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« Là, Tilda dirait probablement : « Ce mec est un six, mais il écoute Taylor Swift. »
Afficher en entier" -je te déteste pas vraiment, mais si tu étais en feu dans ta monoplace et que j'avais un extincteur, je l'utiliserai pour faire une soirée mousse"
Ava Drake
Afficher en entier"Si le bonheur peut se matérialiser, alors il a les traits de l'homme de ma vie. Si le bonheur peut s'écouter, alors sa mélodie est celle des battements de mon cœur." Page 356
Afficher en entier« Si tout semble sous contrôle, c’est juste que vous n’allez pas assez vite »
Afficher en entierJe crois que je n'ai jamais cessé de l'aimer. Je crois que lorsque je n'ai voulu qu'elle pour ce deal c'était une pulsion du cœur. Je crois d'ailleurs qu'il lui a toujours appartenu.
Afficher en entierD'accord on était jeunes, mais mon âme n'était jamais plus complète que lorsqu'elle était avec toi.
Afficher en entier"- Pas la peine de prendre un langage soutenu, on est entre amis.
- On n'est pas amis. D'anciennes connaissances au mieux.
- Tu me brises le cœur, ricane-t-il.
- Impossible il y a un écriteau avec marqué "néant" à la place."
Afficher en entier— Je t'en ai voulu ces derniers jours et pourtant l'envie de t'embrasser ne m'a pas quitté une seconde.
- C'est frustrant ?
- Terriblement. Tu veux m'aider ?
— Tu seras toujours frustré, Jesse. Parce que je suis inoubliable, c'est à tes...
Ses lèvres fondent sur les miennes.
... risques et périls.
- Je prends le risque.
Il me serre contre lui, avant d'approfondir son baiser. Le plaisir brûlant que provoque ce contact charnel entre nous éveille mes sens. Il ne le faudrait pas, pourtant je trouve ça délicieux.
- T'as raison, ça ne me suffit pas.
Afficher en entierAussi, je resserre mes bras autour de sa taille, je la soulève pour la poser sur le plan de travail. Ses yeux légèrement écarquillés me font sourire.
— J’avais dix-huit ans, je voulais être inoubliable à tes yeux, je voulais qu’aucun mec du lycée ne m’arrive à la cheville, je voulais que tu ne penses qu’à moi. Jour et nuit, nuit et jour… c’était peut-être parce que c’était purement égoïste de ma part de le vouloir que ça s’est retourné contre moi.
Avec douceur, elle caresse mon visage, puis mes cheveux et soudain, tous les sentiments qui m’ont filé des insomnies, font battre mon cœur plus fort.
— T’as réussi ton coup, murmure-t-elle finalement. Même après huit ans d’absence…
— Je suis désolé.
Elle ne dit rien, elle se contente juste de se blottir plus fort contre moi. Ava n’a pas encore la moindre idée du fait que je ne veux plus qu’elle soit loin de moi, de ma vie.
— Forelsket, souffle-t-elle si bas que j’ai l’impression de le rêver. Je crois que j’en suis atteinte, si seulement… il est possible de le dire ainsi.
Je m’éloigne juste assez pour voir son visage. Elle a les joues rouges mais, elle plante ses iris bleu neige dans les miens. Il se dégage d’elle quelque chose d’envoûtant, quelque chose à quoi je suis totalement réceptif voire accro.
— Tu m’as dit que ça désignait l’indescriptible et l’euphorie qu’on ressent quand… on commence à tomber amoureux.
Afficher en entier— Et si tu veux, tu m’as aussi.
— Toi ?
Il hoche la tête et me rapproche encore plus de lui. Je pose mes mains sur son torse, j’ai l’impression d’être prise de vertige alors que je ne ressens que du bonheur à l’état brut.
— Quand on s’est embrassé après ma victoire en Australie, c’était pour les cameras ou c’était pour nous ?
— Nous, je réponds. J’en mourrais d’envie.
Ma réponse semble lui plaire.
— Alors peut-être qu’on pourrait simplement faire évoluer le faux couple en vrai. Toi et moi, sans deal.
Mon cœur papillonne sous ma poitrine.
— Comment on scelle ça ? je demande.
Son sourire doublé de son regard a raison de moi. Je le laisse m’embrasser comme la tempête qu’il est et bien sûr, sans ménagement, il saccage tout sur son passage.
— Je pourrais te prendre dans n’importe quelle pièce ici pour sceller cette nouvelle relation en bonne et due forme. Tu peux choisir, t’es chez toi.
— Et si on faisait une course, plutôt ? Tu crois qu’ils fonctionnent encore ?
Il me sourit, pas le moins du monde vexé ni en colère par ma contre-proposition.
— Tu viens ?
On s’installe chacun dans un kart. Bien sûr, j’ai absolument perdu la main, et les courses que nous enchaînons sont chaotiques, mais je crois que je n’avais plus ressenti ce niveau de bonheur depuis très longtemps.
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