Samantha Bellanger

Une histoire surprenante que je qualifierai, en tout cas dans sa première partie, comme un vaudeville livresque : des quiproquos, des malentendus et des faux-semblants. Bien que le sujet semble léger, il n’en est rien en réalité. Une histoire agréable que j’ai pris plaisir à lire.

Rose est bien échaudée quant aux hommes. Cela fait un an qu’elle essaie de se remettre de sa relation avec Jérémy, son petit-ami. Leur liaison était devenue trop toxique, il s’est décidé à partir quand elle s’est rendue compte qu’elle était en danger. Alors rencontrer par hasard Adam, qui peut se ranger dans la même catégorie que Jérémy : beau, charmant au premier abord, séducteur lui fait peur. Elle est indéniablement attirée par lui mais la réciproque semble moins vraie : il lui propose une relation sans attache, sans complication et surtout sans avenir. Cela paraît être sans danger, alors pourquoi ne pas essayer ?

J’ai vraiment vécu ce livre comme une pièce de théâtre. Je ne sais pas du tout si c’était la volonté de l’auteur ! C’est un texte que j’ai apprécié bien que le contenu ne soit pas toujours facile. Rose est une jeune femme qui a perdu foi en l’amour et on peut la comprendre. Sa relation avec Jérémy était plus que néfaste. Panser ses plaies avec le bel Adam est ce qu’on lui souhaite de tout cœur. Mais pour cela il va leur falloir surmonter bien des malentendus ou des personnes malveillantes. La première scène du livre est pour moi, une illustration parfaite de ce livre : ils se rencontrent pour la première fois mais seul Adam a conscience de ce contact visuel, Rose se croyant isolée dans la cabane. C’est plus tard qu’ils feront vraiment connaissance en étant présentés l’un à l’autre. Cachoteries, faux-semblants et sentiments d’exception peuvent définir ce livre qui vous mènera aux abords de Deauville. Faut-il être riche pour être heureux ? Certainement pas, le matériel est futile quand la richesse vient du cœur. Une jolie leçon de vie.

Originale, riche et tres bien écrite, cette romance est très prenante.

Je n'ai vraiment pas réussi à accrocher. Le style d'écriture est trop entre deux époques, je n'ai pas réussi à me projeter, c'était trop flou pour moi. Le cadre temporel n'est pas assez défini. Je n'ai pas continuer plus loin que 50 pages peut-être aurait-il fallu mais je n'ai pas trouvé les personnages attachants. De plus les dialogues et descriptions étaient un peu trop lourds.

J ai bien aimé les decors de Paris...

Spoiler(cliquez pour révéler)Hormis cela, j ai trouvé tous les personnages nocifs, y compris la meilleure amie, incroyable ce qu elle a pu balancer à sa copine, jusqu au bout j ai cru qu à un moment elle allait la remettre à sa place...

Le héro c est le roi des c.... c est l un des gars les plus malsains que j ai lu en romance, tellement centré sur lui, il croit qu elle lui a menti sur ses sentiments mais par contre c est impossible qu elle ait simulé quand elle a joui...

L heroine c est une carpette, on dirait bien Cendrillon... Mais elle ne s achete pas de caractere en chemin.... J aime que les personnages feminins evoluent mais elle est victime des evenements...

J ai trouvé la romance malsaine, basée sur des apparences et pas du tout "égalitaire"

Là encore, c’est une histoire sans prise de tête. On va pas chercher de midi à quatorze heure l’histoire est sympa mais elle ne vas pas casser trois pattes à canard 😂 oui bon j’arrête ! Sincèrement, je l’ai lu un peu comme les téléfilms qui passe l’après-midi. Une histoire où on connaît la fin qui est mignonne et pleine d’amour.

Daniel est l'héritier d’une riche famille bourgeoise anglaise, cette dernière est régie par des codes très strictes : mariage de convenance, la famille restent ensemble… Ajoutez tout un soupçon de flegme anglais et vous voyez le genre ! Bref, lui n'est pas dans cette optique, il est PDG d’une grande entreprise et profite à fond de son charme et de sa vie de toute manière il sait déjà avec qui il va se marier c’est écris, autant en profiter avant que cela n’arrive.

Marion, jeune étudiante qui va s’installer sur Paris pour ses études, orpheline, a perdu ses parents et son futur mari dans un tragique accident. C’est donc une jeune femme blessée, qui ne s’autorise aucun soupçon de bonheur et surtout ne veut s’attacher à personne. Coup du hasard ou coup de chance quand elle cherche un petit boulot elle va tomber sur l’inconnu du train.

Bon, la romance en elle-même franchement elle est mignonne et classique… après pour être honnête je ne l’ai pas trouvé très approfondie. Marion qui a un passé compliqué, tombe amoureuse de Daniel au bout du deuxième rendez-vous et lui ne peut plus se passer d’elle une fois qu’il l'a mise dans son lit… bon cliché mais un peu trop rapide à mon goût. Samantha Bellanger va cependant bien mélanger les deux mondes de nos deux protagonistes. Une histoire romantique qui joue au yoyo parce qu’avec leurs différences de classe c’est compliqué. On se laisse embarquer même si nous connaissons la fin, on a envie de lire leur Happy End. La plume de l’auteur est assez sympa, a quelques émotions qui sont bien agréables. Mais je trouve que les personnages auraient dû être approfondis et leurs romance aussi. Parce que l’histoire est sympa mais avec plus de détails et de profondeur ça aurait été une pépite.

Le pouvoir d’attraction de l’amour contre les idées préconçues sur l’attachement : vaste combat, parfaitement illustré par cette histoire. Cela aurait pu être un excellent récit, mais le caractère obtus des personnages n’en fait qu’une lecture plaisante.

Thomas Couturier n’est pas n’importe qui dans le monde la musique. Habitué à ce que l’on essaie de se servir de lui pour parvenir au sommet des charts, Thomas se donne pour règle de ne jamais s’attacher à ses compagnes d’un ou quelques soirs. La notion d’engagement lui donne des sueurs froides et ce n’est pas l’expérience de ses parents qui démentira ses croyances. Mais quand il aperçoit Hazel, c’est le blackout total : il désire immédiatement cette nymphe perdue dans une soirée. La connaître devient pour lui une nécessité et un besoin. Que lui a-t-elle jeté comme sort ? Une nuit, une semaine ne semble pas suffisants pour assouvir son envie d’elle. Mais elle, Hazel, qui est-elle ?

Hazel est une petite chose perdue dans le monde des adultes. Elle est bien consciente que sa rencontre avec Thomas est une chance qui ne durera pas longtemps. Effectivement elle n’estime pas avoir ce qu’il faut pour le retenir plus de quelques jours. C’est ce que lui ont toujours dit sa sœur et son ex petit-ami : si elle s’habillait mieux, si elle faisait plus attention à son physique, elle pourrait peut-être intéresser les hommes quelques heures. Mais Hazel a d’autres ambitions que de plaire, elle aime par-dessous tout la photographie. Certains de ses clichés sont exposés dans une galerie et parfois l’un d’eux est vendu, sous le nom de Barbouille parce que selon la galeriste les photographies se vendront mieux si les acheteurs imaginent qu’ils viennent d’un homme. Niée, bafouée et utilisée par sa sœur, Hazel voit en Thomas une bouée de sauvetage. Pourtant, elle ne partage rien de ses passions avec lui, de peur de l’ennuyer.

Des secrets, il y en a entre eux ! Si on y ajoute deux visions complètement différentes de voir les relations de couple, Thomas et Hazel n’ont rien à faire ensemble. Pourtant, l’alchimie marche dès l’instant où se croisent leurs regards. Magie, sorcellerie ? Non, juste un sentiment que l’une assimile mais ne veut pas dévoiler et que l’autre ne conçoit absolument. Je vous dis cette histoire d’amour n’est pas évidente, surtout avec un caractère aussi entêté que Thomas. Quel mufle ! Les va et vient sont nombreux et parfois inutiles. Mais pour bien comprendre, il faut parfois expliquer longtemps. Thomas fait partie des personnes à l’assimilation lente !

Aujourd’hui je vous partage mon avis sur Try to resist me de Samantha Bellanger.

Je dois dire que j’ai eu un peu de mal avec cette lecture, je n’arrivais pas à me projeter pleinement dans l’histoire. La narration est à la 3ème personne, et la plume de l’auteure un peu trop formelle à mon goût

Mais attention ⚠️ cela reste mon avis bien sûr ! 😉

Malgré tout l’histoire en elle même est touchante et charmante. L’attraction entre les deux personnages est magnétique.

Thomas Couturier, le riche propriétaire de World Music est un homme séducteur qui ne veut pas s’attacher à une femme, il ne veut surtout pas s’engager, et reproduire le schéma de ses parents. Hazel une artiste photographe, est une belle jeune femme peu sûre d’elle, réservée, mais tellement douce et attendrissante.

Entre eux c’est l’attirance, le désir et la passion. Mais les secrets sont parfois lourds de conséquences…

Mon ressenti: Un assez bon roman mais qui manque quand même de rythme, de péripéties.

~ On fait la connaissance de Thomas Couturier, grand patron de World Music, une grande maison de disques. Cet homme ne s'attache pas aux femmes, ne les garde pas longtemps et ne mélange jamais vie privée et travail.

~ Il va croiser la route d'Hazel, une jeune femme différente des autres femmes de son quotidien... et ils vont apprendre à se connaître. Hazel est passionnée de photo et a étudié les arts. Elle ne vient pas d'un milieu aisé mais à tellement de qualités humaines...

~ J'ai beaucoup aimé le cadre, la musique, les différents endroits où on se trouve par moment grâce aux personnages lors de leurs voyages.

~ J'ai adoré le personnage d'Hazel: simple, désintéressée mais avec de grandes valeurs. J'ai aimé la manière dont elle s'occupe de sa sœur Bianca, depuis la mort de leur mère...

~ La plume de l'auteure est agréable à lire. Cependant, il faudrait plus de péripéties, plus de rebondissements dans le roman afin qu'il y ait encore plus de rythme.

Je suis mitigée

J ai eu l'impression que par moment le livre avait trouvé sa vitesse de croisière et à d'autres moment j ai eu l'impression qu on voulait se dépêcher de le finir

Marion douce, abîmée par la vie, naïve mais ne se laisse pas faire par Daniel ( lui des fois ça a été durdur), sûre de lui limite arrogant.

On ne parle pas de la mère de Daniel et de Sarah une brochette d odieuses

Je l'ai fini vraiment pour voir la fin, mais bof...