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Extrait ajouté par mymy37 2017-01-04T15:31:13+01:00

Je me suis abandonné à mon désir pour un homme qui me détruit.

J'ignore pourquoi Luca ne l'a pas encore fait pourquoi je suis dans son lit au lieu d'être suspendu et torturé dans un hangar brisé et ensanglanté. La situation ou je suis n'est pas celle à laquelle je m'attendais quand les hommes d' Esguerra m'ont conduite ici hier et que j'ai réalisé que l'homme dont je croyais avoir causé la mort était encore en vie.

Il est vivant et il est déterminé à me châtier.

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Extrait ajouté par mymy37 2017-01-04T15:30:33+01:00

Pendant les 4 jours qui suivent nous prenons de nouvelles habitudes. Quand je ne suis pas ligotée je fais la cuisine nous prenons nos repas ensemble et nous allons nous promener de bonne heure dans la forêt. Et nous baisons. Nous baisons souvent. C'est comme si le fait de savoir que nous allons bientôt être séparés intensifier encore le désir de Lucas. Il me baise partout dans la chambre dans la cuisine contre un arbre dans la forêt. Et si souvent qu'à la fin de la journée mon corps est irrité et me fait souffrir et mon âme est déchiré de savoir que je couche avec l'ennemi.

Non ce n'est pas le fait de coucher avec l'ennemi qui me tourmente ce que ça me plaise. Quoi que je me dises quelles que soient mes efforts pour résister dès que Lucas me touche je perds tous mes moyens. Sa passion pour moi et forte mêmes violente de parfois mais elle est sans colère ni intention de me faire de mal. Et souvent bien trop souvent pour ma santé mentale il fait preuve de tendresse à mon égard.

C'est comme s'il commencer à avoir des sentiments pour moi de me considérer autrement que comme un objet sexuel.

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Extrait ajouté par NAAMASTE 2018-04-17T22:10:23+02:00

Putain ! c'est clair je n'arrive pas à penser à autre chose. Si Yulia m aime il faut que je le sache pour éviter de continuer à tourner en rond à cause de ça.

Je m'assieds je me penche sur elle et j'allume la lampe de chevet.

Malgré tout elle reste complètement immobile. Ses lèvres sont légèrement entrouverte et ses cils dessinent de sombres croissant sur ses joues pâles. Avec ce visage détendu par le sommeil elle a l'air terriblement jeune une jeune fille innocente épuisée par mes cruelles exigences.

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Extrait ajouté par Sabine68 2017-10-31T01:10:05+01:00

Ma gorge se serre une fois de plus et j’étouffe un sanglot. Je ne sais pas pourquoi cette dernière pensée est la plus douloureuse de toutes. Je n’ai aucun droit sur mon geôlier. Au mieux, je suis son jouet, sa chose. Il jouera avec moi jusqu’à ce qu’il se lasse puis il me brisera.

Il me tuera sans la moindre hésitation.

Tu es à moi, a-t-il dit en me baisant et pendant un bref instant, j’ai pensé, qu’il était sincère. J’ai pensé qu’il était aussi attiré vers moi que je l'étais vers lui.

J’avais visiblement tort.

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Extrait ajouté par mymy37 2017-01-04T15:30:48+01:00

C'est une maison de célibataire même le frigidaire est presque vide et si je n'avais pas été aussi terrifiée et aussi épuisé hier que je l'aurais remarqué tellement c'est évident.

Je regarde de nouveau la fenêtre en baillant. Encore un lézard. Je le regarde courir et je me demande comment ces dehors dans la jungle. Chaque fibre de mon corps a envie d'être dehors de sentir le soleil chaud sur la peau et d'entendre le chant des oiseaux. Le petit aperçu que j'en ai eu hier ne m'a pas suffi.

Je veux être au grand air.

Je veux être libre.

Tu le seras bientôt je me fais cette promesse en bougeant sur cette chaise qui est si dure.

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Extrait ajouté par Csirene 2016-05-20T12:13:24+02:00

Alors que je suis clouée au lit sous le poids du corps musclé de Lucas, la réalité de ma situation m’apparaît plus clairement que jamais. Mes poignets sont attachés au-dessus de ma tête et mon corps est envahi par celui d’un homme qui m’a menée à la fois en enfer et au paradis. Je sens la verge de Lucas se ramollir en moi et mes yeux brûlent de larmes contenues tandis que je suis allongée là, le visage tourné pour éviter de le regarder.

Il m’a prise et une fois de plus je l’ai laissé faire. Non, je ne l’ai pas seulement laissé faire, je l’ai pris dans mes bras. Tout en sachant à quel point mon geôlier me déteste, je l’ai embrassé de mon plein gré en m’abandonnant à des rêves et à des fantaisies qui n’ont pas leur place dans ma vie.

Je me suis abandonnée à mon désir pour un homme qui me détruit.

J’ignore pourquoi Lucas ne l’a pas encore fait, pourquoi je suis dans son lit au lieu d’être suspendue et torturée dans un hangar, brisée et ensanglantée. La situation où je suis n’est pas celle à laquelle je m’attendais quand les hommes d’Esguerra m’ont conduite ici hier et que j’ai réalisé que l’homme dont je croyais avoir causé la mort était encore en vie.

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Extrait ajouté par NAAMASTE 2016-03-15T16:05:02+01:00

Prisoner. Captive.

With Lucas’s heavily muscled weight pinning me to the bed, I feel that reality more acutely than ever. My wrists are restrained above my head, and my body is invaded by a man who just showed me both heaven and hell. I can feel Lucas’s cock softening inside me, and my eyes burn with unshed tears as I lie there, my face turned away to avoid looking at him.

He took me, and once more, I let him. No, I didn’t just let him—I embraced him. Knowing how much my captor hates me, I kissed him of my own accord, giving in to dreams and fantasies that have no place in my life.

Giving in to my desire for a man who’s going to destroy me.

I don’t know why Lucas hasn’t done it yet, why I’m in his bed instead of strung up in some torture shed, broken and bleeding. This is not what I expected when Esguerra’s men brought me here yesterday and I realized that the man whose death I thought I caused was alive.

Alive and determined to punish me.

Lucas stirs on top of me, his heavy weight lifting slightly, and I feel the cool breeze from the air conditioning on my sweat-dampened skin. My inner muscles tighten as his cock slips out of me, and I become aware of a deep soreness between my legs.

My throat constricts, and the burn behind my eyelids intensifies.

Don’t cry. Don’t cry. I repeat the words like a mantra, focusing on keeping the tears under control. It’s harder than it should be, and I know it’s because of what just transpired between us.

Pain and pleasure. Fear and lust. I never knew the combination could be so devastating, never realized that I could soar right after being plunged into the abyss of my past.

I never imagined I could come mere moments after remembering Kirill.

Just thinking of my trainer’s name makes the knot in my throat expand, the dark memories threatening to well up again.

No, stop. Don’t think about that.

Lucas shifts again, lifting his head, and I exhale in relief as he releases my wrists and rolls off me. The prickling sensation behind my eyes recedes as I take in a full breath, filling my lungs with much-needed air.

Yes, that’s it. I just need some distance from him.

Gulping in another breath, I turn my head to see Lucas get up and remove the condom. Our eyes meet, and I catch a hint of confusion in the blue-gray coolness of his gaze. In the next moment, however, the emotion is gone, leaving his square-jawed face as hard and uncompromising as ever.

“Get up.” Lucas reaches for me and grabs my arm. “Let’s go.” He drags me off the bed.

I’m too shaky to resist, so I just stumble along as he marches me down the hallway.

A few moments later, he stops in front of the bathroom door. “Do you need a minute?” he asks, and I nod, grateful for the offer. I need more than a minute—I need an eternity to recover from this—but I will settle for a minute of privacy if that’s all I can get.

“Don’t try anything,” he says as I close the door, and I take his warning to heart, doing nothing more than using the toilet and washing my hands as quickly as I can. Even if I could find something to fight him with, I don’t have the strength right now. I’m drained, both physically and emotionally, my body aching nearly as much as my soul. It was too much, all of it: the brief connection I thought we had, the way he suddenly became cold and cruel, the memories combined with the devastating pleasure.

The fact that Lucas took me even though he has that other girl, the dark-haired one who spied on me from the window.

My throat closes up again, and I have to choke back a sob. I don’t know why this thought, of all things, is so painful. I have no claim on my captor. At best, I’m his toy, his possession. He’ll play with me until he gets bored, and then he’ll break me.

He’ll kill me without a second thought.

You’re mine, he said as he was fucking me, and for a brief moment, I thought he meant it. I thought he felt as drawn to me as I am to him.

Clearly, I was wrong

A thin film of moisture veils my vision, and I blink to clear it from my eyes. The face staring back at me from the bathroom mirror is gaunt and starkly pale. Two months in the Russian prison took their toll on my appearance. I don’t even know why Lucas wants me right now. His girlfriend is infinitely prettier, with her warm complexion and vibrant features.

A hard knock startles me.

“Your minute’s up.” Lucas’s voice is harsh, and I know I can’t delay facing him any longer. Taking a breath to calm myself, I open the door.

He’s standing at the entrance, waiting for me. I expect him to lead me back, but he steps into the bathroom instead.

“Get in,” he says, pushing me toward the shower. “We’re going to wash up.”

We? He’s coming in with me? My insides clench, heat spreading over my skin at the image, but I obey. I don’t have a choice, but even if I did, the memory of my showerless weeks at the Moscow prison is still horribly fresh in my mind.

If my captor wants me to take five showers a day, I’ll gladly do so.

The shower stall is big enough to accommodate both of us, the glass enclosure clean and modern. In general, everything about Lucas’s house is clean and modern, completely different from the tiny Soviet-era apartment in Moscow where I used to reside.

“Your bathroom is nice,” I say inanely when he turns on the water. I don’t know why I choose this topic of all things, but I need to distract myself somehow. We’re in the shower, naked together, and even though we just had sex, I can’t stop staring at him. His sharply defined muscles bunch with every movement, and his heavy sac hangs between his legs, where his semi-hard cock is glistening with traces of his seed. He’s not the only man I’ve seen naked, but he’s by far the most magnificent.

“You like the bathroom?” Lucas turns to face me, letting the water spray hit his broad back, and I realize I’m not the only one aware of the sexual charge in the air. It’s there in the heavy-lidded gaze that travels over my body before returning to my face, in the way his big hands curl, as if to stop themselves from reaching for me.

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