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Tous les livres de Xavier Mauduit

Longtemps après la chute de 1870, le souvenir du faste du Second Empire était encore vif dans les esprits, suscitant tout autant fascination et condamnation. Cette « légende noire » s’est cependant construite sur une réalité : l’importance accordée à la théâtralité du pouvoir napoléonien, gage de prospérité. Au cœur de cette mise en scène du pouvoir se trouve une institution : la Maison de Louis-Napoléon Bonaparte.

À la faveur d’un formidable travail d’archives, Xavier Mauduit livre une enquête inédite sur une institution inspirée des grandes cours royales de l’Ancien Régime, mais devant répondre aux exigences d’un temps nouveau (proximité avec le peuple, ascension de la bourgeoisie, économie budgétaire). L’auteur suit pas à pas ces hommes et ces femmes, dignitaires, employés, domestiques, qui participèrent à l’effort de légitimation du pouvoir de celui qui fut premier président de la République française puis empereur. Rivalités, logiques de carrières, jusqu’aux conditions de travail, Xavier Mauduit dresse un riche tableau social de cette Maison. Mais il lui rend surtout son rôle politique : en effet, la maison de l’empereur ne fut pas seulement l’institution en charge de l’organisation des divertissements du régime, elle participa, de ce fait, à la mise en place d’une véritable politique de l’image, essentielle pour le Second Empire.

Napoléon III a longtemps été décrié mais l’homme est plus complexe qu’il n’y paraît. Sous le Second Empire, entre 1852 et 1870, la France connaît des avancées spectaculaires qui la font entrer dans la modernité et dans la révolution industrielle.

Que ce soit dans les sciences et techniques, les arts et la littérature, la politique, la vie quotidienne, l’éducation et la santé, l’architecture et l’urbanisme, le Second Empire a transfiguré la France.

Xavier Mauduit et Corinne Ergasse nous invitent à redécouvrir, avec plaisir, l’histoire méconnue de ces vingt années flamboyantes.

Parmi ses nombreuses escales, ce voyage à travers le temps nous conduit notamment à Paris, que le baron Haussmann transforme en ville lumière ; à Compiègne, pour assister aux somptueuses réceptions du régime ; à Bordeaux, qui envoie ses meilleurs crus à l’Exposition universelle de 1855 pour leur premier classement ; à Deauville, où le duc de Morny crée la station balnéaire emblématique du développement des lieux de villégiature, et partout en France où les hommes ont cru le progrès sans limite.

Rarement l'histoire de l'art n'a connu une telle révolution !

A la fin du XIXème Siècle, une poignée d'hommes et de femmes ont brisé avec fracas le cadre académique et ont changé notre manière de voir le monde. Aujourd'hui encore, la simple évocation de leur nom fait rêver : Monet, Renoir, Cézanne, Gauguin, Berthe Morisot, Van Gogh...

Pourtant, avant d'être des monstres sacrés, les impressionnistes étaient des individus qui ont fait des choix de vie radicaux, courageux pour les uns, inconscients pour les autres. Face aux critiques, leurs combats furent d'une ampleur difficile à imaginer. Ils les menèrent avec talent et avec humour.

Ainsi, Edgar Degas confie-t-il au marchand d'art et ami des impressionnistes, Ambroise Vollard : "si j'étais le gouvernement, j'aurais une brigade de gendarmerie pour surveiller les gens qui font du paysage sur nature. Oh ! Je ne veux la mort de personne, j'accepterais bien encore qu'on mît du petit plomb pour commencer."

Amours et querelles, audace et entêtement, génie et mauvais caractère : la vie des impressionnistes est aussi une œuvre impressionnante !

L'auteur nous raconte sa "petite histoire" mettant en scène la France du temps de Napoléon à la manière du petit manuel publié au 19e siècle chez Armand Colin par Ernest Lavisse. Xavier Mauduit pour sa part a choisi la parodie : Lavisse n'était-il pas critiqué déjà à son époque?

Ce livre est une promenade dans le temps, une flânerie dans le monde d'hier où tout est soudainement en couleurs.

Retrouvons nos poètes et nos romanciers, Baudelaire, Hugo, Proust ou encore Colette, sans oublier tous les anonymes, élèves, ouvriers, paysans. Parcourons les rues de nos villes et les routes de nos campagnes.

Au plus près de ce qu'ont pu voir nos ancêtres, voici une manière différente de revisiter le passé. Avec les petits et les grands moments qui ont fait notre histoire : la vie quotidienne, les mines, les usines, le métropolitain, le Tour de France, la Commune, les congés payés, et les guerres aussi. Tant d'hommes et de femmes, dans un foisonnement d'images, quand plus d'un siècle d'histoire se dévoile sous nos yeux, enfin... en couleurs !

Ce livre n’est pas un manuel de grammaire rébarbatif mais bien plutôt une passionnée et très amusante déclaration d’amour au français.

Il propose une approche ludique, vigoureuse et tendre, qui vise à décorseter notre langue pour se l’approprier, la prendre, et l’apprendre.

Il est question de rimes embrassées, d’accords, de liaisons scandaleuses, du temps qui passe, de naissances, de changement de genre, de jeux et de faux semblants, de la chair d’un mot et de la caresse d’un accent. **

« Comment Mathusalem a-t-il pu atteindre l'âge très respectable de 969 ans ? Pourquoi un roi de Birmanie du xive siècle a-t-il été tué à cause de son amour pour les concombres ? Comment Mao Zedong a-t-il voulu écraser les moustiques avec des ouvrages ancestraux ? Vieille de plusieurs millénaires ou de quelques décennies, l'histoire nous fascine. Elle nous aide à comprendre le présent et elle éclaire l'actualité : tout ce dont traitent les journaux a une profondeur historique et fait écho à des événements passés. Ainsi, la visite du souverain pontife en Afrique permet de rappeler qu'il y a déjà eu trois papes africains, une grève des universités remémore une colère estudiantine au Moyen Âge, la rivalité entre la France et la Russie est l'occasion de se souvenir d'un ambassadeur du roi Louis XV qui a voulu renverser le tsar. Procès de cochon, condamnation de cadavre, délires d'inventeur, sacrifices pour la liberté, empereur amoureux ou tyran sanguinaire, le passé nous offre de belles histoires à raconter. En voici quelques-unes réunies dans un joyeux méli-mélo, de la lointaine Antiquité aux temps présents. » Au fil des pages, malicieusement illustrées, on s'instruit et on sourit. On se penche sur ce qu'on a appris (ou pas), sur ce dont on se souvient (ou pas), sur ce qu'on aurait aimé savoir (ou ignorer) sur l'histoire du monde et de la France. Xavier Mauduit est agrégé et docteur en histoire. Chroniqueur sur France Inter et sur Arte, dans l'émission 28", il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur l'histoire du XIXe siècle et sur la langue française.

Tout au long de son ascension et de son règne, Napoléon excelle dans l’art de forger sa propre légende. Il fait évoluer son nom – le corse Buonaparte devient le général Bonaparte, Napoléon, l’Aigle – à mesure qu’il gravit les échelons du pouvoir. Il manie avec adresse le faste et la propagande pour asseoir son image.

Deux cents ans après la disparition de l’Empereur, Xavier Mauduit confronte son analyse d’historien à une iconographie tantôt diabolisante, tantôt hagiographique. À travers de nombreux documents en couleurs, nous découvrons plusieurs Napoléon qui cohabitent et qui se croisent : celui de la propagande impériale, l’homme qui dicte ses mémoires à Sainte-Hélène, le Napoléon tyran ou encore celui fantasmé par ses admirateurs. Tous sont des figures qui diffèrent et se complètent. Ce livre passionnant retrace ainsi l’histoire d’une fascination nationale qui se construit, dénouant les doutes, les controverses, et célébrant brillamment l’art tout napoléonien d’édifier son propre mythe.

Xavier Mauduit, agrégé et docteur en histoire, est l’auteur de nombreux ouvrages sur Napoléon. Il anime l’émission radiophonique Le Cours de l’histoire sur France Culture et participe à l’émission télévisée 28 minutes sur Arte.

De la Rome des Cesars au palais de l'Elysee, petit precis de poilitique: desopilant! Excede des railleries sur sa barbe, l'empereur Julien ecrit en 363 une satire, le Misopogon, autrement dit l'ennemi de la barbe, destinee a la population christianisee d'Antioche. Plutot qu'une attaque frontale, Julien traite le sujet a rebrousse-poil et se moque de ce menton de bouc, que je pourrais, je pense, rendre lisse et net, comme l'ont les jolis garcons . Il admet que la barbe doit etre une gene: elle interdit d'imprimer levres nettes sur levres lisses . Au IVe siecle, la barbe d'un empereur faisait donc polemique. En d'autres temps, elle aurait eu un succes fou. La barbe est une arme politique complexe. Bien taillee et a la mode, elle est redoutable. Anachronique, elle est un fardeau. Julien, avec sa barbe en bataille, n'etait pas de son temps. Il n'est pas non plus du notre, ou le glabre et l'epile gouvernent: nos politiques ont cesse d'etre poilus. Pour autant, la barbe a-t-elle vraiment perdu sa place en politique? Est-il inenvisageable qu'un barbu accede a la presidence? Julien, longtemps surnomme l'Apostat, a des atouts pour faire une belle carriere en politique: il a intrigue les plus grands - Montaigne, Ibsen ou encore Yourcenar -, il a l'experience de violentes attaques contre son physique et il a reflechi a la place des poils qui poussent le visage, sur le menton et sur les joues des hommes politiques. Voila l'occasion d'un echange foisonnant d'anecdotes piquantes, a travers les siecles, d'une discussion a laquelle participent des intervenants de tout poil. La politique de la barbe ou la barbe en politique: le matin, devant la glace, est-il raisonnable qu'un candidat a la plus haute magistrature puisse penser a autre chose qu'a la lame qui caresse sa joue? Un rasage sans concentration conduit a la balafre. Faire de la politique, c'est seduire. Le barbu peut-il seduire? Bref, faut-il etre l'ennemi de la barbe en politique?

Xavier Mauduit est agrege d'histoire et docteur en histoire de l'Universite Paris I - Pantheon-Sorbonne. Sa these sur la Maison du prince-president et la Maison de Napoleon III, empereur barbu, de 1848 a 1870, a recu le Prix Merimee 2013. Il est co-auteur sur France Inter de l'emission Panique au Mangin Palace - medaille d'or dans la categorie radio format magazine au New York Festival 2007 - et de plusieurs autres emissions sur France Inter et sur Arte.

Ils sont des milliers de mots à s’être endormis, prêts à jaillir de nouveau. Tapis dans notre mémoire, ces mots rares, parfois disparus et souvent oubliés, sont porteurs d’une histoire, celle de la langue, celle de la France. Tous demeurent éternellement présents dans la littérature. Crapoussin & Niguedouille… coquecigrue, perlimpinpin et autre pimpesouée sont les héros de ce livre amusant et instructif. Ils ont la langue bien pendue et nous racontent des aventures étonnantes, qui nous parlent d’aujourd’hui: les essayer, c’est les adopter. Ils nous ouvrent les portes de l’univers fantastique des mots rares. Ils nous rappellent qu’il suffit de vingt-six lettres et d’un peu d’esprit pour être le plus riche du monde.

Ça y est, nous y voilà. Après toute une vie d’impatience et d’ingurgitation. D’espérance obstinée. Bon sang, je suis si excitée que j’en ai la chair de poule... enfin Noël, le vrai Noël !

Évidemment, vous ne pouvez pas vous en rendre compte vous, vous avez certainement pris l’habitude : le tohu-bohu des marchés couverts, le fumet des marrons chauds si délicat, les bavardages mielleux et le froissement jubilatoire du papier kraft.

Mais si vous saviez la pression que c’est d’être le clou du spectacle. Ce que ça demande en rigueur et en capacités d’adaptation. Ah, Il y a des fois où je préfèrerais presque être à la place de certaines de mes congénères...

Enfin non, qu’est-ce que je raconte, un peu de dignité voyons ! N’allons pas jusque-là. J’espère que vous me pardonnerez cette suffisance un peu étriquée, mais selon moi dans ce monde impitoyable, il y a deux catégories de personnes.

Au premier rang, il y a la volaille de batterie, le hard discount, les pilons maigrelets, les escalopes, les cordon-bleus, bref, la petite friture dont les aspirations ne vont guère plus loin que le bout du bec.

Et puis, dans un registre hautement plus sophistiqué, il y a nous : les dindes de Noël, les sélectionnées, celles qu’on sous-pèse scrupuleusement, qu’on subodore, celles qu’on mire avec convoitise et lèchements de babines.

Et il se trouve que cette année, j’allais enfin être choisie... Mais laissez-moi vous raconter.

©2018 Tatiana Werner et Xavier Mauduit (P)2018 Audible Studios

La vie de Louis-Napoléon Bonaparte est une épopée. Fils de roi et neveu d’empereur, son avenir semble radieux. Exilé à la chute de l’Empire, il combat pour la liberté en Italie puis tente par deux fois de prendre le pouvoir en France. Condamné à l’enfermement à perpétuité, il s’évade et rejoint Londres où il mène une vie de dandy, sans perdre ses ambitions politiques. Après la révolution de 1848, élu au suffrage universel masculin, il devient président de la République, le premier de notre histoire. Un an après le coup d’État de 1851, il restaure l’Empire et prend le nom de Napoléon III.

« Nain immonde » pour Victor Hugo, « crétin » selon Adolphe Thiers, peu de chefs de l’État ont été autant insultés. Marqué d’une légende noire, son règne a longtemps été décrié. Pourtant, de 1852 à 1870, le Second Empire marque profondément la France, l’Europe et le monde, de la Chine au Mexique. C’est une défaite militaire face à la Prusse qui provoque la fin d’un règne essentiel dans notre histoire, par l’image donnée au pouvoir, la « fête impériale », et par la proposition politique, le césarisme. Napoléon III est un destin français, celui du dernier souverain que la France a connu.

Son destin nous interpelle, nous qui aimons autant les histoires de voyous, de lascars, de braquages, que les enquêtes policières. Nous sommes fascinés par Vidocq bagnard et par Vidocq policier.

De son vivant, il est déjà une source d'inspiration pour les plus grands romanciers, lui l'ancien voyou devenu chef de la brigade de sûreté de Napoléon, adepte de méthodes efficaces, mais contestables.

Cette biographie originale allie un récit mené tambour battant à des encadrés informatifs et souvent surprenants.

Elle s'appuie sur les écrits-mêmes de Vidocq et sur de nombreuses archives pour partir à la rencontre d'une personnalité passionnante, plus riche et plus complexe que le simple cliché du forçat repenti.

Les préjugés se définissent comme des opinions préconçues et mal fondées. La majorité d’entre eux stigmatisent des groupes humains : les peuples, les nations, les femmes, les gros, les roux, les riches, les pauvres, les artistes, les intellectuels… Ils expriment un sentiment de supériorité ou un complexe d’infériorité d’un groupe envers un autre. Rien ni personne n’est à l’abri de ces jugements, pas même les animaux, les couleurs, les aliments ou les arts.

Dans cette Histoire des préjugés, les historiennes et les historiens sont remontés à la source de plus de cinquante préjugés pour en expliquer la genèse, le contexte historique et surtout la permanence à travers les âges. Une leçon d’histoire et un antidote à la haine.

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