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Tous les livres de Liv Strömquist

Lors d’une conférence de presse après ses fiançailles avec Diana, le prince Charles dut répondre à la question : « Êtes-vous amoureux ? » Après une petite hésitation, il répondit : « Oui… Quel que soit le sens du mot “amour” ». Or, en lisant la presse people quelques années plus tard, on constata que de toute évidence Charles et Diana n’attribuaient pas du tout le même sens au mot « amour »… En feuilletant les mêmes magazines, on pouvait aussi se demander comment Whitney Houston avait pu tomber amoureuse d’un sale type comme Bobby Brown, et de remarquer au passage qu’en matière d’amour, le bonheur de l’un ne fait pas forcement celui de l’autre.

« Qu’est-ce donc que l’amour ? » Forte du constat que les déconvenues sentimentales sont loin d’être l’apanage exclusif de quelques chanteuses ou têtes couronnées, la dessinatrice suédoise Liv Strömquist mène sa réflexion sur le pourquoi du comment de la relation amoureuse.

Ainsi, les moindres faits et gestes de Charles, Diana, Whitney, Bobby Brown (et d’une foule de philosophes, écrivains et hommes politiques qui peuplent les pages de Les sentiments du Prince Charles) se mêlent à des faits historiques ou à des situations tirées du quotidien et font voler en éclats nombre de poncifs sur le sujet. À force d’exemples choisis, Liv Strömquist démontre méthodiquement qu’en amour, les rôles et les comportements de chacun sont loin d’être des données de fait inhérentes à une nature humaine immuable. En replaçant les liaisons sentimentales dans leur contexte socio-culturel, elle invite à reconsidérer la relation amoureuse autrement que selon la norme hétérosexuelle-monogame. En refermant Les sentiments du Prince Charles, nous en sauront certainement un peu plus sur le pourquoi Charles a quitté Diana et Whitney est tombée amoureuse de Bobby Brown mais, plus important encore, nous ne regarderons plus du même œil notre vie de couple.

Essai en bande dessinée rigoureux et documenté, Les sentiments du Prince Charles est avant tout un plaidoyer passionné pour l’autodétermination et la libération des corps et des consciences. Par son humour décapant et salvateur, Liv Strömquist insuffle à son livre une exceptionnelle vitalité, tout en réussissant – par son trait à première vue naïf – à l’imprégner d’une fraîcheur singulière qui renforce son propos.

Née en 1978, Liv Strömquist est auteure de bandes dessinées et animatrice de radio. Après avoir obtenu son diplôme en sciences politiques, elle se consacre aux questions sociales et en particulier à la condition de la femme, aux problèmes du tiers monde et aux politiques d’immigration. Réalisant des bandes dessinées dès l’âge de huit ans, elle publie son premier livre, Hundra procent fett (100% graisse) en 2005, puis Drift malmö (La dérive des pulsions) en 2007, Einsteins fru (Madame Einstein) en 2007, Prins Charles känsla (Les sentiments du prince Charles) en 2010 et Ja till Liv (Oui à la vie) en 2011. Liv Strömquist travaille régulièrement pour le journal suédois Dagens Nyether et les revues Bang et Ordfront Magasin. Lors de sa sortie en Suède, Les sentiments du prince Charles a connu un grand succès auprès du public et de la critique, et a été considéré comme l’une des meilleures bandes dessinées traitant des sujets de société. L’auteure a reçu plusieurs prix littéraires dont le prestigieux prix de la satire « Ankan » décerné par le magazine Expressen. Les sentiments du Prince Charles a aussi été adapté au théâtre et mis en scène en 2011 par Sara Giese au Mälmo Stadsteater.

Une certaine partie du corps de la femme, celle que Gustave Courbet a évoqué dans son tableau L'origine du monde, a suscité et continue de susciter l'intérêt un peu trop 'vif ' de certains représentants de la gent masculine.

C'est ainsi que le Dr. Kellogs, l'inventeur des corn-flakes, a pu affirmer que la masturbation provoque le cancer de l'utérus et le Dr. Baker Brown a pu préconiser l'éradication de l'onanisme féminin par l'ablation du clitoris (la dernière a été pratiquée en 1948 !). Si le corps médical n'y va pas avec le dos de la cuillère, les philosophes ne sont pas en reste. Jean-Paul Sartre peut ainsi écrire '... le sexe féminin... est un appel d'être, comme d'ailleurs tous les trous'... Sous la plume acérée de Liv Strömquist, défile toute une galerie de personnages (pères de l'église et de la psychanalyse, pédagogues, sexologues) dont les théories et les diagnostics ont eu des conséquences dévastatrices sur la sexualité de la femme.

Après avoir disséqué, dans Les sentiments du prince Charles, le mariage en tant que construction historique et sociale, Liv Strömquist lève le voile sur des siècles de répression sexuelle et fait voler en éclats toutes les idées fausses autour du sexe féminin, sans oublier d'égratigner – au passage – l'obsession de notre culture pour la sexualité binaire. Dans ce nouvel essai en bande dessinée, Liv Strömquist nous surprend encore une fois par la justesse et la clarté de son analyse, ses allées et retours effrénés entre passé et présent, ses parallèles inattendus et, surtout, son omniprésent humour au vitriol.

La finance qui règne sans partage, le gouffre qui ne cesse pas de se creuser entre l’extrême richesse et l’extrême pauvreté, la mainmise de la classe aisée blanche sur la culture et le médias, la croissance infinie qui est en train de détruire la planète, la gauche qui a renoncé à faire de la politique et l’a remplacée par un creux moralisme, les gargouillis identitaires… Liv Strömquist s’éloigne le temps d’un livre des thématiques de Les sentiments du prince Charles et de L’origine du monde, pour brosser un portrait assez cinglant de nos chancelantes démocraties occidentales. Si le sujet a changé, la verve de l’auteure suédoise n’a nullement perdu de son mordant : partant une fois de plus d’une galerie d’exemples bien choisis – où l’on croise banquiers, princesses, philosophes, P-DG de l’industrie pétrolière et écrivains libertariens – le propos de Liv Strömquist est toujours documenté, brillant et – avant tout – très drôle.

Liv Strömquist nous livre un manifeste politique limpide et humaniste, à la fois analyse des ravages du néolibéralisme et exhortation à construire une société différente.

C’est d’épouses, fiancées et copines dont il est question dans ce livre… Madame Elvis Presley, Madame Joseph Staline, Madame Jackson Pollock… et plein d’autres. Réunies par un seul et même destin : être les victimes d’hommes incapables de se comporter de façon normale et raisonnable avec leur partenaire. Qui étaient vraiment ces femmes et comment leur désir de vivre un amour romantique a pu pourrir à un tel point toute leur existence ?

Page après page, Liv Strömquist lance ses flèches empoisonnées contre l’ordre patriarcal. Elle en explore dans les moindres recoins les dispositifs de domination sans oublier de donner au passage, toujours avec l’humour cinglant et la légèreté qui sont les siennes, des réponses à des questions telles : Qui étaient les pires boyfriends de l’Histoire ? Pourquoi Ingmar Bergman a cru bon féconder toutes les femmes qu’en Suède avaient des ambitions artistiques ? Pourquoi l’archange Gabriel a appelé les femmes des « putains » ? Pourquoi tous les enfants sont-ils des conservateurs bien de droite ? Et pourquoi les hommes qui plus défendent les valeurs de la famille nucléaire (à l’instar d’un certain Pape), ne vivent jamais dans des familles nucléaires ?

En s’appuyant sur des références qui vont de la sitcom Friends à la biographie de Staline de Simon Sebag Montefiore, Liv Strömquist poursuit avec intelligence et finesse sa critique sans concessions des valeurs masculines qui dominent la société contemporaine.

La légende urbaine voudrait que Leonardo DiCaprio ait enchaîné trente-deux conquêtes - toutes de sublimes top models - mais sans tomber amoureux d'une seule. Faut-il en chercher les raisons dans les arcanes de la société de consommation et sa propension au narcissisme ? Dans les lois de la biologie ? Ou, tout bêtement, dans le fait que ce cher Leo ne soit pas encore tombé sur la bonne ? Et nous, dans tout ça, sommes-nous, comme lui, des complexés de l'engagement ? Liv Strömquist, que l'on ne présente plus, a choisi d'intituler sa nouvelle bande dessinée La rose la plus rouge s'épanouit, en référence et hommage à un vers de la poétesse américaine féministe Hilda Doolittle (H.D.) qui, dans sa vie comme dans ses écrits, prônait des amours libérées. Une nouvelle occasion pour elle de disséquer les comportements amoureux à l'ère du capitalisme tardif et de les interroger : comment maîtriser les élans du coeur ? Que faire en cas de chagrin d'amour ? Pourquoi les histoires d'amour finissent-elles mal, en général... ? Et pourquoi certaines personnes papillonnent-elles sans jamais se poser ? Avec sa pertinence et son humour habituels, l'auteure entrechoque les références attendues et d'autres qui le sont moins - entre Beyoncé, les Schtroumpfs, des acteurs de télé-réalité, Jésus ou encore des sociologues... - pour sonder les coulisses de la passion. Savez-vous que Socrate était un véritable Don Juan avant l'heure, ou bien ce qu'est devenu Thésée, une fois le fil amoureux d'Ariane rompu ? Ou, encore, connaissez-vous Lady Caroline Lamb, ici érigée en modèle, dont les coquetteries avec Lord Byron ont défrayé la chronique de l'époque ? Autant d'exemples qui permettent à Liv Strömquist de dévoiler une véritable anatomie de l'éros en quelques battements...

En 2003, la philosophe Susan Bordo affirmait que nous vivons dans un "empire des images" et, ces dernières années, cette expression est devenue de plus en plus vraie. Un appareil photo ou un iPhone à la main, nous alimentons sans cesse les réseaux sociaux et nous nous noyons dans un flot d'images. Nous communiquons par l'image, nous datons les événements par le biais d'images, nous racontons notre vie et nous connaissons celle des autres par des images et nous avons même des réunions Zoom avec une autre image.

Aujourd'hui, peaufiner la façon dont chacun se présente dans une photo occupe une partie considérable de notre quotidien. La beauté de cette image en est devenue un élément central ; cela est vrai en particulier pour les femmes qui doivent maintenant l'entretenir tout au long de leur vie, bien plus longtemps qu'auparavant. En affichant toutes les photos publiques d'elle-même chaque femme est devenue, d'une certaine manière, une célébrité et chaque jour nous sommes accablés par des milliards de photographies et de selfies de femmes magnifiques, dont la beauté est à la fois célébrée, idéalisée et appropriée par le capitalisme qui en a fait une marchandise.

Dans les pages de Dans le palais des miroirs, Liv Strömquist analyse l'idéal contemporain de beauté féminine développant sa réflexion en cinq différents volets qui explorent tour à tour ce sujet sous un angle différent. Liv Strömquist y décortique les raisons du succès de l'influenceuse Kylie Jenner, évoque le mythe biblique de Jacob, Rachel et Léa ou les déboires de l'impératrice Sissi, s'attarde sur fameuse dernière séance de photos de Marilyn Monroe ou analyse le personnage de la belle-mère de Blanche-Neige.

Autant de thèmes choisis pour nous parler du désir mimétique qui nous pousse à nous imiter les uns les autres, du lien étroit entre apparence et amour, de la façon de photographier aujourd'hui les femmes, du changement du rapport entre âge et beauté et de comment l'image de soi peut devenir un encombrant fardeau. Fidèle à son style, toujours tranchante, ironique et drôle, Liv Strömquist appuie ses propos sur les faits et gestes d'une foule de personnages historiques, acteurs et stars de la télé tout autant que sur la pensée de philosophes, historiens et sociologues tels Simone Weil, Zygmunt Baumann, Byung Chul Han, Eva Illouz, René Girard, Susan Sontag ou Richard Seymour.

Saviez-vous que Melania Trump est Taureau, le signe le plus résilient de tous ? Et que Boris Johnson est Gémeaux, le moulin à parole du zodiaque ? Et savez-vous quel signe est si captivant et envoûtant que nous ne remarquons même pas qu'il est en train de nous entuber ? Dans les pages d'Astrologie vous trouverez la réponse à ces questions et vous rencontrerez un tas d'autres gens plus ou moins célèbres dont les actions et le destin sont expliqués à travers le prisme de leur signe zodiacal : le milliardaire Arthur Sackler (à l'origine de la crise des opiacés OxyContion), la pionnière de la psychanalyse Sabina Spielrein, le rappeur Flavor Flav, ou Thomas Thwaites, le designer britannique qui a tout abandonné pour aller vivre comme une chèvre dans les Alpes suisses.

Une fois passés en revue les frasques de ce beau monde (et de plein d'autres célébrités ou personnages historiques), vous pourrez vous pencher sur l'épineux problème de la compatibilité amoureuse entre les signes, explorer la mystérieuse sous-catégorie astrologique du " Scorpion de-bas-niveau " ou comprendre enfin les raisons du comportement bizarre de l'idéologue néolibérale Ayn Rand lors de sa rupture avec son amant et fanboy Nathaniel Branden.

Pour conclure, cerise sur le gâteau, vous saurez aussi pourquoi les mères (et pas qu'elles ! ) conseillent de ne pas se mêler d'astrologie. Toujours drôle et ironique, Liv Strömquist pose une fois de plus son regard perçant sur les tics et les obsessions de notre société à l'ère du capitalisme avancé, n'oubliant jamais de mettre le doigt où ça fait mal. Une lecture qui va ravir les amateurs d'astrologie tout autant que ceux qui l'ont en horreur.

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