Maud Viotty

Depuis que je suis sur Instagram, que j’ai créé mon compte de lectrice, j’ai découvert des genres différents, des auteur(es)s que je ne connaissais pas.

Le livre de Maud fait partie des pépites que j’ai eu le plaisir et la chance de lire.

Et ce n’est pas parce que c’est un Service Presse que je le dis.

Je l’ai dévoré en moins de 4 heures c’est dire !!

J’ai tout de suite aimé Soline. Pourquoi ? Au départ je ne le savais pas mais nous avions pas mal de choses vécues en commun. Et même avant ça, dès le début de la narration je l’ai aimé… ça ne s’explique pas… ça se ressent…

Et quand on découvre Soline, son histoire, ses ressentis, son quotidien, comment ne pas ressentir d’empathie envers elle ??

J’aime aussi la chronologie du livre. Le fait de passer du moment de sa disparition à un chapitre puis repartir presque 20 ans en arrière au chapitre suivant c’est rythmé, ça donne aussi une idée de comment Soline a évolué au rythme des années.

Le fait de faire parler aussi chaque personnage à part c’est aussi une très bonne façon de cerner l’ensemble de la situation, à l’instant t et de comprendre ce que ressent chaque personnage.

La palette d’émotions a été intense en ce qui me concerne.

J’ai eu le sourire, le coeur qui bat, les larmes aux yeux et même les larmes tout court !

En 1 mot ce livre est une PÉPITE.

Je ne peux que le conseiller ! Drôle, émouvant et tellement surprenant !

Et si vous voulez découvrir qui est donc cette douce Eugénie, une seule solution : lisez ce roman !!On ne peut que plonger directement dans ce récit sans pouvoir le lâcher !!

Et c’est exactement ce qui est arrivé pour moi !

Le lire c’est l’aimer !

Merci à l'auteur pour l'envoie de son roman et de sa confiance. J'ai adorée suivre ses colocataires et leur évolution dans la vie. Plein d'humour et de messages fort, je vous recommande de lire ce livre auto-édité

J'ai beaucoup aimé ce roman !

Les personnages sont attachants, touchants et bien construits. On suit 4 femmes qui à priori sont toutes différentes mais il y a un bon retournement de situation que j'ai senti venir mais qui reste émouvant.

Concernant l'histoire, je me suis plongée dans ce roman bien écrit avec de l'humour mais qui n'est pas si léger que cela ! La famille, l'amour et l'amitié sont au centre du roman.

La plume de l'autrice est fluide, agréable à lire et nous entraine dans cette histoire qui se dévore. J'ai passé un bon moment avec ce roman !

Juste un peu d’Elle(s) nous offre une fenêtre ouverte sur un océan d’émotions dont les vagues déversent autant d’amitié que d’amour, de loyauté que de trahison, de ténacité que d’abandon, de tristesse que de joies, d’illusions que de désillusions, de coeur que d’âme…

Si je m’attendais au dénouement, ce fut un plaisir de me laisser porter par les révélations, car emportée par les émotions et les histoires de ces femmes, je me suis laisser ravir par un peu d’elle(s) et beaucoup d’espoir.

Un roman totalement déroutant, signé par des mains de maitre. Un challenge que l'auteure c'est lancé, le résultat est époustouflant .

Bienvenue en enfer.

Une descente vertigineuse dans les tréfonds de la folie humaine, sans point de retour.

Une jeune femme se réveille et se retrouve enchainée , elle se demande ce quel fait ici ,dans cet endroit obscur, qui nous donne la chair de poule. Elle essaie, tant bien que mal, de remonter le fil de sa soirée, mais sa mémoire lui joue des tours, impossible de comprendre, le trou noir.

Elle a voulu jouer avec le feu, mais elle a perdu. Le soir elle est escort girl ,elle devient une péripatéticienne, elle veut mener le jeu, sans imaginer ce qui l'attend.

Son bourreau ns fait pas dans la dentelle, elle subit les pires violences, qu'une femme peut supporter. L'auteure ne tergiverse pas, aucune fioriture, elle nous plonge dans le monde de l'horreur, certaines scènes m'ont mis vraiment mal à l'aise.

Nous évoluons dans un univers d'une extrême noirceur, glauque ,insoutenable, nous avançons en apnée,.

Arriverons- nous à sortir indemne de cette histoire?

Nous sommes dans le questionnent dés les premières pages. Elle joue, sans aucune pitié , avec nous lecteurs, elle nous perd, nous ballade, sème des indices, nous conduisant sur des fausses pistes, nous commençons à douter de tout le monde.

L'écriture est percutante, incisive, visuelle. La lecture est terrifiante, aucune pudeur ,nous subissons. Elle maitrise avec habilité et réalisme, son sujet.

Elle capte ses lectures du début jusqu'au final, une fois explosive, inattendue, que je n'ai pas vu venir, elle m'a littéralement , scotchée, j'en reste encore bouche bée.

Attention ce roman est destiné à un public averti.

Pour les amateurs de sensations fortes, de thrillers psychologiques, ce roman est fait pour vous.

Ça faisait un moment que je n'avais pas lu d'auto-édité, je n'avais même pas remarqué que c'était le cas quand je suis tombée par le plus grand des hasards sur ce roman.

Eh oui, fidèle à moi-même, la couverture et le titre ont fait le job et je me suis laissée prendre dans leurs filets, pour mon plus grand bonheur.

Bonheur est un mot un peu fort, vu que ce récit choral est très triste... mais ô combien émouvant.

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Gabrielle, 5 ans, prend tout d'abord la parole.

Elle nous parle de sa petite soeur, encore dans le ventre de sa maman Colombe, et qu'elle a hâte de rencontrer, d'autant que sur la photo qu'on lui a montrée, elle n'est pas belle du tout.

En plus, comment le docteur a-t-il pu prendre la photo ? Mystère.

Mystère aussi le nombre de dodos à compter avant l'arrivée de ladite petite soeur.

Elle nous parle aussi de son grand frère Aloïs, pas gentil, violent... c'est sûr qu'en CE1, on peut tout se permettre.

Depuis que leur papa est parti voir si l'herbe est plus verte ailleurs, c'est lui l'homme de la maison, du moins c'est ce qu'il croit.

Et puis après tout, crier, taper, c'est ce que papa fait à maman, donc un exemple à suivre de cet homme qui mène grand train avec tout ce qu'il gagne de manière complètement illégale.

Ce papa qui manque tant à Gabrielle. Il passe parfois en coup de vent, pour picoler, crier sur maman, entre autre, mais jamais pour un câlin ou un bisou.

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'Je voulais juste qu’il m’aime. Il n’avait pas que ça à faire, apparemment. Pourtant, je crois que j’en valais la peine.'

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Seconde voix, celle d'Albane.

Mariée à Gabin, un homme adorable, deux enfants, une maison. Seule ombre au tableau, son patron odieux et doté de plein d'autres défaux.

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Albane et Colombe vont se rencontrer, tout d'abord sur leur lieu de travail, puis au supermarché.

Et une très forte amitié entre les deux familles va naître.

Elles ne vont plus se quitter malgré leurs différences : Colombe qui peine à gérer ses trois enfants, Albane et Gabin qui vont tout faire pour l'aider.

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J'ai adoré, les amis. À mon grand étonnement, très peu de babeliotes ont lu ce roman, alors qu'il vaut largement le détour.

Il est très bien écrit, quasiment exempt de coquilles, ce qui est remarquable pour une auto-éditée, les personnages sont parfaitement croqués.

Immersion complète pour ce qui me concerne.

Les émotions m'ont submergée du début à la fin de ce roman addictif, lu en quelques heures grâce aux courts chapitres et à l'intérêt suscité par l'histoire.

Eh oui, vous l'aurez compris, encore un récit à lire même en promenant son chien... ou autre, parce qu'on ne peut pas le lâcher.

Bref, foncez sans hésiter.

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Un petit livre qui le lit vite mais pleins de tendresse. C’est une ode à la vie.

Soline, Victoria, Joris et Vincent. Une amitié qui remonte à la Maternelle.

Quatre amis qui ont tout traversé ensemble, très soudés, partageant peines et joies, mais surtout les éclats de rire.

Ma douce Eugénie est un roman choral qui nous fait voyager tant bien que mal à travers le temps.

Soline, principale narratrice, est maintenant mariée avec Joris.

Le couple se croise davantage qu'ils partagent la même vie, lui, brancardier travaillant de nuit alors qu'elle travaille de jour.

Au début de leur union, les quatre amis se retrouvaient tous les samedis chez Soline et Joris, puis Vincent est parti du jour au lendemain, sans plus donner de nouvelles.

J'ai un peu de mal à trouver une ligne conductrice au roman, parce que tout est très confus, en fait.

On suit, bien entendu, mais si l'idée de départ n'est pas mauvaise, encore que le sujet du pervers narcissique et de l'emprise est vu et revu, le roman n'est pas bien construit et j'ai eu du mal à m'intéresser aux principaux protagonistes.

J'aurais pu plaindre Soline, perpétuellement rabaissée par sa mère, au père qui avait choisi de voyager pour son travail pour fuir son foyer, puis mariée à Joris, mais la sauce n'a pas pris du tout.

Mon empathie n'est allée que vers Victoria, délaissée, laissée à l'écart par sa soeur de coeur.

Je peux difficilement en dire plus sans spoiler, vous m'en excuserez.

Le style ne compense pas la pauvreté de l'histoire et gros bémol, les fautes se succèdent tout du long.

Je ne saurais donc recommander ce livre, bien qu'ayant été transportée récemment par l'autrice (Je voulais juste qu'il m'aime).

Pour la découvrir, j'ai voulu lire ses premiers romans, m'attendant à en être enchantée... ce n'était pas une bonne idée.

Je possède aussi ses écrits plus récents, mais pour le moment, très déçue de ma lecture, j'ai pris une douche froide, alors je ne vais pas me précipiter et faire une croix sur ceux qui précèdent Je voulais juste qu'il m'aime.

Ceci n'est que mon avis, d'autres ont apprécié ce roman, je vous invite donc à vous faire votre propre opinion.

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deuxième service presse de @maudviotty que je remercie infiniment pour sa confiance renouvelée, comme elle m'a laissé le choix je me suis dirigée vers "Je voulais juste qu'il m'aime " car la couverture m'a interpellée mais surtout le résumé.

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Nous allons faire la connaissance de Colombe, future mère et de ses deux enfants Aloys et Gabrielle. Colombe, abandonnée par le père de ses trois enfants, va accoucher et assumer seule cette famille qu'elle aime plus que tout. Colombe est une femme dévalorisée, battue, dénigrée par son ex-compagnon et bientôt par ses enfants qui lui trouveront eux aussi toutes les défauts de la terre. En parallèle nous allons découvrir Albane et Gabin, couple modèle, deux filles, des hauts et des bas, des doutes mais en rien comparable à l'enfer que vit Colombe. Par le plus grand des hasards, ces deux mondes vont se rencontrer et se lier d'une amitié forte comme l'on en voit peu. Deux familles qui ne vont en faire qu'une petit à petit, sauf que même si on est au paradis, les tensions, les secrets, les drames sont toujours là cachés dans l'ombre et n'attendent que l'étincelle pour jaillir.

Le roman n'est pas long et je me suis demandée plusieurs fois où l'autrice voulait en venir. Les deux tiers du roman environ le décor est planté, Maud a creusé chaque personnage, ils ont tous de la consistance, leur trait de caractère est si bien défini que je n'ai pas vu arriver le chaos final. En une seconde tout a basculé et c'est parce que la première partie est si bien étudiée que la suite prends du sens : cela ne pouvait pas en être autrement. Les chapitres courts donnent du rythme à l'intrigue qui monte crescendo. Deux mondes que tout opposent et qui pourtant trouveront chez l'autre la pièce qui leur manque. Une étude psychologique pointue qui permet d'identifier tous les déclencheurs et toutes les sources des réactions en chaîne.

Il y a tellement de Colombe sur terre que ce livre nous rappelle qu'il faut tendre la main à son prochain, que l'on ne revêt pas d'armure sans raison mais surtout que l'on ne sauvera pas ceux qui ne veulent pas être sauvé. Ce roman m'a beaucoup touché et émue car à mon grand désespoir j'ai côtoyé beaucoup trop de Colombe.

Dans ses remerciements, Maud Viotty exprime avoir eu le besoin de créer une histoire un peu sale, un peu glauque, un peu vulgaire. On peut dire que cela est réussi. J’ai beaucoup aimé ce thriller extrêmement noir, violent et d’une cruauté impitoyable (warning pour les âmes sensibles). Dès les premières pages, l’auteure installe en nous le doute sur l’identité des personnages. Doute qui va persister jusqu’au ¾ du roman. Ensuite, tout s’accélère, même si un rythme soutenu est présent du début à la fin. Ce thriller nous entraine au plus profond de la noirceur de ce que l’humain est capable de faire par vengeance. Des personnages maltraités, torturés et des lecteurs malmenés.

J’ai trouvé la construction de l’histoire assez originale, le tout d’une fluidité et d’une efficacité implacable. C’est le premier livre de cette auteure que je lis, mais surement pas le dernier.