est une des raisons qui ont fait que, se sentant inférieur et ainsi comme menacé dans son ego de mâle dominant, il a préféré rompre.

Découvert dans la version audio lue par Théo Frilet, j’ai été vite transportée dans le récit grâce à la voix du lecteur, mais l’histoire en elle même m’a assez peu passionnée. Je n’ai pas trouvé Tony Webster sympathique. Il a un côté égocentrique qui m’a un peu agacée. Le genre de gars qui a préféré une vie pas super trépidante juste pour s’assurer de garder une certaine supériorité sur les autres, qui préfère finir sa vie seul pour continuer de s’en assurer. Il se préoccupe de ce qui a pu pousser son ami au suicide uniquement parce que Veronica le prive du journal d’Adrian dont il a hérité. Car si Adrian avait vraiment été son ami, s’il avait eu un minimum d’intérêt pour quelqu’un d’autre que lui-même, n’aurait-il pas cherché à comprendre ce qui s’était passé sur le moment?

Un récit qui n’a pas su me convaincre, mais non dépourvu d’intérêt par son côté introspectif.
A propos du livre :
Une fille, qui danse
Une fille, qui danse
Par LesLecturesDeLily le 13 Septembre 2018 Editer
LesLecturesDeLily
Déception pour ce roman que j'ai découvert en version audio.
Je n'ai pas aimé les personnages ni le style de l'auteur, en revanche, j'ai trouvé la base de l'histoire intéressante.
Mon billet est disponible sur mon blog Les lectures de Lily (www.les lecturesdelily.com) ou en suivant ce lien : http://www.leslecturesdelily.com/2018/09/une-fille-qui-danse-ecrit-par-julian.html
A propos du livre :
Une fille, qui danse
Une fille, qui danse
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