Extraits

Deux âmes brisées par les autres mais dont les pièces étaient parfaitement compatible.

« Si je reste une minute de plus avec toi, soit je te tue, soit je te démonte sur ce putain de canapé ! Et bordel, je n’ai plus envie de tuer, aujourd’hui. »

Je m’approchai des œuvres : Stephen King, Lovecraft, Edgar Poe et plein d’autres grands auteurs du genre horreur et fantastique.

— Et moi qui me demandais d’où tu tirais ton côté sadique… murmurai je en passant mon doigt sur les différents livres. Harry Potter ? Tu n’as pas si mauvais goût, finalement.

"De l'amour à la haine, il n'y a qu'un pas. Avant il voulait te voir morte; maintenant il pourrait mourir pour toi" -Ben Jenkins-

« — Tu me rends… dingue, murmura-t-il entre deux baisers. Putain… de… dingue. »

Asher Scott n'aime que Asher Scott et ses clopes.

« Je t’avais pourtant prévenue de ne pas jouer avec le diable, mon ange. Tu vas perdre la tête en enfer. »

« - L’intimité, tu connais ? Ça ne t’a pas traversé l’esprit que je pouvais être toute nue ?!

- Mais tu ne l’étais pas, remercie la mousse. Et heureusement pour toi, parce que tu auras besoin de marcher, demain soir. »

Spoiler(cliquez pour révéler)« Parce que j’ai besoin de toi, Asher. J’ai besoin de toi pour me sentir putain de vivante. Voilà pourquoi je ne veux pas que tu meures. [...] Je suis aussi égoïste que toi. Je ne pourrais pas supporter de te voir partir alors que tu es la pire et la meilleure chose qui me soit jamais arrivée. [...] Je ne pourrais pas supporter de voir encore, impuissante, une personne à qui je tiens mourir en face de moi. Je ne pourrais pas supporter de mourir encore une fois. [...] Alors, non, je ne me suis pas jetée devant lui pour qu’il me tue, parce que depuis que je te connais, tout ce que je veux, c’est vivre. [...] Je l’ai fait parce que je te veux encore vivant. Je l’ai fait parce que tu es le bout du tunnel que j’espérais atteindre depuis des années, Asher. [...] Je l’ai fait parce que je suis tombée amoureuse de toi. »

Il n’y a pas de quoi avoir peur, le rassurai-je en levant les bras. Je suis toujours ici, et les rares fois où je sors, c’est en compagnie de l’un de vous. Il ne m’arrivera rien, et tu sais pourquoi ?

— Épate-moi.

— Parce que Isobel ne se souciera pas d’une fille qu’elle a rencontrée à une soirée qui date d’au moins un mois et qui ne présente presque aucun intérêt.

Il se moqua ouvertement de moi.