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Toutes les séries de Maurice Coyaud

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"Une fois, un singe et un lapin passèrent un marché : le primate devait tuer les papillons et le lapin les serpents. Peu de temps après, ce dernier s’endormit. Le singe le remarqua et lui tira les oreilles. – Que se passe-t-il ? – cria le lapin, en se réveillant d’un bond. Le singe rit : – Ah ! Ah ! J’ai pensé que c’était deux papillons… Le lapin n’apprécia pas cette plaisanterie et se fâcha : – Attends que je t’attrape ! Le singe s’assit sur une pierre pour manger une banane. Le lapin arriva de l’autre côté, armé d’un bâton, et lui donna un coup sur la queue. Le macaque lança un cri et sauta en haut d’un arbre en gémissant. – Pardon, mon ami – dit le lapin. – J’ai vu ta queue toute noire sur la pierre et j’ai cru que c’était un serpent. Depuis ce jour, le lapin, craignant les primates, se venge et vit dans des trous."

Tous les livres de Maurice Coyaud

Réédition d'un classique qui enchanta Roland Barthes, où poésie et impertinence cheminent d'un même pas. Les haïkistes nippons, dont Maurice Coyaud a rassemblé ici le plus large florilège, notaient volontiers leurs petits poèmes - trois vers, c'est tout - en marge du récit de leurs randonnées, comme autant de pauses, de points de suspension. M. Coyaud procède à leur manière. Son anthologie n'en est pas vraiment une et c'est tant mieux ; elle prend forme de promenade, de libre divagation à travers le Japon éternel. Ecoutons ces voix qui nous disent que la poésie, même si elle n'est jamais que l'autre nom de l'indicible, ne loge pas au temple que l'on croit : elle suit les chemins vicinaux, dort dans les fossés et chausse les savates de tout le monde. Elle ne cherche rien (puisque chercher est l'un des meilleurs moyens de ne rien trouver), donnant secrètement raison au sage qui nous prévient narquoisement : " Quand vous regardez, contentez-vous de regarder. Si vous réfléchissez, vous mettez déjà hors de la cible. "

Les vers classiques réguliers chinois, choisis depuis le VIIe siècle avant J.-C. jusqu'au XIIe siècle après, pour cette anthologie, ont quatre, cinq, six ou sept pieds. On a ainsi le principe d'organisation de quatre chapitres. Un cinquième chapitre concerne les mètres irréguliers. La principale originalité de ce recueil est, d'abord, qu'il fournit la transcription des textes choisis. Le lecteur, qui voudra faire un petit effort, sera donc en mesure de « lire » à haute voix l'original, ou du moins, de mieux pouvoir s'y référer, et de consulter un dictionnaire sans trop y perdre de temps.

Deuxième originalité : l'auteur du recueil a jugé amusant de confronter la poésie chinoise à la française, et parfois à la poésie latine. Les références qu'il propose sont tout à fait subjectives, faites pour provoquer, émoustiller le lecteur, et l'inviter à trouver de lui-même les points de ressemblance ou de différence avec la poésie qui lui est plus familière.

Une dernière annexe a pour but de dérider le lecteur sourcilleux et austère, que certains poètes Tang, assez sévères auraient renfrogné.

On retrouvera sans doute ici bien des thèmes récurrents dans la tradition orale de l'Extrême-Orient. Mais on sera frappé par l'originalité de la manière coréenne de traiter ces thèmes. L'ironie et l'humour des fabulistes anonymes de Corée se manifestent quand il s'agit de railler le tigre - et par la même occasion les grands de ce monde. Le roi des animaux est toujours ridiculisé, bafoué et humilié, même par un objet inanimé comme une plaquemine (le «kaki séché»), ou un animé faiblard comme une grand-mère ou un peureux, mais rusé, lièvre.Même si vous cheminez lamentablement sur les voies de la misère, vous pouvez quand même espérer, rien n'est perdu ! Pensez à ce Coréen qui n'avait qu'un demi-grain de riz pour tout patrimoine. Rien que cela, mais aussi beaucoup d'opiniâtreté, un sens profondément enraciné de ses droits et un véritable don de la réclamation. Le «jeune bossu idiot» du conte grimpe en quelques jours les marches de l'ascension sociale, immanquablement, en parvenant à échanger son demi-grain de riz contre un rat, ce rat contre un chat, ce chat contre un âne, cet âne contre un bouf, épouse la fille du ministre et devient gouverneur de la province. Prenez-en de la graine.

"L'Empire du regard" est un ouvrage constitué de 1000 ans de peinture japonaise présenté par Maurice Coyaud.

Trois formes de la poésie japonaise classique sont présentées ici. Le tanka comporte cinq vers. Le haïku est un dérivé du tanka : dix-sept syllabes constituant les trois premiers vers du tanka. Les renga sont constitués soit par des suites de tanka, soit par des suites de haïku, soit pas des distiques. Le tanka traite souvent des thèmes amoureux, tandis que le haïku n'aborde à peu près jamais cette source d'inspiration. Le haïku comporte normalement un mot indiquant la saison, soit directement, soit de façon allusive.

A la fois étude et anthologie des chefs-d'oeuvre de la poésie japonaise, ce livre est la meilleure et la plus accessible approche de ces formes dont les règles élémentaires ont pour but essentiel la captation de l'instant vécu dans son jaillissement. On pourrait illustrer cette trinité poétique par la formule de Rimbaud : "j'écrivais les silences..., je notais l'inexprimable, je fixais les vertiges...".

Ce recueil de 29 contes pas du tout convenables suivis de 9 contes tout à fait convenables plongera le lecteur au cœur du folklore coréen. Les contes sont suivis d'une présentation des fêtes traditionnelles coréennes.

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