Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 957
Membres
1 014 534

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Commentaire de claire-obscure

Dark ages : la princesse déchue


Globalement, je n'ai pas aimé car la violence est omniprésente : décapitations, égorgements, tortures, pendaisons, aigle de sang, marquage au fer et autres sévices. Le viol en est le moindre. C'est l'ossature du livre. Même si la violence faisait partie de ces temps dits obscurs, ce n'est pas une raison pour nous en abrutir alors qu'elle nous baigne encore dans nos temps dits "éclairés". Je sais bien qu'après les séries Game Of Throne et Viking, la violence, c'est à la mode. Dans GOT, il n'y a pas un épisode sans ses litres d'hémoglobine. Mais alors l'éditeur de ce livre aurait dû faire son boulot dans le 4ème de couverture et indiquer "âmes sensibles s'abstenir"... Je ne demande pas de bannir toute la violence d'un texte, mais il s'agit de trouver le juste équilibre. Car, vraiment, quel est l'intérêt ? Dans nos rues même en France, on ne décapite pas assez ? Il n'y a pas un jour sans crime au couteau.

L'autre composante trop omniprésente, ce sont les références aux dieux nordiques. A tel point qu'on a l'impression que le héros en perd totalement son libre-arbitre et sa raison.

- Scénario :

Comme cela a été souvent souligné, parfois les explications nous manquent pour suivre l'action. Par exemple, lors de leur fuite de Fortriù, pourquoi ne cherchent-ils pas à récupérer leurs bateaux ?

Les ellipses sont souvent un effet de style élégant, mais cela ne doit pas se faire au détriment de la compréhension.

- Évolution psychologique des deux héros :

L'alternance du récit, à la première personne, par Runn puis Nola aurait dû nous permettre de mieux comprendre comment ils se rapprochent, mais j'ai trouvé que ce rapprochement était plaqué, sans nuances.

- Caractères secondaires :

Ils ne sont pas assez étoffés. D'ordinaire, ils donnent une épaisseur aux héros, à travers un éclairage différent et parfois humoristique. Il n'y a pas une étincelle d'humour dans ce livre.

- Références historiques :

Les rois cités ont bien existé, et la traitrise de Scone (assassinat des invités pictes par Kenneth MacAlpin, le Scot n'est pas une invention de l'auteur. Bien que cela puisse être une légende. Il y a d'ailleurs cette même scène glaçante dans GOT et je l'ai lue ailleurs.

L'évangéliaire de St-Colomba/de Kells existe aussi.

- Écriture :

Franchement, toutes les lectrices (y a-t-il un seul lectEUR ?) clament que "c'est très bien écrit". Utiliser le passé simple n'est pas garant de belle écriture. Quant à moi, j'ai de sérieux doutes quand je vois écrit :

* "Son nez droit accentuait la suffisance qui exsudait de son visage" (p. 203). (Et ce n'est même pas une traduction, encore cette manie d'auteurs français de s'affubler de pseudonymes anglophones).

Un tel cliché, c'est à hurler de rire ! Comme l'expression "nez aristocratique" que l'on voit galvaudée dans la mauvaise littérature, et qui est supposée désigner un beau nez, alors que les nez de la royauté française (Charles VII, VIII, Louis XI, Louis XVI, etc) sont plutôt défavorisés par mère nature...

* Ou encore cette facilité d'écrire :

" Il [le bourreau] avait beau m'infliger tous les supplices qui lui plaisaient le pire fut l'absence de Nola".

On parle bien de tortures moyen-âgeuses, l'auteur se rend-elle compte de l'énormité de son propos ? C'est soit de la bêtise, soit de l'exaltation malsaine sado-maso.

- Quant à l'orthographe, les fautes dans un livre sont pour moi rédhibitoires :

"Pourquoi les emmeneZ eux et pas moi ?" (p. 203). Etc.

"L'esprit trop occupé, je m'étais laisséE surprendre" (p.248).

Etc.

Afficher en entier

Répondre à ce commentaire

Réponses au commentaire de claire-obscure

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode