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Jono le rejoignit, ses yeux brillant d'une telle intensité que Patrick se sentit cloué sur place.

Et comme il refusait de battre en retraite sous la puissance de ce regard, lorsque Jono tendit la main pour l'attraper, Patrick pensa à se mettre hors d'atteinte.

Et n'en fit rien.

Jono le repoussa délibérément jusqu'à ce que son dos cogne contre le mur. Patrick fut obligé de lever la tête pour le regarder dans les yeux tout en contrôlant les battements de son cœur. Jono acheva de l'emprisonner en plaquant ses mains de part et d'autre de lui. Sans distance entre eux, Patrick pouvait sentir la chaleur qui émanait du corps puissant de Jono, tout comme il pouvait sentir la discrète touche d'eau de Cologne mêlée de sueur du métamorphe lorsque celui-ci se pencha pour parler au creux de son oreille :

— Qu'est-ce que t'avais commandé au bar, déjà ? murmura-t-il, son souffle balayant doucement l'oreille gauche de Patrick.

Un frisson glissa le long de son échine, l'obligeant à se mordre la lèvre.

— Je suis en service.

— Pas moi.

Jono s'écarta juste assez pour qu'il puisse à nouveau voir ses yeux, ce bleu irréel dansant dans ce beau visage.

— Je ne peux plus te sentir. Baisse tes boucliers.

— Non.

Jono se rapprocha davantage, ses lèvres à un souffle des siennes, alors qu'il reprenait d'une voix plus basse et plus profonde :

— Baisse tes boucliers, Patrick.

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Lorsque le taxi arriva au Tempête, il nota la présence d’une certaine Maserati garée devant. Il fronça les sourcils tout en réglant le chauffeur.

— Je vais le buter, dit-il.

— Ça ne va pas à l’encontre du fait de le garder en sécurité ? s’enquit Jono.

— Il sera en sécurité dans une tombe.

Jono rejeta la tête en arrière et explosa de rire tout en enjambant le bord du trottoir. Patrick apprécia la vue, son regard s’attardant sur les fesses du métamorphe.

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— Qu’est-ce que je vous sers ? s’enquit-il, son accent londonien clairement identifiable dans le brouhaha des conversations.

C’était donc un seigneur loup européen, même si Patrick n’avait aucune idée de ce qu’il pouvait bien faire à New York. Le barman lui offrit un sourire poli, son regard s’attardant juste assez sur ses lèvres dans un langage silencieux que Patrick avait très vite appris à décrypter.

Il lécha sa lèvre inférieure, vit le regard du loup se reporter brièvement sur sa bouche pulpeuse.

— Et si je réponds « vous » ?

— Ça ne serait pas la première fois qu’on me le demande, répondit celui-ci d’une voix traînante, un sourire en coin aux lèvres. Mais je suis de service.

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Jono à Patrick:

- Je parle si tu parles.

- Tant que tu ne me poses aucune question confidentielle, ça marche, répondit tranquillement Patrick.

Quel dommage que tout sa vie soit confidentielle.

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- Décontract’ à ce que je vois, commenta Patrick.

Jono enfila ses Ray-Ban pour dissimuler son regard si distinctif, puis il se dirigea vers la porte.

- Tu peux parler. T’es pas censé porter un costume?

- La dernier fois que j’en ai porté un, j’ai du courir à travers bois derrière un wendigo et je l’ai réduit en charpie en dévalant une colline. Depuis, fini les costumes.

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« — Tu crois que je n’oserais pas te bannir de la chambre ?

— Une moitié du lit est à moi.

Patrick dégagea ses bottes et entreprit de déboucler les lanières du fourreau de sa dague.

— Ta gueule et fous-toi à poil.

Jono rit tout en défaisant sa ceinture.

— Quelle autorité. Nous formons une meute, mon cœur, tu peux pas jouer aux dictateurs.

— Je ne vais pas me gêner si après tu me sautes.

Vu sous cet angle… Jono s’empressa de se déshabiller. »

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Il fut réveillé avant l’aube par son téléphone. Il l’extirpa de dessous son oreiller et répondit sans regarder de qui provenait l’appel.

— Y a intérêt à y avoir un mort.

— Vous avez des dons de voyance en plus d’être Magister maintenant. Je ne vous payerai pas de supplément pour ça. On a un autre corps, dit Casale d’une voix bien trop réveillée à cette heure improbable.

Patrick vérifia deux fois son écran et jura.

— Il n’est même pas quatre heures du matin.

— Les meurtres n’attendent personne.

Patrick rejeta sa couverture et se redressa en se frottant les yeux avec force.

— Où ?

Casale lui récita l’adresse, avant de raccrocher. Patrick se tira du lit et s’habilla en un temps record, rangea son arme de poing dans son holster et attacha le fourreau de sa dague à sa cuisse droite.

Il sortit de sa chambre pour constater qu’un Jono à moitié réveillé était en train d’enfiler ses chaussures, déjà tout habillé.

— Je t’ai dit de garder tes oreilles dans ta poche, dit Patrick en bâillant.

— Comment je suis censé te suivre si je sais pas ce qui se passe ? répliqua Jono en se levant pour rejoindre la porte. Patrick le menaça d’un index.

— Tes oreilles dans ta poche.

En lui passant devant, Jono se pencha et claqua ses dents à un centimètre de son doigt tendu.

— Comme tu veux, Pat. Patrick écarta vivement sa main et fusilla le métamorphe du regard. Celui-ci se contenta de rire. Patrick refusa de trouver ça sexy.

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— Waouh, je crois que c’est une première, dit Patrick.

— Une première à quoi ? s’enquit Casale.

— C’est la première fois que je vois un avocat signer un contrat sans le lire. Vous ferez quoi, s’il y a une petite clause stipulant que vous léguez votre premier-né au BCS ?

Sage lui lança un regard acéré.

— Ce n’est pas drôle.

— C’est déjà arrivé. Le coup de l’enfant, pas de l’avocat.

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« — J’avais une équipe…

— Comme si ces foutus vampires pouvaient être qualifiés d’équipe…

— J’ai dit que j’en avais une, pas que c’était eux. Si vous aviez été joignable je vous aurais appelé, mais ça faisait déjà deux mois que vous aviez disparu de la circulation…

— Qui était avec toi ? le coupa Gerard. Dis-moi que c’était quelqu’un qui connaissait tout comme moi ta tendance suicidaire bonne à foutre des crises cardiaques aux autres sur le terrain. Et Mulroney ne compte pas, vu que parfois, elle est aussi tarée que toi.

— Je ne vous ai jamais causé de crise cardiaque, marmonna Patrick.

— Mon niveau de stress lorsque tu étais dans l’équipe dit le contraire. Maintenant réponds à ma question.

Patrick soupira.

— Mulroney était à la défense. Le reste, c’étaient des civils métamorphes, et les agents de l’AOS. C’était un bordel incommensurable, mais on a géré.

Gerard resta silencieux si longtemps que Patrick se demanda s’ils avaient été coupés. Les appels sur le terrain n’étaient pas toujours très fiables. Il écarta son téléphone de son oreille pour vérifier si la ligne était toujours ouverte.

Jono le détailla, curieux.

— Tout va bien ?

« Patrick hocha la tête avant de rapprocher à nouveau le téléphone de son oreille.

— Vous êtes toujours là ?

— Des civils, dit Gerard de cette voix agacée qui rappela à Patrick les années sur le terrain lorsque son capitaine en avait ras le cul de cette merde et s’apprêtait à faire un carnage.

Le demi-fae était plutôt bon pour ça.

— Tu as demandé à des civils de te couvrir. C’est in-con-cevable.

— Ils ont été à la hauteur et tout s’est bien passé.

— Oh, je sais très bien ce que tu considères comme bien passé.

Gerard prit une voix plus aiguë pour imiter Patrick :

— Non, tout va bien, capitaine, je ne suis pas en train de me vider de mon sang à cause d’une balle dans le flanc…

— C’est arrivé une fois et je n’étais pas en train de me vider de mon sang, alors avec tout le respect que je vous dois, monsieur, lâchez-moi. J’ai rejoint le point d’extraction sur mes deux pieds.

La voix de Gerard devint bien trop songeuse à son goût :

— Tu sais quoi ? Nous rentrons au pays après notre prochaine mission. Alors moi et quelques-uns des gars, on va prendre des congés pour venir te rendre visite et évaluer ta petite équipe. On s’assurera que tu sais toujours trouver ton cul avec tes deux mains après trois années parmi les civils. »

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« Patrick s’appuya volontairement contre l’emprise de Lucien et de son pistolet, la pression presque suffisante pour l’étouffer.

— Je suis en train d’essayer un nouveau truc, où je suis censé garder tout mon sang à l’intérieur de mon corps. Me bousille pas mon expérience, Lucien. »

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