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" On est en république, on est tous égaux,tous camarades, tous frères : Liberté, Egalité , Fraternité ! on doit tous s'aider, hein ,et faire en sorte que ça marche bien.
Alors on va voter comme qui dirait l’impôt , oui , un impôt pour faire une bourse , une caisse , une cagnotte avec quoi on achètera notre trésor de guerre.
Comme on est tous égaux , chacun paiera une cotisation égale et tous auront le droit , en cas de malheur, à être recousus et "rarrangés" pour ne pas être "zonzenés" en rentrant chez eux."
Cela fait des générations que les enfants des deux bandes riavles se font la guerre.Les uns sont du village de Longeverne, les autres de Velrans.Face à Lebrac, dit Le Grand Braque et ses fidèles lieutenants se dressent l'Aztec des Gués et ses troupes : LA GUERRE DES BOUTONS EST DÉCLARÉE !
Les yeux riaient, pétillants, vifs dans les faces épanouies par le rire, les grosses joues rouges, rebondies comme de belles pommes, hurlaient la santé et la joie ; les bras, les jambes, les pieds, les épaules, les mains, le cou, la tête, tout remuait, tout vibrait, tout sautait en eux. Ah ! ils ne pesaient pas lourd aux pieds, les sabots de peuplier, de tremble ou de noyer et leur claquement sec sur le chemin durci était déjà une fière menace pour les Verlans.
J'avoue avoir été un peu surprise par la violence que les enfants manifestaient entre eux, mais à part ça, c'était une lecture agréable. J'ai beaucoup aimé la manière dont Louis Pergaud jouait sur les mots, pour se moquer du vocabulaire enfantin et balbutiant des enfants, et aussi l'utilisation du patois franc-comtois que je connais bien et qui m'a souvent fait sourire. Décrire les scènes de batailles comme s'il s'agissait d'une vraie guerre avec de vrais soldats et des vraies armes rendait cela à la fois sérieux et dérisoire.
Enfin bref, quelques heures de plaisir sans prise de tête à déguster.
Retour à l'époque de mes grand-parents avec ce classique régressif.
J'ai eu du mal à m'aclimater à la plume, rapport à l'utilisation abusive et assumée d'un patois franc-comtois. Mais j'ai fini par apprivoiser la bête et nul doute que mon vocabulaire s'est enrichi au passage.
Du reste, l'histoire de guerre d'enfants se veut légère et drôle. Ça m'a fait penser aux Enfants de Timpelbach. En tout cas, je l'ai trouvée dans la même veine et j'en suis ressortie avec les mêmes pensées.
Ok, faire la guerre, c'est drôle et inconsciemment, les enfants se créent des jeux en se basant sur le vécu de leurs parents. Ici, ils font preuve d'une créativité à nulle autre pareille allant jusqu'à mettre en place une savante trésorerie faite de boutons. Il faut dire que dans ces moments-là, ils ont de l'imagination à revendre. Parfois trop... Bon dieu que de violence...
Voilà pourquoi je n'ai pu adhérer totalement au récit et en rire avec insouciance. D'autant plus qu'à l'inverse de Timpelbach, je n'ai ai pas vu de morale saine. Bien que ce soit peut-être voulu pour donner à réfléchir ou rester sur une tonalité humoristique. Allez savoir.
Alors, je ne peux m'empêcher de penser que, même si les jeux ont changé, les mentalités n'ont pas tant avolué que nous le souhaiterions. Et la tolérance est une valeur qui doit s'apprendre dès le plus jeune âge.
La guerre des boutons raconte parfaitement la vie des enfants d'avant mais dans ce livre il y a un peu tout le temps les même action une guerre un fait des prisonnier puis il perdent la bataille enfin bref voila quoi.
Un classique qui se lit et relit avec toujours autant de plaisir. Un parfum de nostalgie se dégage de ce récit, où l'ombre de la Guerre Guerre plane inexorablement...
Louis Pergaud a su nous écrire une histoire d'enfants comme j'en avais rarement croisé. J'ai apprécié tout de suite chacun des personnages comme si je les connaissais déjà, j'ai aimé la débrouillardise et l'intelligence de Lebrac, Camus, Tintin, les Gibus...même les Velrans ne sont pas en reste. C'est une lecture intelligente, drôle et d'une liberté d'antan qui manque depuis longtemps.
Un drôle de livre mettant en scène une violence certaine entre deux bandes rivales. J'ai trouvé cette rivalité extrême bien plus triste qu'amusante. Même si les liens amicaux unissant les membres de chacune des coalitions sont touchants, la cruauté avec laquelle ils se bagarrent m'a fortement déstabilisé.
J'ai un peu plus apprécié la description de l'atmosphère qui régnait dans cette campagne française avec ses conflits entre villages et communautés bien portés par l'emploi d'un patois authentique et parfois déstabilisant (notamment en ce que l'utilisation des guillemets était approximative). Un triste rappel également des emportements fréquents de la part des parents qui éprouvaient bien peu de scrupules lorsqu'il s'agissait de lever la main ou le bâton sur leur enfant...
Je connaissais déjà bien les diverses adaptations cinématographiques, celle de 1962 m'ayant donné envie de mener ma propre guerre lorsque j'avais dix ans, mais ces conflits prennent une dimension différente une fois observés avec un œil plus mature. L'histoire en elle-même, par ailleurs, est bien moins vivante voire répétitive de par l'enchaînement stratégies - affrontement - retour à la maison. On retiendra toutefois l'anticipation de la guerre de 14-18 où les balles et les baïonnettes prendront la place des cailloux et des bâtons.
J'avoue avoir été un peu surprise par la violence que les enfants manifestaient entre eux, mais à part ça, c'était une lecture agréable. J'ai beaucoup aimé la manière dont Louis Pergaud jouait sur les mots, pour se moquer du vocabulaire enfantin et balbutiant des enfants, et aussi l'utilisation du patois franc-comtois que je connais bien et qui m'a souvent fait sourire. Décrire les scènes de batailles comme s'il s'agissait d'une vraie guerre avec de vrais soldats et des vraies armes rendait cela à la fois sérieux et dérisoire.
Enfin bref, quelques heures de plaisir sans prise de tête à déguster.
Eh beh ! Quelle violence ! Sérieusement je savais que ça l'était un peu, mais je ne pensais pas à ce point.
Le truc le plus intéressant, c'était d'observer à quel point la société a évolué... et en même temps pas du tout sur d'autres points.
Par exemple, voir les gamins fumer des cigares et boire de l'alcool jusqu'à se rendre malade, c'est un peu complètement dingue. Et aussi quand je pense aux remarques anti-profs qui dit que le niveau scolaire a baissé, je n'ai qu'un mot à dire : lol.
Et de l'autre, j'ai bien aimé retrouver les expressions, des mots d'argots que j'utilise toujours, et les rivalités villageoises qui existent toujours n'en doutez pas, même si ce n'est pas à ce niveau. Plus un refus de coopération entre les écoles ou les mairies.
Une remarque sur la superstition m'a bien fait rire aussi, parce que c'est une phrase qu'on entend encore de nos jours, malgré le siècle d'écart.
Et les dernières pages, toutes en philosophie, m'ont bien fait sourire. Encore une fois, c'était une remarque sur le "c'était mieux avant", phrase répétée par absolument toute les générations depuis au minimum Platon
J'ai beaucoup aimé ce livre même si au début j'étais réticente et au final il m'a bien plu !
Je trouve que c'est une belle morale Spoiler(cliquez pour révéler) Bacaillé n'a pas été très gentil envers ses camarades et je pense qu il à eu ce qu'il méritait !
Un super livre! Il est carrément devenu un classique, j'ai beaucoup aimé cette histoire de deux camps rivaux de deux villages différents qui se battent comme si leur vie en dépendait !
Résumé
" On est en république, on est tous égaux,tous camarades, tous frères : Liberté, Egalité , Fraternité ! on doit tous s'aider, hein ,et faire en sorte que ça marche bien.
Alors on va voter comme qui dirait l’impôt , oui , un impôt pour faire une bourse , une caisse , une cagnotte avec quoi on achètera notre trésor de guerre.
Comme on est tous égaux , chacun paiera une cotisation égale et tous auront le droit , en cas de malheur, à être recousus et "rarrangés" pour ne pas être "zonzenés" en rentrant chez eux."
Cela fait des générations que les enfants des deux bandes riavles se font la guerre.Les uns sont du village de Longeverne, les autres de Velrans.Face à Lebrac, dit Le Grand Braque et ses fidèles lieutenants se dressent l'Aztec des Gués et ses troupes : LA GUERRE DES BOUTONS EST DÉCLARÉE !
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