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— Mes taches de rousseur… Un million qui ressortent sur ma peau pâle comme des néons sous l’éclat du feu. (Elle haussa les épaules.) Je les ai toujours détestées, déclara-t-elle en posant la main sur ses joues. Surtout celles sur mon visage. Je trouvais qu’elles gâchaient mon apparence, qu’elles me différenciaient trop des autres.
Et c’était vrai. On la reconnaissait d’un coup d’oeil, mais ce n’était pas une mauvaise chose. Après l’avoir côtoyée pendant une semaine chez moi, j’étais convaincu qu’elle était la plus belle meuf que j’aie connue.
Je levai les yeux vers le ciel, puis vers elle.
— Lève les yeux.
Elle m’observa.
— Regarde le ciel, insistai-je.
Elle obéit et un sourire apparut sur ses lèvres.
— Il y a tellement d’étoiles, souffla-t-elle.
— Imagine le ciel sans elles.
Elle sembla confuse.
— Pourquoi cela ? Elles le rendent tellement beau. C’est pour cela que les gens observent le ciel nocturne, pour contempler leur beauté.
— Alors considère ton visage comme le ciel. Les taches de rousseur, comme les étoiles, ne font que donner une raison de plus de le contempler.
Elle écarquilla les yeux, tellement que je crus que ses longs cils allaient lui toucher les sourcils. Elle battit des paupières, en silence, et je me sentis con. Puis ses yeux étincelèrent.
— Merci, murmura-t-elle comme si elle n’avait jamais reçu de compliment de sa vie.
Afficher en entier- Aucune solution n'est rapide, et aucun remède ne fait disparaître la douleur par magie. Mais je crois que nous devons affronter la souffrance que nous ressentons pour aller de l'avant.
Afficher en entierFor the first time in a long time, I didn't feel so fucking alone. All because of Red.
Afficher en entierJe baissai la tête pour retenir mes larmes. Le manque d'alcool faisait resurgir des émotions que je gardais cachées, au plus profond..
- je ne suis pas importante pour personne, hormis peur-être pour Lila.
Mon ventre se serra.
Afficher en entier- « Je levai les yeux vers le ciel, puis vers elle.
— Lève les yeux.
Elle m’observa.
— Regarde le ciel, insistai-je.
Elle obéit et un sourire apparut sur ses lèvres.
— Il y a tellement d’étoiles, souffla-t-elle.
— Imagine le ciel sans elles.
Elle sembla confuse.
— Pourquoi cela ? Elles le rendent tellement beau. C’est pour cela que les gens observent le ciel nocturne, pour contempler leur beauté.
— Alors considère ton visage comme le ciel. Les taches de rousseur, comme les étoiles, ne font que donner une raison de plus de le contempler.
Elle écarquilla les yeux, tellement que je crus que ses longs cils allaient lui toucher les sourcils. Elle battit des paupières, en silence, et je me sentis con. Puis ses yeux étincelèrent.
— Merci, murmura-t-elle comme si elle n’avait jamais reçu de compliment de sa vie. »
Afficher en entier— Tu portes un masque, AK. (Elle inclina la tête, tandis que mon cœur battait frénétiquement contre ma poitrine.) Tu ris et plaisantes, mais tes yeux…, murmura-t-elle en passant les doigts sur leurs contours. Tes yeux demeurent hantés, ils voient quelque chose en ce monde que tous tes sourires ne peuvent chasser. Je restai pétrifié. Phebe détourna le regard, puis elle se cala sur sa chaise et contempla le feu.
— Je te regardais, en me demandant pourquoi tu montrais ces deux visages. Puis il m’a semblé trouver la réponse. C’est parce que tu cherches à trouver le bonheur dans ce rôle que tu as endossé. (Elle tourna vers moi des yeux bleus qui me transpercèrent l’âme.) Ce n’est pas celui que tu étais, qui t’a causé de la souffrance, qui a blessé ton corps et ton cœur… pour toujours.
— Ah ouais ? Et comment tu sais ça ? demandai-je d’une voix altérée par la justesse de son constat. — Parce que seul quelqu’un qui a connu la même épreuve, qui a traversé ce même désert, peut le déceler.
Afficher en entierPutain, elle me détruisait. « Qui te retient dans cette prison, une prison comme la mienne ? »
Elle m’embrassa pendant une minute ou deux, puis s’écarta, le nez contre le mien, et passa la main sur mon front, puis sur ma joue.
— Je crois que tu me ressembles, finalement, affirma-t-elle avec un sourire et de nouvelles larmes sur ses joues pâles. Je le lis dans tes yeux. Je… (Son souffle devint haché.) Je… me vois.
Afficher en entier- Regarde le ciel, insistai-je.
Elle obéit et un sourire apparut sur ses lèvres.
- Il y a tellement d'étoiles, souffla-t-elle.
- Imagine le ciel sans elles.
Elle sembla confuse.
- Pourquoi cela ? Elles le rendent tellement beau. C'est pour cela que les gens observent le ciel nocturne, pour contempler leur beauté.
- Alors considère ton visage comme le ciel. Les taches de rousseurs, comme les étoiles, ne font que donner une raison de plus de le contempler.
Elle écarquilla les yeux, tellement que je crus que ses longs cils allaient lui toucher les sourcils. Elle battit des paupières, en silence, et je me sentis con. Puis ses yeux
étincelèrent.
- Merci, murmura-t-elle comme si elle n'avait jamais reçu de compliment de sa vie.
Afficher en entier- Je ne sais pas .... Je ne sais pas vivre dans ce monde, AK. (Je déglutis.) Je ne sais pas comment être autre chose qu'une ... catin. (Je laissais échapper un rire triste.) Les gens du monde extérieur parlaient de nous. On nous appelait "les putains de Dieu", dans les bars. Les prophètes David et Juda nous surnommaient "les putains de David". Meister voulait que j'arrête de l'être pour devenir sa putain, à lui seul.
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