Maxime Desrochers

J'ai adoré la nouvelle de V.D Prin et celle de Venusia mais je n'ai pas accroché avec les autres.

V.D Prin ne déçoit jamais, chacun de ses livre est une réussite.

j avoue je n'AI* lu que Trévor et Davis mais j ai adoré

super bien écrit , très belle histoire et bEAUcOUp* d'humour

"Au-delà du voile" par Maxime Derochers: Jolie histoire, je m'attendais pas à ça et j'en suis ravie.

"Cette nuit où tout s’est fini" par Lo Lavisse: Un seul mot MAGNIFIQUE, tellement beau, j'ai pleuré en le lisant, vraiment un coup de cœur

"Trevor & Davis : Mords-moi, fort !" par VD. Prin : Que dire que j'adore comme tous les écris de VD Prin. Plein d'humour, des personnages attachants. Je me mets dès ce soir à lire la suite.

"Damned Accident… Or not" par Manhon : J'ai bien aimé mais pour moi trop courte, trop rapide, j'aurais voulu rentré un peu plus dans l'histoire.

"Jeux Nocturnes" par Venusia : J'ai adoré, très chaud. Me tarde de lire la suite.

Une très bonne nouvelle qui nous fait réfléchir sur notre société !!

Grosse déception, entre le personnage handicapé qui ne fait rien, qui accepte de se déshabiller pour ses soins devant un presque inconnu et un basculement dans l'homosexualité limite par hasard, je n'ai pas du tout trouvé ça crédible et j'ai laissé tombé.

La 1ere histoire est dérangeante! Je ne m'attendais pas à cette fin et l'eden et sa population même si j'en comprends la morale est trop étrange et dur à mon goût

J'ai aimé la 2eme histoire car les personnages sont attachants et beaux ensemble. Leur relation m'a touché et la morale bien que dur à lire montre hélas une réalité

La 3eme histoire est sympa même si le style d'écriture n'est pas ce que je préfère car un peut trop abrupte à mon goût. Et les scènes de sexe avec un loup me dérangent un peu perso.

la 4eme est agreable a lire mais trop courte ce qui ne nous fais pas ressentir les émotions aussi fort que cela pourrait l'être car nous n'avons pas le temps d'apprendre a connaître les personnages la 5eme est marrante et donne une touche de légèreté à ce recueil de nouvelles sommes toutes assez noir

Ce dernier roman m'a fait rire

je viens de découvrir cet auteur et j'ai beaucoup apprécié ma lecture, on navigue entre le présent et le passé, on découvre chaque personnage et le triste sort qu'ils vivent dans cette maison de l'horreur

Un roman qui se lit comme un témoignage, comme des souvenirs contés au lecteur. J'avoue que je serais curieuse de savoir quelle est part de vérité dans tout ça.

Quoi qu'il en soit, l'auteur nous offre un récit plein d'humour, de tendresse, n'épargnant pas ses héros de toutes les difficultés que l'on peut encore rencontrer aujourd'hui à être homosexuel. C'est très juste, même si je pense, certains traits ont été un peu poussés pour servir l'histoire.

Au final on passe un bon moment, personnellement séduite par ces parents ouverts et attentifs qui placent le bonheur des leurs au dessus de tout avec beaucoup de respect...

C'est le second livre que je lis de cet auteur, et j'ai trouvé beaucoup de similitudes avec ma première lecture. La catégorie sociale dans laquelle se déroule l'histoire, l'âge des protagonistes, le comportement des parents, la narration ; les histoires sont différentes, mais au final assez similaires.

Encore une fois l'auteur nous conte une belle histoire, de rencontre, de découverte, de bons sentiments, d'amour...

Je reste un peu sceptique sur le déroulé des évènements, sur la facilité des problèmes à se résoudre : ça fait un peu tout est tout beau dans le meilleur des mondes... L'emploi d'un langage assez cru dénote aussi parfois avec l'ambiance, c'est bizarre.

Toutefois, cette fois encore, Maxime Desrochers déroule un plaidoyer pour la tolérance, la compréhension, l'acceptation des autres et de soi, avec beaucoup d'intelligence et de respect. Un plaisir à lire malgré tout ces petits défauts qui n'entâchent en rien la lecture...

Je suis assez mitigée par ce recueil...

Des histoires courtes, plutôt sombres que lumineuses. Avec des écritures disparates (normal ce sont des auteurs différents)

Je n'ai pas accroché