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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par Evonya 2018-02-27T22:28:23+01:00
Or

J’ai lu ce roman dans le cadre du Grand Prix des Lectrices de Elle et je dois dire que je l’ai beaucoup aimé. Mais c’est une lecture qui se mérite. On peut être rebuté au départ par ce récit dense dans lequel surnagent des dialogues qui ne sont pas forcément identifiables tout de suite. Le plaisir est venu lentement mais sûrement. Au départ, on pense avoir affaire à un roman policier : une jeune femme, épouse de George Clare et mère d’une petite fille, est retrouvée assassinée. L’enquête commence mais elle s’arrête brusquement pour nous puisque l’auteur choisit alors de revenir en arrière et de nous raconter l’histoire de cette ferme, de ses précédents propriétaires, du couple formé par George et Catherine, de leurs amis, de ceux qui les fréquentent. C’est la chronique annoncée d’une tragédie qui, peu à peu, nous est contée. Une tragédie qui a déjà frappé (Les Hale, fermiers ruinés, se sont suicidés laissant orphelins leurs trois fils) et qui va de nouveau frapper. On le sent dans les murs, dans le vent glacé qui circule parfois dans les pièces, dans les silences de Catherine. Au premier abord, elle forme avec son mari George un couple sans histoires, elle au foyer, lui enseignant dans l’université du coin. Mais cette belle image se craquelle et laisse apparaître des dysfonctionnements, des mensonges, des reproches et des secrets. Georges et sa façade si lisse se révèle bien plus manipulateur et dangereux qu’on ne pouvait le penser. Face à lui, Catherine est de peu de poids. Et ceux qui les fréquentent, le professeur DeBeers ou encore le couple formé par Justine et Bram ne seront pas de taille non plus pour s’opposer à lui. Et, du coup, j’ai trouvé que la fin n’était pas à la hauteur de ce personnage ; une fin précipitée presque maladroite dans son traitement qui nous laisse sur notre faim. Ceci dit, à part les dernières pages, j’ai beaucoup apprécié ce roman, j’ai trouvé aussi que l’écriture était cinématographique parfois, notamment quand elle décrit la ferme. Je ne sais pas pourquoi mais sa description m’a fait penser immédiatement à celle que l’on voit dans le film de Steve Kloves –« Flesh and Bone » Dans cette ferme isolée, une famille entière est assassinée à part le bébé… Je ne sais pas si ce film a inspiré Elizabeth Brundage ou si c’est la force de son écriture qui m’a permis de visualiser la ferme mais en tout cas, cette image m’a accompagnée pendant toute la lecture. Je vous conseille vivement cette lecture.

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Commentaire ajouté par shyn2 2018-03-14T23:16:53+01:00
Diamant

Whaouh... J'attendais depuis longtemps un roman tel que celui la! Il était tout simplement parfait, je l'ai dévoré. L'écriture est remarquable et l'atmosphère dépeinte avec finesse. J'ai bien l'intention de faire circuler ce roman autour de moi!

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Commentaire ajouté par Rowena77 2018-04-04T14:22:23+02:00
Diamant

"Une chose à savoir à propos des maisons : c'étaient elles qui choisissaient leurs propriétaires, et non l'inverse. Et cette maison les avait choisis, eux."

Dans les angles morts, en voilà un titre énigmatique. Ce que nous ne pouvons voir mais qui peut pourtant nous mettre en danger... La photographie sur la couverture, celle d’une belle ferme dont on sent que la nuit ou la tempête menace de l’engloutir m'intriguait elle aussi.

L'image et le titre n’auraient pu être plus justes car la ferme est le fil rouge de l’intrigue, à la fois lieu où le drame se noue et sombre marionnettiste qui tire inconsciemment les ficelles de ceux qui l'habitent.

Bientôt le passé prend vie sous nos yeux et ses premiers propriétaires, les Hale, se font entendre. Les trois fils survivants, Eddy Wade et Cole, bien sûr mais leurs parents morts aussi, avec leur chagrin, leurs regrets et leur mauvaise foi.

Puis vient le tour de l’entourage proche des Clare de lever le voile sur quelques indiscrétions propices à nous révéler l'identité du meurtrier de Catherine Clare...

Ainsi, grâce à ces aller-retours dans le passé et à ces multiples narrateurs se dessine bientôt un portrait en clair-obscur de cette famille si secrète... une peinture par petites touches d'une grande virtuosité il faut le dire.

Dans les angles morts est donc un roman diablement méticuleux, angoissant et addictif que je vous recommande chaudement.

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Commentaire ajouté par Christele-1 2018-06-20T07:55:31+02:00
Diamant

Un superbe livre, une histoire qui en raconte plusieurs, un livre touchant et bien écrit. George et Catherine Clare ainsi que la petite fille Franny s’installent dans une ancienne ferme proche de New-York. La ferme a appartenu à toute une génération d’agriculteur, les Hale. Malheureusement on apprend que les derniers occupants ont vécu un drame, la faillite de l’entreprise familiale a poussé les parents au suicide laissant leurs trois jeunes fils seuls. Les trois frères vont se proposer pour repeindre la veille bâtisse et Cole, le plus jeune deviendra le baby-sitter attitré de Franny.

A partir de ce moment le récit va alterner entre les deux familles, faisant des allers-retours dans le passé pour mieux cerner les personnages. Ce jeu du passé -présent s’étale sur une période de un an seulement ente 78 et 79. Autant vous dire que celui de George est antipathique dès le début. Catherine est quand à elle une superbe jeune femme à qui on ne peut que reprocher sa naïveté. Quand au trois garçons, ils vont avoir des parcours différents et sont très touchants dans leur volonté de s’en sortir. Après un départ dramatique on assiste à la lente combustion des âmes dans une mise en tension progressive. Sans être un thriller haletant, j’ai adoré voir de quelle façon se délite le mariage de George et Catherine. Toute l’introspection, la rêverie des frères, les pensées et les actions à priori banales sont du pur bonheur. La maison a un rôle à part entière, elle contient tant et tant de souvenirs, d’histoires dans chaque mur, qu’il devient difficile de s’y sentir bien. J’ai aussi aimé sentir un léger souffle de surnaturel très bien posé car il reste quasi anecdotique. La ville est aussi une part importante à la compréhension avec ces difficultés économiques et sa communauté rural des années 70. Ce livre est magnifiquement bien écrit l’alternance de la temporalité ainsi que la complexité des personnages est magistrale, je reste plus réservée sur la fin que l’auteure a choisi mais cela n’enlève aux rien aux multiples qualités de ce livre. Bonne lecture.

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Commentaire ajouté par lilyanne 2018-07-25T08:34:08+02:00
Diamant

Malgré une mise en route, un peu laborieuse, ce livre se révèle une très bonne surprise

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Commentaire ajouté par manue14 2018-09-17T10:08:18+02:00
Diamant

J’ai eu un véritable coup de cœur pour ce roman.

L’histoire est prenante du début à la fin. Si j’ai eu envie de savoir ce qui s’était réellement passé et donc de découvrir la fin je n’avais, au contraire, pas envie de quitter ces personnages.

Elisabeth Brundage a le don de nous faire entrer dans son univers très rapidement. Sa plume est prenante et fluide à la fois !

Les idées sont intéressantes et finalement on peut même « espérer » que cette ferme existe réellement. Après tout, l’histoire pourrait être réelle.

Les retournements de situations ne sont présents que lorsque c’est nécessaire. L’auteure n’en met pas trop pour que l’histoire paraisse toujours réaliste.

Les chapitres sont assez courts mais personnellement j’avais toujours envie d’en découvrir davantage.

Les descriptions sont bien écrites et nous permettent de visualiser les scènes, les personnages et les différentes situations.

Elisabeth Brundage arrive avec peu de mots à créer une atmosphère et à nous transporter dans son univers.

J’ai apprécié les différents points de vue. Cela donne un vrai plus à l’histoire.

L’auteure alterne entre passé et présent ce qui est aussi intéressant. C’est dommage par contre que cela ne dure que pour le début du roman. Cela aurait pu être bien d’ajouter des scènes du passé tout au long de l’histoire.

Le roman est un thriller psychologique. Il n’y a pas de scène gore ou trop de sang. Il peut vraiment se lire par tout le monde et je vous le conseille sans hésitation.

Le petit bémol, mais qui n’en est pas vraiment un, c’est que l’auteure ne met pas assez en valeur les dates.

J’aurais peut-être voulu avoir plus de dates précises pour me faire une idée de la durée de certaines actions.

La fin est dans la lignée du roman et surtout comme je les aime. Je lirai donc avec grand plaisir un autre roman de cette auteure !

En résumé, un roman que je vous conseille sans hésitation avec des personnages et des familles qui ne vous laisseront pas indifférents...

http://fais-moi-peur.blogspot.com/search/label/affaire%20n%C2%B0394

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Commentaire ajouté par Irene-Adler 2019-01-11T09:04:09+01:00
Pas apprécié

Un angle mort, c’est la zone inaccessible au champ de vision d’un conducteur de véhicule qui ne lui permet pas de voir une partie de son environnement.

Pourtant, le danger peut y être tapi mais nous ne le voyons pas.

On peut dire que Catherine Clare ne possédait pas de rétroviseurs pour voir le danger lui tomber dessus.

Oh, il y eu bien quelques coups de klaxon timide, des appels de phares, mais elle vit les signes un peu trop tard et bardaf, ce fut l’embardée… Une hache plantée dans la tête, ça ne pardonne pas.

Non, non, je ne spolie rien du tout, dès les premières pages, le ton est donné, le crime a eu lieu, mais au contraire de la série Columbo, nous n’avons pas assisté à son déroulement. Pourtant, le nom du coupable est d’une criante évidence.

C’est ensuite que l’auteur va faire une marche arrière afin de nous présenter l’affaire sous son véritable jour, sans angles morts, parce que je peux vous dire que j’ai tout vu venir et de loin !

Catherine, elle, était une moins grande visionnaire que moi, mais c’est souvent les personnes qui sont plongés dedans qui ne voient rien venir, ni la température de l’eau monter…

Ce roman, les copinautes de blog que sont Dealer de Lignes et Blacknovel en avaient parlé en bien parce qu’ils l’avaient adoré, ce roman noir qui flirte avec la psychose car il met en scène George Clare, psychopathe qui le cache bien à sa famille, ses amis, ses collègues.

Sauf à nous, lecteurs/trices, car l’auteur ne nous laisse pas espérer que l’on se soit trompé sur son cas pathologique de pervers narcissique dominateur, genre prédateur pour tout qui ne va pas dans son sens, en plus d’être un peu pervers sexuel.

Niveau ambiance angoissante, je dois vous dire que j’ai connu mieux, ou pire, dans la montée de l’adrénaline et la distillation de la trouille. Un thriller psychologique, ça ? Même pas frémi !

Savoir que les impôts vont bientôt envoyer leurs feuillets à remplir me donne plus de sueurs froides que ce roman qui, par certains moments, m’a même profondément ennuyé, me faisait sauter allégrement des paragraphes et des pages.

Si les personnages sont très bien campés, si la petite ville est bien décrite, si la vie rurale est bien rendue, avec toutes ses emmerdes, j’ai détesté l’absence de tirets cadratins ou de guillemets pour délimiter les dialogues.

Je n’aime pas ce procédé qui consiste à économiser sur ces sigles ! Pour certains romans, ça passe très bien, alors que ici, j’ai eu une sensation d’une écriture brouillonne à laquelle je n’arrivais pas à accrocher.

La première et la dernière partie étaient, pour moi, les meilleures, celles où je n’ai pas fait des sauts de paragraphes.

La construction narrative avait du bon dans le fait de revenir en arrière, de nous présenter la même scène, mais vue sous des yeux différents, pourtant, je n’ai pas réussi à accrocher mon wagon au train et j’ai suivi en ballotage total, n’attendant qu’une seule chose : le terminer et puis basta !

Et ça me fait râler parce que j’attendais beaucoup de cette lecture et que mes deux blogueurs cités plus haut sont souvent de bons conseils lectures. L’exception confirmera la règle.

Ma deuxième lecture de l’année et bardaf, déjà une déception d’autant plus amère que je m’attendais à un coup de cœur à venir.

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Commentaire ajouté par AlwaysYour 2019-02-21T17:46:03+01:00
Or

Ce roman à été un véritable coup de coeur.

Lorsque j'ai commencé sa lecture je m'attendais à quelque chose de totalement différent, peut être ce rapprochant plus du style de Stephen King. Ma surprise fut donc total lors que je me rendis compte que ce roman n'était en aucun cas expliqué par un intervenant surnaturelle. Au contraire, tout est bien vrai.

L'auteur nous force à voir comment une superstition peu expliquer aux yeux de tout le monde une réalité invivable pour les gens concernés.

Je recommande vivement ce roman et aimerait vivement redécouvrir un roman d'Elizabeth Brundage.

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Commentaire ajouté par Julie-176 2019-03-27T22:30:52+01:00
Lu aussi

Ce livre fait partie de la sélection pour le mois de mars en lice au Prix des Lecteurs des éditions Le Livre de Poche dans la catégorie « Polar ». Il concourt ce mois-ci avec « Horrora Borealis » de Nicolas Feuz, que je vais très bientôt découvrir.

Habituellement, je ne prends que peu de temps avant de me lancer dans la rédaction de mes chroniques et ce, pour plusieurs raisons. D'abord, j’ai toujours une certaine excitation de mettre par écrit mon ressenti de ma lecture. Mais ensuite, aussi, afin que l’histoire et tout ce qui l’entoure me soient encore bien en mémoire. Malgré tout, je laisse décanter ma lecture, mais durant une période estimée en heures.

Pour ce bouquin « Dans les angles morts », c’est tout à fait différent. Cela va faire près d’une semaine que je l’ai terminé et j’ai l’impression que je suis vidée. Pendant plusieurs jours, j’ai eu l’impression de souffrir de la pire maladie que les écrivains peuvent endurer : celle de la page blanche. J’ai dû mûrement réfléchir à ce que ma lecture m’avait laissée comme sentiments une fois la dernière page tournée et à vrai dire, c’est difficile d’y mettre des mots.

Si je devais employer une expression bien de chez moi (de mon petit et plat pays qu’est la Belgique), je devrais dire que j’ai le derrière entre deux chaises. Je ne peux pas dire que je n’ai pas pas aimé cette lecture et en même temps, j’ai parfois dû me faire violence pour continuer à tourner les pages. Autant certains passages m’ont beaucoup plu, mélangeant fantastique, ambiance angoissante et lourde, autant parfois je me suis vraiment demandée pourquoi l’auteure, Elizabeth Brundage, avait voulu noircir autant de pages avec des paragraphes que certains considéreraient comme soporifiques. Les jours passant, je n’arrive toujours pas à faire la lumière dans mes sentiments : soit je suis face à une oeuvre devant être considérée comme un grand roman américain, soit l’histoire aurait très bien pu s’écrire en moins de 200 pages alors que le livre en compte près de 634 !

Déjà la lecture en elle-même m’a donné du fil à retordre car habituellement, je dévore au minimum deux livres par semaine. Ici, je suis restée calée près de 6 jours. C'est vrai que le Salon du livre de Paris m’a exceptionnellement fatiguée par cette escapade au Disneyland du livre pour tout bibliophile qui se respecte. Et donc les chapitres sont parfois longuets, les pages ne se tournent pas comme dans un suspens page-runner....

Un autre élément qui m’a, mais alors complètement, déboussolée est l’absence de ponctuation pour mettre en évidence les dialogues entre les personnages. Ils se confondent donc avec la mise en place des descriptifs et des décors. C’est la première fois que je m’aventurais dans un livre où l’auteure avait pris cette liberté dans l'écriture. C’est assez désarçonnant car c’est seulement après avoir lu lesdites phrases qu’on se rend compte que ce sont des protagonistes qui interviennent dans la trame. Nonobstant cela, j’ai trouvé la plume d’Elizabeth Brundage très aérienne malgré une utilisation très conséquente des détails et des ambiances.

A certains moments de l’histoire, j’ai eu l’impression de me retrouver dans un livre de Jonathan Franzen (auteur adoré au plus haut point pour son livre « Freedom », pour la chaleur de sa plume absolument poétique et non linéaire) . Alors qu’ici, on devrait se trouver en plein polar suite à la mort sanglante de Catherine Clare dans la maison des Hale, rachetée avec son époux Georges, professeur d’université, on se retrouve dans une grande saga familiale s’étendant sur plusieurs années. Parcourant l’histoire de ce couple et de leur fille mais aussi celle des anciens propriétaires, l’auteure déroule son récit en revenant aux origines qui ont mené à cet assassinat.

L’auteure sait distiller de menus détails qui ne trouveront leur importance qu’au dernier moment de son spectacle qu’est son livre, juste un peu avant le coucher de rideau final. L'autre don possèdé par Elizabeth Brundage est celui de créer et perpétuer une atmosphère tout à fait singulière. De plus, la maison des Hale qui sera ensuite celle des Clare occupe une place très importante, s’attribuant de la sorte un rôle de protagoniste à part entière. Les fantômes des lieux risquent de vous étreindre comme si vous vous retrouviez vous-même dans ces lieux.

Comme je n’ai pas encore lu le second de la sélection du mois de mars, je ne me prononcerai pas plus sur ce livre et comparerai les deux avant de voter. Mais en tout cas, « Dans les angles morts » n’est pas un livre dont on ressort indemne à la suite de sa lecture.

Chronique sur mon blog : https://musemaniasbooks.blogspot.com/2019/03/dans-les-angles-morts-delizabeth.html

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Commentaire ajouté par Granny-1 2019-07-27T07:01:50+02:00
Lu aussi

"Les angles morts" d'Elizabeth Brundage (528p)

Ed. Quai Voltaire

Bonjour l fous de lecture….

Voici un thriller psychologique avec une pointe de paranormal ( je dis une pointe car le paranormal n'étant pas ma tasse de thé, ici ça va, ce n'est pas la base de l'histoire ).

L'histoire est celle de deux familles au destin tragique.

Les Hale, fermiers ruinés. Les parents se suicideront dans la ferme laissant seuls leurs trois garçons.

Les Clare, repreneurs de la ferme bradée à un prix dérisoire.

D'entrée de jeu, on sait que Catherine Clare est morte, une hache dans la tête.

Qui a tué cette jeune femme ? Et qui était Catherine et son étrange époux suspect n° 1 ?

Le lecteur se plonge dans le destin tragique de ces deux familles dont les cicatrices resteront ouvertes à jamais

Récit sur la puissance des liens familiaux, sur le couple, sur la dérive, sur le comportement humain.

Elizabeth Brudage nous fait un récit de l'Amérique rurale des années 50/60.

Années où les femmes sont loin d'êtres toutes libérées.

Elizabeth Brudage aborde également les non-dits qui étouffent ces petites communautés où tout le monde veut savoir, tout le monde sait quelque chose, mais .. où tout le monde se tait.

Tableau finement ciselé et analysé par l'auteure dont c'est le premier roman traduit en langue française

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