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Extrait ajouté par WODP 2020-08-20T16:49:45+02:00

Lincoln sortit une clef de la poche de son jean.

— C’est la clef de ma caravane, dit-il en pointant son doigt vers le parking, à l’orée des arbres, où la jolie petite caravane argentée était garée parmi les fleurs sauvages.

— Chaque matin, à ton arrivée, je te donnerai ta dague. Et tous les jours avant de partir, tu la déposeras dans ma caravane et tu verrouilleras ma porte. Ne fouine pas partout. N’utilise pas ma salle de bains et ne mange pas ma nourriture. C’est compris ?

Je souris.

— Oh, mon chou, tu me donnes déjà la clef de chez toi ? Mince alors, on vient tout juste de se rencontrer.

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"Je me levai et ôtai mon débardeur pour révéler ma brassière de sport bleue. J'espérai que mes tétons étaient durs, comme deux petits doigts d'honneur."

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— Puis-je ? proposa Lincoln. Il faut expliquer les choses en détail, avec les humains. Ils n’accordent pas leur confiance de manière absolue comme vous le faites.

Il s’éloigna de son coin de la pièce pour s’approcher de moi.

Est-ce qu’il vient de dire à une pièce remplie d’archanges que je ne leur faisais pas confiance ?

Je vais le tuer.

Le front de Raphaël se plissa.

Merde. Je plaisante. Joie et arcs-en-ciel.

Maintenant, il essayait de retenir un rire. Mince, ils pouvaient vraiment lire mes pensées.

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Elle hocha la tête.

— Et je te promets de ne pas te laisser terminer ta première année sans avoir embrassé Lincoln.

— Shea, arrête ! la contrai-je en écarquillant les yeux. C’est mon professeur, plus ou moins. Et un connard, plus ou moins. Bref, ça n’arrivera jamais.

Elle sourit.

— Ça fait beaucoup de « plus ou moins ».

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« Notre respiration ralentit et il se pencha en avant, me lovant contre son torse. Nous demeurâmes ainsi un certain temps, appréciant simplement de partager ce moment ensemble.

Soudain, une odeur de brûlé atteignit mes narines.

— C’est quoi, cette odeur ? demandai-je.

Spoiler(cliquez pour révéler)Lincoln bondit hors du lit.

— J’ai fait brûler le dîner !

Un éclat de rire explosa hors de ma poitrine. Il semblait bien que les céréales seraient au menu, ce soir. »

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-Tu me dois un café.

Il se contenta de m'adresser un sourire en coin, sans dire un seul mot.

Le véhicule était flambant neuf, il y avait même encore des autocollants sur le côté de la vitre.

- Jolie voiture, admirai-je

- Content que tu l'apprécie, parce que je ne pourrais pas venir te chercher tous les jours. Venir dans ce cloaque est trop douloureux. La voiture est à ta disposition pour toute la durée de tes études. Cadeaux de Fallen Academy, m'annonça-t-il nonchalamment.

Ma bouche s'ouvrit en grand.

-Qu'est-ce que tu viens de dire?

Mon entraînement devait durer quatre ans.

-Que techniquement tu viens de lancer du café sur ta propre voiture

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Je bondis sur la route et fis la première chose qui me vint à l'esprit: je jetais mon gobelet de café et le regardai avec délectation s'écraser sur la vitre arrière du SUV de Lincoln, les feux s'illuminant d'un rouge furieux. Je m'avançais ensuite calmement vers la portière passager et l'ouvris vivement, me retrouvant face à face avec le Céleste.

[...]

- Ecoute, mon pote. J'ai passé la pire nuit de ma vie, hier, je me remets d'une overdose de donuts Septième Ciel, et je viens de gaspiller un excellent gobelet de café, alors il va falloir que tu te calmes.

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Il me réveille à cinq heures du matin, me dépêche alors que je prends ma première douche avec ces ailes gigantesques, et maintenant j'allais devoir courir !

Je détestais courir. Il allait prendre un savon. je passais la porte en trombe, juste à temps pour voir un SUV blanc tout neuf s'éloigner.

Oh non il n'oserait pas !

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Dès l’instant où j’entrai dans la grande salle de sport, Noah se mit à siffler. J’émis un reniflement alors que Lincoln lui donnait une tape sur l’arrière du crâne.

— C’est notre élève, le réprimanda-t-il.

Noah haussa les épaules.

— Il n’y a aucune loi contre ça, mon frère. Elle a dix-huit ans.

Je laissai tomber mon sac en bandoulière au sol.

— Ne t’inquiète pas, il n’est pas mon genre, de toute façon, lançai-je à travers la pièce.

Darren et Blake lancèrent un « Ouh là ! », mais les yeux de Lincoln se contentèrent de me fixer avec intensité alors qu’il affichait une expression que je ne pus déchiffrer.

Noah fronça les sourcils.

— De quoi est-ce que tu parles ? Je suis le genre de tout le monde.

Il banda son biceps et l’embrassa.

— Tu es trop beau, lui dis-je en toute honnêteté.

Je ne pourrais jamais sortir avec un mec qui avait des sourcils plus soignés que les miens.

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Sale petit crétin !

Je ne savais pas si faire jaillir du feu par mes yeux ferait partie de mes dons, mais j’en avais assurément très envie à cet instant. J’aurais voulu le carboniser sur place.

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