Jean-Daniel Baltassat
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Note moyenne : 6.38/10Nombre d'évaluations : 8
0 Citations 7 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Je n'ai pas réussi à entrer dans l'univers de l'auteur. C'est dommage. Livre bien écrit cependant.
Afficher en entierRares sont les livres que j'abandonne en cours de lecture. Malheureusement, celui-ci en fait partie. A aucun moment, je n'ai réussi à entrer dans l'histoire, les personnages m'étaient indifférents, les pages semblaient être en plomb, le livre pesant des tonnes. Continuer sa lecture s'est transformé en corvée. Je suis vraiment passé à coté de ce roman.
Afficher en entierUn roman très ennuyeux et bavard, qui ne tient pas du tout sa promesse en quatrième de couverture puique Isabelle de Portugal n'apparait que lors des 100 dernières pages: dommage car c'est la partie la plus interessante de ce roman!
Afficher en entierDouze auteurs pour parler d'endroits des Cévennes, de personnages hauts en couleurs, d'histoires qui parlent du passé, de la Deuxième Guerre Mondiale, un moyen de s'évader dans la ville d'Alès, dans le temps passé, dans ces lieux pleins de couleurs, de senteurs, de chaleur que j'apprécié. Un bon moment de lecture qui permet en plus de découvrir les qualités d'écriture de plusieurs auteurs.
Afficher en entierCe roman nous emmène en 1428, quand le peintre Jan van Eyck doit remplir une mission pour son maître, le duc Philippe de Bourgogne : se rendre au Portugal et peindre le portrait qui révélera la figure, le caractère et peut-être la virginité de l'infante Isabel, choisie pour devenir l'épouse du prince.
Les rapports de forces entre les principaux personnages sont subtiles et équivoques. Il y a peu d'actions, mais des tensions, des doutes, des incertitudes sur la réussite de la mission. le jeu du chat et de la souris qu'impose l'infante au valet de peinture, entretient un suspense psychologique et réserve un improbable rebondissement. Se dessine peu à peu un beau portrait de femme au caractère fort. le portrait de van Eick demeure en filigrane, esquissé par des sourires ironiques et de brèves paroles ambigues.
On sait peu de choses de van Eyck, si ce n'est l'extraordinaire maîtrise de la peinture et son aptitude à peindre la réalité, bien avant Léonard de Vinci et la Renaissance italienne.
Ce récit est donc imaginaire et sa crédibilité, d'autant plus remarquable. Le roman est rempli de références à l'art, à l'histoire, aux sciences et à la religion. Les descriptions sont riches et inventives. La langue est bouillonnante, la sensualité suinte à toutes les pages, avec la faconde du monde médiéval (tel que nous l'imaginons). A l'inverse, les dialogues sont laconiques, pleins de sous-entendus et de non-dits.
J'ai apprécié les réflexions de l'artiste sur le pouvoir de la représentation picturale, sa quête du réalisme, l'importance de la lumière sur la représentation des matières et ses recherches pour améliorer sa technique. Néanmoins, quelques passages peuvent paraître obscurs et les changements de mode narratif (impersonnel puis 1ère personne) au milieu de chapitres, injustifiés.
Afficher en entierEt je referme ce livre avec un pincement au coeur. Jean-Daniel Baltassat est un excellent conteur. le Dessous et ses habitants sont devenus mes amis durant ces quelques jours.
Mikelangelo peint une fresque dans sa Chapelle sous le Trocadéro à Paris. Il mène une vie pépère avec son rat, Jozef. Il a de bons amis et jure beaucoup. C'est un polonais, à la mort de ses parents, il s'est installé en France.
Un beau jour avec Jozef, il sauve deux migrants en mauvaise posture, les guide vers une sortie et s'aperçoit qu'ils sont six adolescents : cinq filles et un garçon.
D'un seul coup, son passé, ses galères vont se faire plus présents. Qui sauve une vie en devient responsable dit-on. Lui aussi n'était pas seul. Ainsi commence une jolie histoire d'entraide entre un homme, des migrants et un rat.
Dans des souterrains menacés par une crue de la Seine, si certains trouvent quelques jours de répit, d'autres, les rats fuient l'eau et cherchent à se sauver.
Un très beau parallèle entre deux espèces en proie à la peur. Une histoire où l'amitié est au rendez-vous car Mikelangelo est vite débordé et la bonne volonté n'est pas toujours suffisante mais une bonne action en entraîne une autre.
Une histoire des dessous de Paris, une histoire qui montre l'intelligence des rats, une histoire où la bienveillance est au rendez-vous.
Une réflexion sur nos comportements parfois nous fermons les yeux et un beau jour la réalité nous rattrape.
Un énorme plaisir de lecture.
Merci aux éditions Calmann-Lévy de leur confiance
#Une folie de rêves#NetGalleyFrance
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Dédicaces de Jean-Daniel Baltassat
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Biographie
Nationalité : France
Né(e) : 1949
Biographie :
Né en 1949, il est l'auteur de romans et de nouvelles qui, par leur originalité de ton, lui confèrent une place à part dans la littérature actuelle.
Après des études d’histoire de l’Art, du Cinéma et de la Photographie à Paris, Jean-Daniel Baltassat collabore avec différentes revues d’Art comme photographe de théâtre et de danse. À partir de 1985, il enchaîne romans, traductions, collaborations, essais et scénarios de téléfilms. En 1986, il publie son premier roman : La falaise. Il est coauteur sous le nom d’A. B. Daniel de la trilogie Inca (XO, 2001).
Jean-Daniel Baltassat vit actuellement à Paris.
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