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“Keefe?” she whispered.
He smirked. “Did you miss me?”
Afficher en entierPressées dans une moue rigide, les lèvres de Grady s'entrouvrirent imperceptiblement.
— Consignés.
— Pour le restant de l'éternité, ajouta Alden.
Afficher en entierExtrait p.351
Sophie écarta ses doigts des tempes de Keefe, mettant ainsi fin à leur connexion mentale. Mais les scènes horribles auxquelles elle venait d'assister ne cessaient de se rejouer dans sa tête.
-Keefe,je...
Il n'y avait pas de mots.
Elle se jeta à son cou et le serra de toutes ses forces. Peut être qu'en l'etreignant a jamais, elle pourrait recoller les morceaux?
-Je crois que tu viens de ruiner tes chaussures en sautant à pieds joints dans une énorme flaque de peaux de selkie.
-Je m'en fiche. Et tu n'es pas obligé de toujours plaisanter, tu sais.
-Je n'ai pas le choix.
Le coeur transpercé par la voix brisée du jeune homme, elle enfouit le visage contre son épaule. Ses larmes tranperent vite la cape de son ami.
-Je suis désolé, bredouille-t-elle. Ce n'est pas à moi de pleurer
-Ni à toi ni à moi. Ce n'était qu'une coupure je n'en garde même pas de cicatrice.
-Tu sais aussi bien que moi que si.
Détournant le visage, Keefe contemple les vagues qui s'ecrasaient sur la plage.
-Je ne veux pas de ta pitié.
-Je n'y peut rien. Mais ce n'est pas de la pitié. C'est...je ne sais même pas ce que c'est. Mes sentiments sont trop confus.
Keefe soupira.
-Comme toujours quand il s'agit de moi...
Afficher en entier(extrait page 117)
" - Pas étonnant qu'il ne s'entende pas avec mon frère! déclara Linh. Ils sont exactement pareils.
Comme par enchantement, la voix de Tam résonna dans la salle de bains.
- Je rêve... il utilise plus de lotions pour cheveux que moi! "
Afficher en entier- Juste une question, dit-il, avançant avec précaution dans un couloir particulièrement sombre. Est-ce normal que je ressente une telle décharge chaque fois que je te touche la main ? (Il s'éclaircit la gorge devant l'ambiguïté de sa remarque.) Ce que je veux dire, c'est que tes émotions ont toujours été fortes... mais là, elles atteignent des sommets.
- C'est parce que j'ai manifesté un talent d'Optimisatrice. Je suis censée porter des gants, mais je les ai enlevés pour aider Edaline.
Elle s'attendait à le voir proclamer crânement qu'il l'avait toujours su.
- Alors, cette décharge, c'était une lecture encore plus nette de tes émotions? se contenta-t-il de lui demander.
- Sans doute. Pourquoi?
- Pour rien.
Elle lui jeta un regard à la dérobée, et surprit l'esquisse d'un sourire dans la lumière tamisée.
Afficher en entier“I think it starts with people like you. People asking hard questions and taking risks and never letting anything stop them - not because they want power or glory. Because they know it's the right thing to do.”
Afficher en entier“Okay, if you want to have this conversation, I guess we can.”
“What conversation?” Sophie asked.
Grady raised an eyebrow. “About boys.”
Afficher en entier-L'improbabilité d'une théorie annule rarement sa possibilité, lui rappela M.Forkle.
(à Biana)
Afficher en entier— J'ai choisi de la vie de soldat. Un soldat ne peut souffrir aucune distraction... rien qui puisse ralentir sa main, ni le pousser à la prudence quand vient l'heure de prendre des risques.
— Moi qui ai toujours cru que les plus fort étaient ceux qui avaient une raison de se battre. Une raison de revenir. Une raison de ne jamais se rendre.
Afficher en entier— Prenez soin de mon Colibri.
— Non, murmura Sophie. (Elle lui secoua doucement l'épaule.) N'abandonnez pas. Tenez encore un moment.
— Drôle de chose, que le temps. Une fois parti, il a disparu. Avant de passer dans les mains d'un autre. Tu accompliras de grandes choses avec Sophie. Des choses merveilleuses, incroyables. Je ne serai malheureusement plus là pour les voir, j'en suis navré. Mais que ça ne t'empêche pas de les vivre. De rêver. Te battre. Aimer. Prendre des risques. Autorise-toi à goûter le bonheur.
— On doit bien pouvoir faire quelque chose ! protesta Sophie.
— Tu l'as déjà fait, dit-il. Merci d'avoir eu le courage de me trouver une dernière fois. Tu m'as fait le don d'un au revoir.
Il toussa — un son horriblement grinçant et sifflant. Sophie pleurait trop fort pour l'entendre pousser son dernier soupir.
Mais elle vit sa poitrine s'immobiliser.
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