Commentaires sur ses livres

Chronique complète :
https://sunread26.wordpress.com/2024/04/14/fuuto-pi-tome-2/

Extrait :
Comme j’avais bien aimé le premier tome, et que j’en ai encore quelques-uns en stock, je me lance pour ce tome 2 de Fuuto Pi. J’aimerais également, comme pour d’autres séries, visionner l’anime, il me faut donc lire un peu plus avant ça ! Le duo Shotaro et Philip match super bien, Shotaro étant assez simple d’esprit, et Philip étant comique sans s’en rendre compte (parce qu’il a perdu la mémoire, et redécouvre des choses).

La cohabitation entre Philip et Tokime est un peu compliquée au début, pourtant qui se ressemble s’assemble comme on dit, c’est étrange. Je suppose qu’il leur faudra juste un peu de temps, et c’est peu cas de le dire, puisque la fin du tome suffira. Les réactions de Philip sont assez comiques, il est toujours avide d’apprendre, comme il a perdu la mémoire, il n’est donc pas difficile de lui trouver un sujet d’occupation. Mais comme il a aussi perdu la mémoire, il a un peu plus de mal à se comprendre, et à comprendre les autres, ce qui donne des situations totalement déjantés par moment. Son côté sérieux et studieux en rajoute une couche également. Rien que son personnage me donne très envie de découvrir la saison Kamen Rider W (dans la licence Kamen Rider, chaque saison à son Rider, et il y a pas mal de saisons…). Reste à savoir si je vais la découvrir sous peu, ou si j’attends d’avoir lu un peu plus et visionné l’anime… Ça serait l’occasion de comparer tout cela, pour voir ce qui est similaire et différent.

Dans ce tome, c’est donc surtout la relation entre Philip et Tokime qui sera mise à rude épreuve. Shotaro va finir blessé, ce qui les forcera à devoir travailler ensemble, tout en montrant que Kamen Rider n’est pas invincible. Une autre puissance semble également se cacher dans l’ombre, elle aussi antagoniste. Visiblement patiente et surtout, prudente, elle observe Kamen Rider W afin de saisir ses différentes capacités. Pour cela, cette entité, n’hésite pas à donner un petit coup de pouce empoisonné à d’autres antagonistes. Autre point rapidement évoqué mais aussi important, la condition des starlettes au Japon. Leurs employeurs se fichent de ce qu’elles pensent et ne pensent qu’à l’argent qu’elles peuvent rapporter. Tant pis donc pour leur santé ou même pour leur sécurité, il faut savoir aussi que certaines sont même juste des objets qui peuvent aussi être louées un court instant (pareillement pour le sexe opposé). Par contre, le coup de la double casquette, je pense que c’est un peu tiré par les cheveux, surtout lorsqu’on connait le métier d’idole et de programmeur de jeux vidéo, qui sont tout d’eux très prenant niveau temps.

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Chronique complète :
https://sunread26.wordpress.com/2023/08/27/kamen-rider-tome-2/

Extrait :
Deuxième et dernier tome de cette édition en format double, puisque la série était en quatre tomes au Japon. L’édition est toujours très belle, même si, pour son prix neuf, ça reste un peu cher… La série étant désormais introuvable neuf (arrêt de commercialisation), il faudra la chercher d’occasion afin de la trouver (comme moi). L’univers des Kamen Rider est quelque chose que j’apprécie beaucoup, je trouve d’ailleurs dommage qu’on ne trouve presque rien à ce sujet en France (même si des figurines commencent à arriver, en plus de quelques séries manga).

L’intrigue continue avec Hongô qui se retrouve pris au piège assez rapidement, malheureusement pour lui, la fin est bien là, ou du moins, pour le moment. Je trouve ce tome double bien trop rapide et moins bien rythmé. La conspiration prend une ampleur énorme, pour au final éclore dans l’œuf. On ignore toujours qui est Shocker même après avoir fini, je suppose donc qu’il s’agit du super ordinateur. J’ai bien aimé l’idée que le Kamen Rider puisse être quelqu’un d’autre qu’Hongô, qu’il s’agisse avant tout d’idées et de volontés plutôt que d’un individu. Certaines scènes d’action sont également très impressionnantes, mais c’est vraiment le rythme du scénario qui m’a déplu, tout va trop vite.

Pour les dessins, ils restent top pour les designs de l’époque, j’aime les risques pris par l’auteur sur certains plan choisi. Il n’est pas facile de dessiner sous différentes perspectives. Ichimonji, le remplaçant d’Hongô est presque mieux traité que celui-ci. Les deux n’ont vraiment pas de chance en amour par contre. Le côté science-fiction de la série n’a pas pris une ride, Shocker utilise la technologie pour tenter de prendre le contrôle de l’esprit humain, et visiblement ça fonctionne assez bien. Même si ce point n’est pas trop expliqué non plus, le manga est surtout centré sur la baston et l’action, plus qu’autre chose, je suppose qu’à l’époque c’était largement suffisant, dommage Kamen Rider mériterais une petite reprise avec un scénario plus travaillé.

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Chronique complète :
https://sunread26.wordpress.com/2023/08/05/kamen-rider-tome-1/

Extrait :
J’apprécie beaucoup les Kamen Rider en format Drama, c’est donc après des recherches que je tombe sur le manga, et que j’apprends qu’il est édité chez Isan Manga en France. Pour cette première série, elle est éditée en deux volumes, mais à l’heure actuelle, celle-ci n’est plus disponible neuve… Avec un peu de chance, vous le trouverez peut-être d’occasion, comme moi. C’est ce que je trouve un peu dommage avec ce genre de titre, ils disparaissent vite, mais peut-être que leur tirage est également assez faible ?

Je n’ai pas beaucoup de titres « vintage » dans ma collection, cette première série Kamen Rider est sorti en 1971 au Japon, ce qui en fait la plus vieille série de ma collection ! S’en suit Le Clan des Poe en 1972, puis Kamen Rider V3 & X en 1973 et enfin Kamen Rider Amazon en 1974. Après quoi, ma série la plus ancienne est Yu-gi-oh en 1996 ! Ce lancer dans des titres aussi anciens montre à quel point le manga a évolué au fil du temps, que ce soit pour les décors, l’intrigue ou même le design des personnages. C’est un art, comme tant d’autres choses, il évolue donc au fil des artistes qui l’utilise. Ça ne veut pas dire pour autant que les vieux titres ne sont pas terribles, il faut savoir remettre les choses dans leur contexte de sortie.

Pour l’intrigue, on peut dire qu’elle avance très rapidement, contrairement aux séries qui vont bien plus lentement. Il existe d’ailleurs d’autre série avec ce Kamen Rider, je suppose que c’est pour combler un peu ce vide, cette rapidité qui fait que certaines choses ne sont pas abordées. De plus, j’ai l’impression que certaines choses sont un peu mélangées, par exemple que ce soit le héros ou les ennemis, ils sont tous des cyborgs, lui est encore humain, là où les autres ont obtenus des caractéristiques animales. Le mélange des deux est assez spécial, surtout qu’au vu de la technologie d’époque, c’était impossible de faire ce genre de choses… les ordinateurs n’étaient pas vraiment « futuriste », comme on peut le voir ailleurs. Visiblement, l’idée de la ceinture qui transforme le héros en Kamen Rider n’était pas encore nait non plus, puisqu’il s’équipe lui-même de ce costume. Seule la moto, et des « super-pouvoirs » sont bien là.

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Chronique complète :
https://sunread26.wordpress.com/2023/08/19/fuuto-pi-tome-1/

Extrait :
Nouvelle série, nouvel éditeur puisqu’il s’agit du premier titre que je prends chez Michel Lafon, dans sa collection Kazoku. Comme j’apprécie beaucoup l’univers des Kamen Rider, et qu’en plus, je n’ai pas encore vue la série sur W, je me suis laissée tenter par cette série. Kamen Rider W est un kamen assez spécial, puisqu’il ne s’agit pas d’une seule personne, mais de deux, dont l’esprit se regroupe dans un même corps, j’étais donc assez curieuse de découvrir ses personnages en version manga, en attendant de voir le drama.

TW : nudité, gore

L’introduction commence autours de Shotaro Hidari qui fait une petite présentation de lui-même en mode « cool », ou du moins, en essayant de l’être. Juste avant, il y a une scène assez gore, ce qui indique déjà que la série ne sera pas toujours bonne enfant. Là où les drama restent tout de même assez bon public (comme les Power Rangers quoi). Il se pourrait donc que la série soit un peu plus mature, et qu’elle vise donc un public plus âgé. Shotaro est déjà un Kamen Rider, en duo avec Philip, puisqu’ils ne forment plus qu’un sous cette forme. Philip voit son âme transférée dans le corps de Shotaro… ce qui fait que son propre corps devient une inutile. Il faut donc une autre personne pour récupérer son corps et le mettre en sécurité, ce qui ne doit pas être toujours pratique…

D’habitude dans les drama, si mes souvenirs sont bon, le protagoniste devient Kamen Rider, il ne l’est pas directement. Du coup, peut-être que cette série ne reprend pas l’histoire du drama, mais peut-être plus considérée comme une suite, ou un spin off (canon ou non). Comme je n’ai pas encore vu le drama, ce ne sont que des suppositions. En tout cas, je trouve les actions très bien réalisées, le fait que Shotaro ne se transforme pas en Kamen Rider à tout va est également intéressant. Il est mieux mis en avant comme ça je trouve. Philip est un peu mis de côté et paraît donc plus mystérieux, j’espère que cela ne sera pas toujours le cas. Les dessins sont également top pour moi, et la pose typique des Kamen Rider est bien reprise, on y voit même le transfert de Philip. Bon, par contre, je ne connais pas la petite musique donc j’ai improvisé durant ma lecture…

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C'est la première fois que je lis une biographie sous la forme d'un manga, et cela ce lis pourtant très bien. L'ensemble ce lis facilement. Le seul hic pour moi ça à été les chapitres mis dans le désordres. J'aurai préférée que ce soit dans l'ordre chronologique pour mieux situer les évènements dans le temps par rapport au autres.

J’ai beaucoup apprécié de long manga qui retrace la vie du célèbre peintre japonais Hokusai.

Un bon manga sur la vie d'Hokusai, on y découvre sa vie en suivant un schéma simple : celui des différentes étapes de sa vie. les dessins sont beaux et on parcours avec plaisir les différentes œuvres de l'artiste. Et le manga ne manque pas d'humour également tout en restant poétique aussi.

Un bon manga même si il ma parue plat je vous l'accorde.
J'ai trouver les dessin moyen comparais à d'autre manga, puis sinon dans l'ensemble ça va. Sa reste un bon voyage

Un très bon manga de science-fiction, à lire absolument pour tous les fans du genre !!

Un manga assez avantgardiste pour l'époque, mais je n'arrive pas entrer correctement dans l'histoire. Assez long, parfois prévisible, je n'accroche pas. Pourtant les dessins et l'univers futuriste / post apocalyptique sont sympas mais...

Après un sommeil cryogénique de 40 ans, Ryu se réveille dans un vaisseau spatial dénué de vie. Il atterrit au Japon à une époque indéterminée et part à la recherche de civilisation humaine. Sur son chemin, il croise de nombreuses créatures terrifiantes et réalise que le monde qu'il connaissait a totalement été anéanti par une guerre nucléaire.
Le Voyage de Ryu a marqué le Japon à sa sortie il y a un demi siècle, il s'agit d'un bon manga de SF même si je ne trouve pas l'ensemble ultra mémorable. Les dessins des créatures sont assez détaillés, l'histoire assez prévisible mais à l'époque elle reflétait les craintes des effets du nucléaire après la seconde guerre mondiale. Pour les mordus de SF, on a même droit à une référence directe à Asimov. Si vous aimez le travail de Osamu Tezuka sur Astroboy, ce manga pourrait vous brancher (créé par son assistant, Shotaro Ishinomori).

Après une présentation rapide des personnages de cette saga, on rentre tout de suite dans le vif du sujet. Une BD rythmée!
Je ne suis pas un habitué des mangas, heureusement, celui-ci est à lire dans le sens de lecture européen ...
Il me reste à essayer les autres mais ce coup-ci, ça sera dans le sens japonais. Mais quand on aime l'univers de Zelda comme moi, on est près à faire des efforts!

J'ai beaucoup aimé ce manga car les personnages ont leurs particularités et leurs caractères bien à eux et le scénario est pour le moins original. Bien que de plus de 300 pages, il est aussi agréable que facile à lire.

Bon manga qui permet d'en savoir plus sur le célèbre Hokusai. Pour une fois, on ne part pas de ses oeuvres pour creuser sur sa vie, mais plutôt l'inverse. C'est plutôt agréable à lire, même si les différentes époques sont dépeintes plus ou moins selon le même schéma répétitif.

Un très bon manga permettant d'en apprendre un peu plus sur la vie de cet artiste qu'on connait tous, ne serait-ce qu'avec "La grande vague Kanagawa" que l'on voit partout !

Maître de l'estampe japonaise, considéré comme le créateur du concept du manga, ce "Vieux fou de dessin" semble avoir vécu plusieurs vies, lui permettant ainsi de renouveler son art tout en changeant régulièrement de nom. Un génie habile, incompris (car trop en avance sur son temps, comme souvent...), intransigeant, et imbu de lui-même, qui a su profiter de ce que la vie de peintre pouvait lui offrir ; tout, sauf le luxe. Oui, car le grand Hokusai a connu bien des misères, mais qu'il se rassure : les grands artistes ne meurent jamais !

Ce manga représente indubitablement le meilleur support pour découvrir sa vie ; la biographie parfaite.