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haaaa enfin je retrouve FV, la vraie !
Parce que j'ai lu tous ses livres (ou quasi) et pour la 1ere fois j'avais été très très déçue par Temps Glaciaires, qui ne lui ressemblait pas du tout.
Donc avec Quand sort la recluse, je la retrouve enfin et mon Dieu, ça fait du bien !
On retrouve un Adamsberg plus brumeux que jamais et toujours attachant, une Retancourt qui me ravie à chaque intervention (c'est un peu ma préférée Retancourt), un Veyrenc qui fait office d'encre marine pour notre commissaire, ou en plus simple, d'ami. Un Danglard décevant mais qui se rattrapera je l'espère dans le prochain.
J'ai bien aimé le fait que plusieurs petites enquetes viennent croiser la principale. Et aussi qu'on soit au coeur de cette attachante brigade, de ses membres tous si différents, de son petit quotidien.
L'humour à la Vargas et sa poésie m'ont terriblement manqué. Je suis ravie de les avoir retrouvés.
A lire !
Afficher en entierIl y a du suspense, de l'angoisse, des personnages toujours riches, complexes et intéressants. Un livre qui résonne avec les problématiques actuelles de droits des femmes et de lutte contre le harcèlement sexuel, et l'écoute des victimes. Des visions assez effrayantes des recluses - dans les deux sens. Mais j'ai trouvé que la fin traînait en longueur, peut-être parce que j'avais deviné l'identité du coupable.
Afficher en entierC'est à contrecœur (encore) que j'ai refermé ce dernier roman de Fred Vargas... on en voudrait toujours plus!! Je l'ai lu doucement, pages après pages afin de bien savourer chaque instant. Quel livre! Un suspens grandissant, un Adamsberg qui mérite plus que jamais son surnom de "pelleteux de nuages" avec ses bulles gazeuses...seule petite déception pour moi: Danglard, qui normalement est le "cerveau" du commissaire et son plus proche compagnon, qui "fait le con" dans ce bouquin là... Si je le recommande?? 1000 fois oui!!!
Afficher en entierFred Vargas est inimitable et fait mouche à tous les coups avec Adamsberg qui a une personnalité si atypique. Il entreprend une enquête qui n'aurait jamais dû exister, nous entraîne sur les traces des recluses (les araignées et les femmes du Moyen-Age).
C'est une enquête originale, Adamsberg a l'aide d'une nouvelle "enquêtrice", Irène, une vieille dame fort sympathique...
Afficher en entierInconditionnelle de Vargas, cela faisait un moment que j'attendais de lire sa dernière production. Comme d'habitude, j'ai avalé ce livre super rapidement, et j'ai retrouvé avec bonheur l'univers d'Adamsberg.
Je dois bien avouer cependant que ce n'est pas le meilleur de la série, pour des raisons que j'ai moi-même du mal à cerner. L'intrigue a un petit air de déjà-vu, et l'écriture est plus lourde, plus forcée que d'habitude. On a presque l'impression que l'auteur se contente de ses vieilles recettes de façon un peu mécanique, la légèreté n'est plus au rendez-vous. Adamsberg est englué dans ses brumes, mais acquiert paradoxalement un côté assez agressif et incisif qui ne lui ressemble pas. Bon, l'auteur a le droit de faire évoluer ses personnages, mais j'avoue être tombée amoureuse avant tout de la nonchalance que le commissaire est justement en train de perdre.
Cela reste bien entendu un livre très agréable à lire, mais je croise très fort les doigts pour que Fred Vargas rétropédale et sorte toute l'équipe de l'ornière dans laquelle je les sens basculer.
Afficher en entierPremier roman que je lis de Fred Vargas. L'intrigue est là. Le mobile des meurtres est compréhensible, quand à la manière de tuer... ça m'a laissé un peu perplexe.
Des à-cotés inutiles également, comme la première enquête au début du roman.
Afficher en entierOh ! Hé, Oh ! Vous ! Oui, Vous là ! Vous qui ne connaissez pas encore les profondeurs insondables de l’univers vargassien ! Vous êtes curieux d’entendre le commissaire Adamsberg et ses équipiers « réfléchir » à voix haute ?... Autour d’une soupière de garbure ? Ça aide à réfléchir la garbure ! Vous connaissez ?
« C’était un plat traditionnel des Pyrénées, et sans doute fallait-il avoir grandi avec pour apprécier cette soupe au chou mêlée des divers restes du potager et, si possible, de jarret de porc. A la garbure, on ajoutait du confit de canard… »
Alors, autour d’une garbure on conspire sur les enquêtes qui n’en sont pas… Concentrez-vous ! Voilà ce que ça donne :
Le lieutenant :
- …Il y aurait bien une possibilité. Mais vous allez dire que je fais mon zoologue, ou mon Danglard (commandant érudit de l’équipe).
Le commissaire :
- Allez-y tout de même, lieutenant.
Le lieutenant :
- Il faut descendre dans les pensées les plus primaires et profondes des êtres humains.
Le commissaire :
- Descendez.
Le lieutenant :
- Je ne sais pas par où commencer. C’est très enchevêtré, les pensées primaires.
Le commissaire :
- Alors commencez par « il était une fois » […]
Le lieutenant :
- Ah très bien, cela me va. Il était une fois le venin animal…
.
Et c’est parti… tout le charme de ce livre tient dans la loufoquerie, le vagabondage, l’irrationnel des situations et des discours. Si vous aimez les intrigues bien ficelées, passez votre chemin. Si vous aimez les fins bien construites et irréfutables, passez votre chemin. Si l’invraisemblable vous défrise, passez votre chemin. Si l’incroyable, l’inconcevable, le fabuleux ou le chimérique vous indispose, voire, vous horripile, passez votre chemin !... Si un peu de fantaisie vous agrée, allez-y. Si l’étonnant ne vous déstabilise pas, allez-y. Si le déstabilisant ne vous étonne pas, allez-y. Si l’improbable, le douteux, l’extravagant, le poétique ou le prodigieux vous intrigue, voire, vous amuse, vous séduit, vous affriole ou tout simplement vous satisfait, allez-y. Qu’attendez-vous ? Allez-y...
C’est du Vargas !
Afficher en entierOh ! Hé, Oh ! Vous ! Oui, Vous là ! Vous qui ne connaissez pas encore les profondeurs insondables de l’univers vargassien ! Vous êtes curieux d’entendre le commissaire Adamsberg et ses équipiers « réfléchir » à voix haute ?... Autour d’une soupière de garbure ? Ça aide à réfléchir la garbure ! Vous connaissez ?
« C’était un plat traditionnel des Pyrénées, et sans doute fallait-il avoir grandi avec pour apprécier cette soupe au chou mêlée des divers restes du potager et, si possible, de jarret de porc. A la garbure, on ajoutait du confit de canard… »
Alors, autour d’une garbure on conspire sur les enquêtes qui n’en sont pas… Concentrez-vous ! Voilà ce que ça donne :
Le lieutenant :
- …Il y aurait bien une possibilité. Mais vous allez dire que je fais mon zoologue, ou mon Danglard (commandant érudit de l’équipe).
Le commissaire :
- Allez-y tout de même, lieutenant.
Le lieutenant :
- Il faut descendre dans les pensées les plus primaires et profondes des êtres humains.
Le commissaire :
- Descendez.
Le lieutenant :
- Je ne sais pas par où commencer. C’est très enchevêtré, les pensées primaires.
Le commissaire :
- Alors commencez par « il était une fois » […]
Le lieutenant :
- Ah très bien, cela me va. Il était une fois le venin animal…
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Et c’est parti… tout le charme de ce livre tient dans la loufoquerie, le vagabondage, l’irrationnel des situations et des discours. Si vous aimez les intrigues bien ficelées, passez votre chemin. Si vous aimez les fins bien construites et irréfutables, passez votre chemin. Si l’invraisemblable vous défrise, passez votre chemin. Si l’incroyable, l’inconcevable, le fabuleux ou le chimérique vous indispose, voire, vous horripile, passez votre chemin !... Si un peu de fantaisie vous agrée, allez-y. Si l’étonnant ne vous déstabilise pas, allez-y. Si le déstabilisant ne vous étonne pas, allez-y. Si l’improbable, le douteux, l’extravagant, le poétique ou le prodigieux vous intrigue, voire, vous amuse, vous séduit, vous affriole ou tout simplement vous satisfait, allez-y. Qu’attendez-vous ? Allez-y...
C’est du Vargas !
Afficher en entierUn Adamsberg c'est comme une boîte de chocolat. On ne sait jamais vraiment sur quoi on va tomber.
J'ai trouvé cet opus différent des autres. Plus noir, plus dur. du fait du sujet sans doute mais aussi du fait des personnages qui oscillent sans cesse ne sachant sur quel pied danser. Il y a du flottement dans cette brigade. Et pourtant, Vargas tient le cap emportant à dessein son lecteur dans le ressac de drames humains enchevêtrés, l'échouant sur les écueils de fausses pistes plus vraies que nature. On patauge dans le glauque et il faut garder le coeur bien accroché pour ne pas avoir le mal de mer.
Le coeur justement, c'est là que ça coince et que ça grince pour notre commissaire. Une vengeance peut-elle être légitime ? Un flic peut-il y souscrire par omission ? On parle devoir, trahison, loyauté mais aussi... Magellan car il ne faudrait pas qu'Adamsberg se perde trop loin des brumes...
Vous ne l'avez pas encore lu ? Et bien embarquez mais je vous préviens, ça tangue et le navire prend l'eau !
Afficher en entierHabituée de Fred Vargas, je me suis précipitée pour l'acheter et j'ai dévoré ce roman. C'est un plaisir de retrouver Adamsberg embourbé dans une enquête qui menace l'unité de la brigade. Plusieurs enquêtes ont lieu et rendent ce romain encore plus adictif. Comme toujours, Fred Vargas prête une attention toute particulière à ses personnages. Ils sont attachants, parfois énervants mais toujours aussi passionnants à suivre.
Fred Vargas est de retour et signe une fois encore un très beau roman et très touchant.
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