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Lettres à Elise Citations

«Parfois, la meilleure solution pour la recherche de la signification de la vie est à vous occuper jusqu'à ce que vous oubliez que vous ne connaissez pas le sens de la vie»

- Amanda Hocking , Lettres à Elise: A Peter Townsend Novella

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J’écris, assis dans un coin de ma chambre, les mains tremblantes. La bougie a fini de se consumer depuis longtemps et je suis dans l’obscurité, ce qui ne m’empêche pas d’y voir à la perfection. Je voulais croire que c’était un tour de passe-passe, que l’homme qui m’avait retrouvé était un magicien ou un docteur, mais il m’est impossible de nier l’évidence plus longtemps.

Mon nom est Peter James Monroe et je suis un vampyre.

J’ai pris quelques feuilles de papier à celui qui m’a transformé. Je dois écrire ce qui m’est arrivé, comme pour me convaincre que je ne suis pas devenu fou.

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Mon Élise, mon amour, mon unique et véritable amour,

Je ne sais même pas pourquoi je t’écris ces mots. Je ne crois pas que les lettres puissent parvenir au paradis. Je suis pourtant incapable de cesser de te parler, même si je sais que tu n’es plus là. J’ai passé tant de temps à partager mes pensées, mes espoirs et mes peurs avec toi qu’un petit obstacle comme la mort ne se mettra pas en travers de mon chemin.

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Dès que je l'ai vue, je suis tombé amoureux, horriblement, profondément, irrévocablement amoureux. C'est comme si le but de ma vie m'avait soudain été dévoilé, comme si chaque moment avant celui-ci n'avait été que pour que je la voie, que je sois à son côté et que je l'aime.

Rien dans ma vie n'avait eu autant de sens.

J'ai envie de courir sur les collines, de grimper sur les toits, de chanter son nom encore et encore. Élise, Élise, mon amour, mon véritable amour, Élise.

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« — Je t’ai entendu parler aux soldats, m’a dit Ezra, d’une voix si basse que personne n’aurait pu l’entendre.

Je lui tournais le dos et je n’ai pas répondu.

— Tu parlais d’Élise, poursuivit-il.

— N’en ai-je pas le droit ? ai-je rétorqué, soudain tendu.

— Tu parles d’elle comme si elle était toujours en vie, répondit-il en éludant ma question.

— Je parle d’elle de la façon qui me plaît. C’est ma femme. J’en ai le droit.

J’ai remonté la couverture sur moi, même s’il faisait chaud sous la tente. »

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Rien ne peut me garder éloigné de vous, mon amour, pas même la distance qui nous sépare. Mon cœur vous appartient, comme il vous a toujours appartenu et comme il vous appartiendra toujours.

Je sens encore vos lèvres sur les miennes, leur goût de sel venant des larmes que vous versiez quand nous nous sommes embrassés lors de nos adieux. Je vous ai alors assuré que je ne serais au loin qu’un mois, pour nos affaires, pour améliorer notre situation, et vous m’avez dit que ce temps que passerions séparés nous serait bénéfique.

La nuit précédant mon départ, quand nous baignions dans la lumière de la lune, dans le jardin derrière votre maison, ma demande vous a paru précipitée. Je le sais. Mais ce n’était pas le cas. J’y pense depuis que je vous ai rencontrée mais, quand je suis avec vous, les mots qui me viennent ne sont pas les bons. Ma langue fourche et ne dit pas ce dont mon cœur est certain.

Élise, vous êtes mon amour, mon univers, ma vérité. Vous êtes la boussole qui pointe toujours vers le nord. Vous êtes la lune qui m’indique quand me réveiller et le soleil me dictant de dormir. Vous êtes tout et tellement plus encore.

Ce que je voulais vous dire, quand votre douce main était froide dans la mienne, et quand je vous ai vue me regarder de ces yeux inquiets… c’est que vous pensiez que j’allais à Londres pour n’en jamais revenir – comme si je pouvais vivre sans vous, comme si j’avais le choix de rester au loin.

Je veux vous livrer mon cœur dans cette lettre, mais j’ai peur que le papier ne puisse contenir tout ce qu’il a à dire. Mon amour déborde des marges, se répand par terre et hors de la voiture. Le vent le soulèvera, il portera mon cœur vers vous, là où il doit être.

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23 MAI 1852

Il n’existe pas de mots pour la décrire. Je n’en crois pas mes yeux. J’écris aussi vite que l’encre me le permet, mais ce n’est pas suffisant. Depuis que mon regard a croisé le sien, j’ai l’impression que je vais exploser.

Quelque chose a pris possession de ma personne, quelque chose de trop immense pour que mes épaules puissent en supporter le poids, et je dois m’en libérer ou périr.

Je n’ai jamais aimé les hyperboles, alors ne croyez pas que j’exagère. Dès que je l’ai vue, je suis tombé amoureux, horriblement, profondément, irrévocablement amoureux. C’est comme si le but de ma vie m’avait soudain été dévoilé, comme si chaque moment avant celui-ci n’avait été que pour que je la voie, que je sois à son côté et que je l’aime.

Rien dans ma vie n’avait eu autant de sens.

J’ai envie de courir sur les collines, de grimper sur les toits, de chanter son nom encore et encore. Élise, Élise, mon amour, mon véritable amour, Élise.

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