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La France révolutionnaire vient de déclarer la guerre au monde. Promu, malgré son jeune âge, commandant de l’Hypérion, Richard Bolitho s’initie à la discipline impitoyable du combat d’escadre. Tant de variables incontrôlables, telles que le vent, l’humeur des hommes ou la peur, entrent dans ces vastes parties d’échecs que sont les combats sur mer, que le plus rude des hommes peut s’effondrer.
Bolitho, alors que les Anglais organisent le blocus de Toulon, réussit pourtant un coup magistral ! Mais gagne-t-on jamais à ce jeu où la mort est bien souvent la rançon de la victoire et où le succès d’un jour est détruit par la défaite du lendemain ?…
Afficher en entierLa France en révolution déclare la guerre au monde - et d’abord à l’Angleterre et à l’Espagne qui contrôlent ensemble les voies d’accès à la Méditerranée. L’Amirauté britannique ne perd pas de temps et organise aussitôt le blocus de Toulon. Dans la flotte de l’amiral Hood, Richard Bolitho, promu commandant de l’Hyperion, un navire de ligne de Sa Très Gracieuse Majesté, doit s’initier à la savante discipline du combat d’escadre : vaste partie d’échecs où entrent en compte, outre la disposition des pièces et la détermination des adversaires, des variables difficiles à contrôler, telles que le régime des vents, l’humeur des équipages - ou, tout simplement, la peur.
Détaché du gros de la flotte sous la direction du vice-amiral Moresby, il se voit confier, avec deux navires espagnols, la mission de s’emparer de l’îlot de Cozar, dans le golfe du Lion. Après une première tentative désastreuse (Moresby est tué sous ses yeux), Bolitho prend l’affaire en main, ose un coup injouable - et gagne. Mais gagne-t-on jamais à ce jeu où la mort est la rançon de la victoire, et où le succès d’un jour est si vite défait par le Temps ?
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