Descrip­tions

JORDAN

Il m’a accueillie quand je n’avais nulle part d’autre où aller. Il ne m’utilise pas, ne me blesse pas ou ne m’oublie pas. Il ne me traite pas comme une moins-que-rien, ne me considère pas comme acquis ou ne me fait pas me sentir en danger. Il faut que j’arrête ça. Ca ne peut pas continuer. Un jour, ma soeur m’a dit qu’il n’y a pas d’hommes bons et que si vous en rencontrez un, il est probablement déjà pris. Sauf que Pike Lawson n’est pas celui qui est pris. C’est moi.

PIKE

Je l’ai accueillie car je pensais aider. Elle était supposée cuisiner et faire un peu de ménage. C’était un arrangement facile. Alors que les jours passent, c’est tout sauf facile. Je dois m’empêcher de penser à elle et arrêter de retenir mon souffle quand je la croise dans la maison. Je ne peux pas la toucher et je ne devrais pas le vouloir. Nous ne sommes pas libres d’être ensemble. Elle a dix-neuf ans, j’en ai trente-huit. Et je suis le père de son petit-ami. Malheureusement, ils viennent juste d’emménager sous mon toit.

JORDAN

Il m'a accueilli quand je n'avais nulle part où aller.

Il ne se sert pas de moi, ne me fait pas de mal et ne m'oublie pas. Il ne me traite pas comme si je n'étais rien, ne me prend pas pour acquis et ne me fait pas sentir en danger.

Il se souvient de moi, rit avec moi et me regarde. Il m'écoute, me protège et me voit. Je peux sentir ses yeux sur moi autour de la table du petit-déjeuner, et mon cœur bat très fort quand je l'entends arriver dans l'allée après le travail.

Je dois arrêter ça. Cela ne peut pas arriver.

Ma soeur m'a dit un jour qu'il n'y a pas d'hommes bons, et que si vous en trouvez un, il est probablement indisponible.

Seulement Pike Lawson n'est pas l'indisponible.

C'est moi.

PIKE

Je l'ai prise chez moi, parce que je pensais aider.

Elle faisait quelques repas et un peu de ménage. C'était un arrangement facile.

Mais au fil des jours, ça devient tout sauf facile. Je dois empêcher mon esprit de dériver vers elle et arrêter de retenir mon souffle chaque fois que je la croise dans la maison. Je ne peux pas la toucher, et je ne devrais pas en avoir envie.

Mais plus mon chemin croise le sien, plus elle devient une partie de moi.

Mais nous ne sommes pas libres de céder à cela. Elle a dix-neuf ans, et j'en ai trente-huit.

Et le père de son petit ami.

Malheureusement, ils viennent tous les deux d'emménager chez moi.

(VO):

JORDAN

He took me in when I had nowhere else to go.

He doesn’t use me, hurt me, or forget about me. He doesn’t treat me like I’m nothing, take me for granted, or make me feel unsafe.

He remembers me, laughs with me, and looks at me. He listens to me, protects me, and sees me. I can feel his eyes on me over the breakfast table, and my heart pumps so hard when I hear him pull in the driveway after work.

I have to stop this. It can’t happen.

My sister once told me there are no good men, and if you find one, he’s probably unavailable.

Only Pike Lawson isn’t the unavailable one.

I am.

PIKE

I took her in, because I thought I was helping.

She’d cook a few meals and clean up a little. It was an easy arrangement.

As the days go by, though, it’s becoming anything but easy. I have to stop my mind from drifting to her and stop holding my breath every time I bump into her in the house. I can’t touch her, and I shouldn’t want to.

The more I find my path crossing hers, though, the more she’s becoming a part of me.

But we’re not free to give into this. She’s nineteen, and I’m thirty-eight.

And her boyfriend’s father.

Unfortunately, they both just moved into my house.

*BIRTHDAY GIRL is a stand-alone, contemporary romance suitable for ages 18+.