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- Ça va. Tune me fais as peur, me lança-t-elle. Je peux encaisser.
- Je n'en doute pas. Et par les deux côtés, d'après ce que j'ai entendu dire.
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-Je garderai tes secrets,lui dis-je. Peu importe qui tu es.
-Tu es de mes secrets,répondit -elle du tac au tac. J'essie de te voler,et je préférerais ne pas en avoir envie.
Me voler ?
-Alors, qu'est ce que tu aimes regarder ?demanda-t-elle.
-Quoi ?
Elle venait encore de changer de sujet. Elle allait à mille à l'heure.J'avis du mal à la suivre.
-Pendant ta confession , tu s dit que tu aimais regarder. Regarder quoi ?
Je me mordillai la lèvre,hésitant.
-Je pense que tu le sais . Alors, puisque tu es une grande fille,tu n'as pas deviner.
Pour la première fois depuis le début de notre conversation,elle rit. C'était un son parfait et innocent,spontané. Mes mains frémirent, en proie à un désir impétueux de la toucher.
-Et si j'aime regarder,moi aussi ? dit elle,taquine.Montre-moi avec tes mots.
Afficher en entierLa pluie glacée me mordait le visage, apaisant la lave qui semblait circuler dans mes veines.
Afficher en entier"Les seules personnes qui peuvent nous faire du mal sont les gens qu'on aime"
Afficher en entier"Tu auras beau te cacher autant que tu veux sous des vêtements trop grands, ça ne suffira jamais à dissimuler à quel point tu es belle."
Afficher en entier"C'est la douleur qui anime Damon.
Il trouvera toujours un moyen d'en générer pour s'en nourrir.
C'est ce qui le constitue.
Le reste des gens l'absorbent jusqu'à la surmonter, mais Damon... il veut être en Enfer
C'était là qu'il resplendissait."
Afficher en entier« On connaît tous cet instant de clarté absolue où la conscience n'existe plus. Nous sommes qui nous sommes, nous voulons ce que nous voulons, et ce qui doit arriver doit arriver.»
Afficher en entierJe regardai autour de moi. Le plancher fissuré de mon studio craquait dès que quelqu'un traversait le couloir devant ma porte. Un store jaunâtre pendait à la fenêtre. L'évier était vide. Mon unique assiette, mon unique bol, mon unique tasse et mes couverts étaient posés sur le panier à vaisselle adjacent. Il y avait un futon, que j'avais acheté dans un magasin d'occasion, et des parpaings avec une planche posée dessus faisaient office de table basse.
Kai Mori ne mesurait pas la chance qu'il avait. Au moins, il avait des gens sur qui il pouvait compter.
Une éducation. Des opportunités. Des possibilités.
Je n'avais même pas le bac.
Je n'avais pas d'argent non plus, et je ne pourrais jamais quitter la seule personne qui comptait à mes yeux.
Kai pouvait s'élever et je commençais à en avoir marre de le côtoyer, car sa présence me rappelait constamment que moi je ne le pouvais pas.
J'étais condamnée à vivre comme ça.
Afficher en entier-Tu sens ? murmura-t-il.
- Quoi ?
Il aligna ses bras le long des miens et emprisonna mes mains dans les siennes.
- Tu es pile à la bonne taille. On dirait que ton corps a été fait pour le mien.
Afficher en entier- Est-ce que tu m'as aimée ?
- L'amour est une souffrance, Nik. Ça n'as jamais du bien.
- Pas même mon amour ?
- Je ne veux pas te faire de mal. Je ne veux plus. C'est tout ce que je sais.
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