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- On va s’en sortir, murmura-t-il contre les lèvres du Magister, qu’il embrassa tendrement. Ensemble.
Parce qu’il n’existait pas pour eux d’autre manière d’affronter les épreuves.
Afficher en entier« — Tu vas devoir tirer un trait sur le thé, si tu deviens américain.
— La merde, grommela Jono. Y a le droit d’avoir la double nationalité.
— Ouais, mais pense aux impôts. On en a déjà assez à payer, là, t’as vraiment envie d’en devoir dans deux pays différents ?
En guise de réponse, Jono se tourna pour l’embrasser.
— Je payerai tout ce qu’il faut, tant que ça me permet de rester ici avec toi. »
Afficher en entier« — Je serai toujours heureux avec toi, murmura-t-il.
Petit mais bien réel, le sourire de Patrick illumina son regard, promesse silencieuse donnée en cette belle journée d’été gravée dans sa mémoire. »
Afficher en entierPatrick et Wade
« Le sol tressaillit. L’espace d’une seconde, Patrick ne comprit pas ce qui se passait. Puis la secousse s’intensifia, et il ne tint sur pied que grâce à l’aide de Wade.
— Attends, c’est un tremblement de terre ? M’en fous, si mes verres à shot sont cassés, j’en pique d’autres.
— T’es trop jeune pour boire de l’alcool…
— Ils étaient marrants. »
Afficher en entier— Comment on mène ce genre de combat ? demanda Jono.
— On encaisse et on va de l’avant, dit Patrick d’une voix lasse.
Il le serra plus fort dans ses bras, sans pouvoir s’empêcher de se demander s’ils n’étaient pas en train de vivre leurs derniers jours ensemble…
Afficher en entier— On ne peut pas leur balancer des cailloux ? demanda Wade en regardant entre les stores la foule de journalistes sur le trottoir en face de leur appartement.
— Non, dit Jono.
— Des pots de fleurs ?
— On n’en a pas, mais c’est toujours non.
— Et si je les crame ? Juste un tout petit peu ?
— Pour que ça fasse les gros titres ? Non, Wade, pas le droit de cramer les journalistes.
— Même pas drôle, grommela le dragonnet en s’éloignant de la fenêtre.
Afficher en entierEn ouvrant les yeux, Jono réalisa que Patrick l'observait, redressé sur un coude.
- Tu me regardes pioncer ?
- c'est mon passe-temps préféré.
- Ah ? C'était pas te foutre dans la merde ?
Afficher en entierMarek lui avait promis, il y a plusieurs années de cela, un avenir avec une meute. Mais le futur n’était pas gravé dans le marbre, et il n’avait aucun moyen de savoir si ce qu’avait vu son ami n’était pas en train de changer...
Afficher en entier- Je sais que Setsuna veut que vous restiez à New York et que vous fassiez profil bas, mais Casale vient de m’appeler pour vous demander en personne, dit Henry.
Patrick avait déjà travaillé en étroite collaboration avec Giovanni Casale, le chef du Bureau des Crimes Surnaturels de New York. Côté relationnel, on pouvait considérer qu’il était encore en bons termes avec la police locale.
Il essaya de ne pas avoir l’air trop impatient à l’idée de quitter enfin les locaux de l’agence.
- Qu’est-ce qu’il veut ?
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