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Toutes les séries de Louis Pergaud

48 livres
237 lecteurs

LE TOUR DU MONDE EN 80 JOURS

Jules Verne

1828 - 1905

Faire le tour du globe en 1 920 heures, ou 15 200 minutes, c'est le pari fou que le gentleman anglais Phileas Fogg relève en 1872 contre les membres du Reform Club de Londres. Il entraîne Passepartout, son valet, dans une course effrénée. Il est poursuivi, de steamboat en railroad, par les polices anglaises qui voient en lui le cambrioleur qui vient de dévaliser la banque d'Angleterre ! Une grande aventure où l'on croise une belle Indienne à sauver du bûcher, où les ponts s'effondrent, les navires flambent...et où un gentleman dépense et se dépense pour atteindre son but à l'heure exacte !

4 livres
46 lecteurs

Longeverne, et Verlan... Deux villages dans lesquels, depuis des générations, on est élevé dans le mépris du camp adverse. Et l'on y commence très tôt. Dès qu'une rencontre est possible, l'armée de Longeverne vient défier celle de Verlan. La lutte est âpre, les combats, éprouvants, les guerriers, valeureux...même s'ils sont hauts comme trois pommes.

2 livres
6 lecteurs

Sur le chemin de l'école, Tigibus et Grandgibus du village de Longeverne se font attaquer par la bande des Velrans au cri de « tous les Longevernes sont des couilles molles ». Quand les enfants de Longeverne comprennent qu'il s'agit là d'un grave affront, leur chef, Lebrac, lance une expédition punitive de nuit. « Tou lé Velran son dé paignes cu ! » est inscrit à la craie blanche sur le mur de l'église de Velrans. Préparez vos frondes, c'est la guerre des boutons qui vient de commencer !

Tous les livres de Louis Pergaud

" On est en république, on est tous égaux,tous camarades, tous frères : Liberté, Egalité , Fraternité ! on doit tous s'aider, hein ,et faire en sorte que ça marche bien.

Alors on va voter comme qui dirait l’impôt , oui , un impôt pour faire une bourse , une caisse , une cagnotte avec quoi on achètera notre trésor de guerre.

Comme on est tous égaux , chacun paiera une cotisation égale et tous auront le droit , en cas de malheur, à être recousus et "rarrangés" pour ne pas être "zonzenés" en rentrant chez eux."

Cela fait des générations que les enfants des deux bandes riavles se font la guerre.Les uns sont du village de Longeverne, les autres de Velrans.Face à Lebrac, dit Le Grand Braque et ses fidèles lieutenants se dressent l'Aztec des Gués et ses troupes : LA GUERRE DES BOUTONS EST DÉCLARÉE !

Louis Pergaud avait tout pour devenir un des plus grands écrivains du XXème siècle et son début de carrière d’auteur fût tonitruant (le Goncourt dès sa première publication !) ; malheureusement la grande boucherie de 1914 en décida autrement comme pour d’autres auteurs talentueux de cette génération. Il restera malgré tout de sa brève carrière d’écrivain une œuvre magnifique et qui reste toujours très agréable à lire près de 100 ans après sa disparition dans les combats de la Woëvre en avril 1915. En 1970, les éditions Mercure de France eurent la bonne idée de publier une intégrale de l’œuvre de Pergaud, on y trouve la quasi-totalité de ses écrits, il n’y manque que les carnets de guerre qui eux viennent d’être publiés pour la première fois en 2011.

Louis Pergaud est né le 22 janvier 1882 à Belmont dans le Doubs. Fils d’instituteur, il suit la même voie et devient lui aussi instituteur en 1901. Marié à une institutrice en 1903, puis muté à Landresse (toujours dans le Doubs) en 1905, l’année de la séparation de l’Eglise et de l’Etat (Jules Ferry …). Socialiste et anticlérical, il s’y attire quelques démêlées avec ses élèves et les parents de ceux-ci, le village étant comme il l’écrit à un de ses amis « ultra-chouan » ! Il servira en partie de modèle aux villages rivaux décrits dans « La guerre des boutons ». En 1907, Louis abandonne sa femme et Landresse pour « monter » à Paris (avec sa maîtresse) et tenter sa chance d’écrivain. En 1910, Le Mercure de France publie « De Goupil à Margot , histoires de bêtes », un recueil de contes animaliers qui obtient un joli succès et, cerise sur le gâteau, le prix Goncourt ! Cette même année 1910, il se remarie.

De Goupil à Margot est un recueil de 8 contes. Les « héros » en sont différents animaux des forêts de Franche-Comté. Goupil le renard dans le premier, Margot la pie dans le 8ème et entre ces deux là, Guerriot l’écureuil, Roussard le lièvre, Rana la grenouille, Fuseline la fouine, sans oublier la taupe Nyctalette. L’écriture est magnifique, et Pergaud s’impose comme un très grand écrivain animalier. Fort du succès de ce premier ouvrage, Pergaud revint en 1911 avec « La Revanche du corbeau , nouvelles histoires de bêtes. », 8 nouvelles animalières où nous découvrons de nouveaux compères : Chantegrave, Maupatu, Jacquot, Clopinard, etc…Si comme moi vous avez aimé « De Goupil à Margot », vous aimerez celui là aussi.

En 1912 et 1913, Louis Pergaud publie deux autres romans, deux bijoux dont l’un le rendra définitivement célèbre. « Le Roman de Miraut » nous raconte la vie d’un chien de chasse, de sa naissance jusqu’à sa mort. Le Miraut du roman est peut être celui que l’on a croisé au hasard des pages de « Goupil à Margot » ou de « La revanche du corbeau ». Son maître en tout les cas s’appelle Lisée (comme dans la nouvelle « la tragique aventure de Goupil ») et il vit dans le village de… Longeverne ! Ce même village qui abrite les petits héros de « La guerre des boutons », Grangibus, Tigibus, Lebrac, Camus, La Crique et les autres, ennemis jurés des Velrans, le village voisin. La Guerre des boutons : on ne présente plus ce chef d’œuvre plusieurs fois adapté au cinéma (deux fois même en 2011 !) et qui narre les aventures des gamins de Longeverne et ceux de Velrans qui se livrent une guerre sans merci depuis la nuit des temps ; querelles de clocher ancestrales et stupides, réplique miniature des guerres des adultes. Pergaud se montre sans le savoir visionnaire de ce qui se prépare en Europe et qui éclatera deux ans plus tard ! je tiens à préciser que l’action de ce roman se situe dans les années 1890 (et non pas 1950 comme j’ai pu le voir dans la critique postée sur CL !!!! ).

Dans cette édition, on trouvera également d’autres écrits souvent de très bonne qualité et beaucoup plus méconnus : « Le Miracle de Saint Hubert », « Dernières Histoires de bêtes » recueil de sept nouveaux contes animaliers (on ne change pas une formule qui gagne !) « Lebrac bûcheron » , un roman inachevé reprenant le personnage principal de « La guerre des boutons », ce roman devait en être la suite, malheureusement la guerre, la vraie, survint et seuls 8 chapitres ont été écrits. « Les Petits Gars des champs » est le texte d’une conférence donnée par Louis Pergaud en février 1914 et organisée par la revue « Les Œuvres Nouvelles », « Les Rustiques » est un recueil de 19 courtes nouvelles dites « villageoises », « Nouvelles villageoises posthumes » sont 4 nouvelles sur lesquelles Louis Pergaud travaillait au moment de la déclaration de guerre en août 1914 , « La Vie des bêtes » quelques courts textes et récits animaliers (personnellement je les trouve extraordinaire) , « Léon Deubel » texte publié en 1913 en hommage à son ami Leon Deubel, poète lui aussi originaire de la région de Belfort et qui se suicida en se jetant dans la Marne, « Ébauches et choix de poèmes » clôture ce magnifique livre. Pergaud publia de son vivant deux recueils de poèmes : « L’Aube » en 1904 et « L’Herbe d’Avril » en 1908, quelques extraits choisis et quelques inédits sont présentés ici.

Le 7 avril 1915, le sous-lieutenant Louis Pergaud du 166ème régiment d’infanterie montait à l’assaut à la tête de ses hommes quelque part dans la Meuse, près du village de Marchéville-en-Woëvre. Grièvement blessé, vraisemblablement capturé par les Allemands et transporté dans un hôpital de campagne à Fresnes-en Woëvre il y décédera le 8 avril, victime d’un bombardement français. On n’a jamais retrouvé son corps. Heureusement pour nous, il nous reste son œuvre, sublime et universelle qui n’est pas sans rappeler à bien des égards l’œuvre d’un autre grand écrivain qui fût son contemporain : Maurice Genevoix.

l'auteur de la guerre des boutons raconte ici l'histoire inoubliable et émouvante d'un chien et de ses maîtres.

miraut, donné à des paysans, devient tueur de poules et braconnier. on s'en débarrasse en le vendant. mais il revient toujours près de son ancien maître.

quand il comprend qu'on ne veut plus de lui, il hurle de faim et de douleur dans les bois, pendant que l'homme et la femme tremblent en silence dans leur maison. qu'adviendra-t-il de miraut ?.

Parmi les romans qui mettent en scène des animaux, DE GOUPIL A MARGOT tient une place à part. En effet, dans cette suite de récits-cruels et passionnants, l'auteur a écrit un des plus beaux hymnes à la nature qui soit. L'odeur de la terre, le vent, le ciel, les joies et les terreurs des bêtes, tout y est décrit - mieux, tout y est ressenti.

Louis Pergaud a 32 ans lors de la mobilisation générale du 2 août 1914. Il a déjà publié au Mercure de France De Goupil à Margot (Prix Goncourt en 1910), La Guerre des boutons (1912) et Le roman de Miraut (1913). Il part à Verdun le 3 août 1914. Dans la nuit du 7 au 8 avril 1915, lors de l'attaque de la côte 233 de Marchéville, il disparait dans la boue de la Meuse. En recevant la cantine militaire de son mari, sa femme Delphine trouva à l'intérieur le Carnet de guerre. Pergaud y rend compte de sa vie quotidienne... Enfin disponible dans son intégralité, ce carnet éclaire la guerre d'une lumière brute et factuelle.

L'inoubliable auteur de "La guerre des boutons" nous offre avec ce livre de petites histoires rurales qui nous font l'immense plaisir de revenir à "Longeverne". Quelques unes de ces nouvelles mettent, même, Lebrac, Camus, Tintin et Grangibus en scène.

C'est la France d'avant la première guerre, qui nous est ici montrée, ses personnages, gens simples de la campagne sont d'un autre temps, les situations sont parfois truculentes mais toujours attendrissantes.

Louis Pergaud, instituteur, écrivait pendant les vacances, qui ne duraient à l'époque qu'un mois et revenait chaque fois, avec un chef-d'œuvre.

Il est agréable de redécouvrir ses autres livres, que l'éclat de "La guerre des boutons" a un peu projeté injustement dans l'ombre. "Les rustiques" est de ceux-là comme "De Goupil à Margot", "La revanche du corbeau", "Le roman de Miraut" et "la vie des bêtes, études et nouvelles suivies de Lebrac bûcheron, roman inachevé".

En août 1914, lorsqu’il est mobilisé, Louis Pergaud est un auteur reconnu. Il a déjà publié au Mercure de France De Goupil à Margot (prix Goncourt 1910), La Guerre des boutons (1912) et Le roman de Miraut (1913). Il entretient aussi depuis longtemps une abondante correspondance. Désormais, il envoie ses lettres du front, des tranchées ou des postes de repos à l’arrière. Pergaud écrit à quelques amis et membres de sa famille mais surtout à Delphine, son épouse depuis 1910. D’août 1914 au 7 avril 1915 (la date officielle de sa disparition sur le front est le 8 avril 1915), il tente de la rassurer en permanence sur son état et sur les dangers qu’il court sans occulter la réalité de cette guerre. Mais ces lettres restent empreintes d’une grande sensualité : le désir et le manque s’y lisent à chaque ligne. De cette correspondance émerge la figure lumineuse, belle et vaillante de Delphine.

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