"La lumière n'embellit pas un visage, mais le révèle ; elle ne peut pas non plus l'enlaidir, par contre, elle peut faire bien pire : le rater."

"[...] et au bout du compte s'arrêter, satisfait ou non. Mettre un point final à une installation et à un réglage de la lumière, c'est se résoudre à abandonner, avant d'obtenir le résultat parfait que l'on sait ne pouvoir jamais obtenir."

"Il faut se souvenir de cette règle que s'imposait Coco Chanel : enlever un bijou au dernier moment avant de sortir, juste avant de tourner : éteindre un projecteur, il y en a toujours un de trop."

"Le dessin animé, à l'origine destiné aux enfants, opère tout naturellement cette simplification. [L'image] Dépouillée de l'inutile, ramenée à l'essentiel [...]."

"Claude Chabrol disait : <>"

"Dans tout conflit il importe que le réalisateur ait le dernier mot, même quand cette résolution mène à une impasse, parce qu'il est nécessaire qu'il aille au bout de ses idées, qu'il fasse l'expérience des réussites comme des échecs, car des échecs naissent aussi les solutions."

"Il faut comprendre, dans l'expression d'un réalisateur, non pas la forme, mais l'intention. Un réalisateur ne désire pas tant une couleur, un détail, une direction de lumière, qu'une intensité qui serve au mieux son texte"

"[le chef opérateur] ne travaille jamais à partir d'une page blanche, d'une toile vierge. Bien au contraire, il part du chaos, du trop-plein"

Je n'en crois pas mes yeux. Le menhir bouge. [...] À osciller comme une statue sur son socle. À ceci près qu'elle n'a rien d'une statue et est dépourvue de socle.

On passe ensuite au quartier texan. On nomme un shérif et des shérifs-adjoints. On leur remet leurs étoiles au sein de l'hymne américain. Puis on leur offre un tour en poney.

On décide dans la foulée de redessiner la carte de la ville. On tire au sort le quartier belge. On réquisitionne une maison sur deux pour en faire un bistro ou une friterie en attendant mieux.

Exister, c'est créer sa propre existence