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C’est très bien montré, c’est bref mais suffisant pour faire comprendre un paquet de trucs qui se sont passées.
Ajouter l’histoire de la malédiction dedans, pourquoi pas, mais à quoi cela sert-il vraiment ? Pas d’explication sur celle-ci, sa raison, sa véracité…
On a une bonne liaison avec l’épisode précédent (avec deux personnages), des liens avec le premier tome, aucun avec le second (ou je ne l’ai pas vu…).
Du coup, cette malédiction donne vraiment le sentiment d’une excuse à ces quatre tomes – faire comme Zola et expliquer la vie d’une famille sur quatre générations aurait été pleinement suffisant…
Mais l’histoire du Rwanda est là, forte, bien plus que celle de la sœur peintre, utile uniquement pour rassembler tout le monde.
Les dessins sont efficaces, dans la lignée des précédents, même si ce sont des dessinateurs différents…
Pas désagréable à lire.
La lignée, Tome 4 : Diane & David 1994
Elle est pour une bonne partie la base de l’histoire et donne son intérêt aux deux précédents opus comme au suivant.
Elle permet, comme les autres, de décrire une époque, un style de vie, mais c’est déjà plus prenant.
L’utilisation des Ramones était utile au déplacement pour les Etats-Unis mais ça aurait pu être n’importe quoi et c’est un peu trop (d’autant qu’ils n’ont pas écrit de chanson « Malédiction » et ne sont pas à l’origine du slogan « no future ») mais bon, c’est sympa tout de même de les voir dans l’histoire…
Les dessins restent dans la lignée, clair, simple mais aussi bourré de petits détails réussis et réalistes qui retranscrivent bien l’ambiance de l’époque.
Reste le lien de parenté final (avec Antonio) qui m’échappe un peu mais à suivre…
La lignée, Tome 3 : Maxime 1973
D’après les remerciements en début d’ouvrage, elle a été plus documentée et, en effet, elle sent le vécu, l’authentique, le réaliste.
C’est donc très intéressant de se plonger dans le monde ouvrier des années 50, ces baraques, ces gens qui tentent de s’en sortir.
Les dessins de Delaporte m’ont encore plus emporté dans cette décennie et le scénario fonctionne bien, juste et pourtant extrême.
Félix ne recule devant rien, emmène ses personnages au bout – même si je ne suis pas bien sûr d’avoir saisi où il voulait en venir avec la fin de l’histoire (du curé, pas l’épilogue)…
L’histoire raconté en petits morceaux de quelques pages, parfois avec des situations en parallèle, donne du rythme au récit et on ne lâche pas. Très sympa.
La lignée, Tome 2 : Marius 1954
D’abord, je me suis senti floué. D’abord, on nous vend une histoire de malédiction, une famille où les aînés meurent à 33 ans… Et puis après deux pages, plus rien – ou quasi (y’a bien l’historique mais ça n’apporte pas grand-chose). L’impression d’avoir été alléché par un sujet pour m’en fourguer un autre qui ne m’intéressait pas de prime abord.
Parce que oui, bon, c’est comme ça mais la révolution espagnole, la guerre entre fasciste et communiste, ce n’est pas ma passion.
D’ailleurs, ce n’est pas celle du héros qui s’y retrouve un peu comme un chien dans un jeu de quille. Mais il a beau tenter de s’impliquer, il n’est pas convaincu.
Et moi non plus.
Parce qu’on nous vend également une romance, une histoire d’amour et, finalement, c’est juste du drame et de l’injustice au fil des pages. Moi, je veux bien, quand c’est bien fait, quand c’est beau. Mais là, c’est juste pour faire pleurer dans les chaumières ou pas loin.
Les dessins sont beaux, on se demande forcément ce que deviendra le fils dans le second opus mais j’ai tout de même l’impression de m’être fait escroquer sur l’histoire. Et je n’aime pas trop ce sentiment. Du coup, je n’aime pas trop la BD non plus...
La lignée, Tome 1 : Antonin 1937
Pour l'histoire, il faut attendre les pages 20 – 21 avant d'entrevoir le scénario. Normal pour un Tome 1 : c'est la mise en place des personnages.
- Christine qui se fait appeler Natacha par un petit truand (Jipé). Il semblerait qu'elle est des accointances avec l'ETA. Dans ce tome, elle substitue un sac de drogue à Jipé qui travaille pour un parrain du sud.
- Henri ouvrier soudeur aux Chantiers de l'Atlantique, à Saint Nazaire. Il déjeune dans son restaurant habituel, sa table est réservée face à la mer. Natacha et Jipé y sont installés, soudain Jipé gifle Natacha ! Henri se plante devant le truand qui lui balance un coup de boule. le couple s'enfuit en oubliant un téléphone portable que la serveuse remet à Henri…
- Quand un accident survient au chantier, Henri porte le chapeau. Viré, le soudeur fouille le répertoire du portable de « Natacha ». le nom de la femme... « Allô ? J'ai trouvé un téléphone. le restaurant… la bagarre… » Commence alors la fuite à travers la France d'un couple improbable.
Ce premier tome de Dos à la mer présente une trame assez classique. S'il ne fait nul doute que le second apportera son lot de surprises, reste à savoir de quelle manière cela sera amené, car lancée comme elle l'est, l'histoire devra impérativement conserver son caractère plausible pour fonctionner.
Dos à la mer, tome 1 : Ouest
Cette histoire est très romancée car l'on sait qu'elle se finit bien, et finalement la vie d'esclave est assez peu abordée et bien édulcorée. Pour autant, je pense que c'est une bonne bande dessinée pour commencer à aborder le sujet avec des enfants. Elle a aussi une portée symbolique sur le sens et l'importance de la liberté. Elle évoque aussi l'importance des livres, la chance de savoir lire... Je trouve que derrière son apparence simpliste, elle aborde plusieurs thèmes importants.
Et même en tant qu'adulte j'ai appris des choses : j'ignorais par exemple que la Dominique avait résisté longtemps aux colons blancs.
Pacotille l'enfant esclave, Tome 2 : L'île de la liberté
Ces éléments ne sont pas très développés, mais cela en fait justement un album adapté pour des enfants car ils ne seront pas noyés sous les explications. De plus, un petit cahier pédagogique à la fin permet de revenir un peu plus précisément sur certains éléments.
D'un point de vue adulte, j'ai été à la fois embarquée et un peu frustrée par ma lecture car tout s'enchaîne assez rapidement sans être très détaillé (il faut dire que je viens de finir un roman de plus de 1000 pages, donc forcément, la BD souffre de la comparaison car elle ne peut être aussi développée). Et finalement à la fin je n'ai pas l'impression qu'il se soit passé tant de choses. Mais cela tient en grande partie au format BD, je vais donc m'empresser d'enchaîner sur le deuxième tome afin d'avoir le fin mot de l'histoire.
Dans l'ensemble, malgré quelques réticences personnelles qui tiennent beaucoup au moment où j'ai lu cet album, je l'ai beaucoup aimé et trouvé particulièrement adapté aux enfants.
Pacotille l'enfant esclave, Tome 1 : De l'autre côté de l'océan
L'exercice de la nouvelle est difficile et parfois périlleux. Dans ce collectif, les auteurs s'en sortent plutôt pas mal et certains tirent carrément leur épingle du jeu. Les histoires sont toutes différentes, il y a les sanglantes, les surprenantes et les mordantes. Quelques-unes m'ont beaucoup plu, d'autres m'ont un peu moins convaincue. Même chose pour le graphisme. Mais globalement, j'ai passé un très bon moment.
Je vais me pencher sur Le crime parfait, le précédent recueil du même style qui me fait de l'oeil.
Une sympathique découverte que je recommande aux amateurs de polars et aux autres.
https://www.facebook.com/lecturesnoirespournuitsblanches
L'alibi
Par exemple, je ne connaissais pas le jargon de la traite (que ce soit pour les bateaux ou les fonctions/postes que ce soit du côté des colons ou des esclaves). En tout cas, je le recommande vivement !!!!!!Vous me connaissez, je vous dis toujours de vous tourner vers des livres écrit au mieux par des concernés, au pire, au moins par des historiens. Ainsi, je peux vous dire que l'histoire est raccord avec ce que je connaissais sur le passé de mon île/ancêtres et aussi de ceux qui habitaient sur l’île bien avant nous donc foncez !
Les illustrations sont très belles et bien que l'histoire ne soit pas joyeuse, normal vu le sujet, c'est important de l'apprendre. Mention spéciale à la fin de l'album où il y a plein d'informations. Là aussi j'ai appris beaucoup de choses.
Pacotille l'enfant esclave, Tome 1 : De l'autre côté de l'océan
Agata, Tome 1 : Le Syndicat du crime
Par contre, le travail des personnages n'est pas super profond... Les revirements de situation arrivent sans cesse, les personnages sont increvables.
Destins, Tome 9 : Le Procès
Dans cet album, on suit, d'une part, le ressenti et les observations d'Ellen et d'autre part, les actions des différents intervenants du procès. Par exemple, la défense pour alléger au maximum la peine d'Ellen, les hommes du shérif pour mettre à mal la défense et certains membres du jury qui communiquent avec l'extérieur alors que c'est interdit.
Destins, Tome 9 : Le Procès
J'avais étudié cette BD au collège, que de souvenirs me sont revenus lorsque j'ai ouvert l'intégrale !
C'est que du bonheur !
Ça me fait rappeler au "Petit Nicolas", "La Guerre des boutons" et Marcel Pagnol...
Le Cadet des Soupetard - Intégrale 1/3
La lignée, Tome 3 : Maxime 1973
La lignée, Tome 2 : Marius 1954